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 LA VIE SOUS MACRON

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeVen 1 Mai - 8:47

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeJeu 30 Avr - 15:04

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeJeu 30 Avr - 8:35

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeJeu 30 Avr - 8:28

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMer 29 Avr - 15:57

Devinez qui est vice-président du groupe de sondages Kantar l’institut des sondages
Sébastien Auzière... ça vous parle ? C'est le beau-fils de Macron ! 


Vous savez dorénavant ce qu’il adviendra de vos opinions.  

 Comme c’est étrange ! C’ est juste le fils aîné de Brigitte Trogneux devenue Macron par épousailles.


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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMer 29 Avr - 11:17

   NOUVEAU PROGRAMME ÉLECTORAL 
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMer 29 Avr - 9:14

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMer 29 Avr - 7:46

Hier j'ai bien écouté le premier des ministres et j 'ai tout compris ...

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMar 28 Avr - 16:58

Les masques  sont le fruit de l’exploitation des ouvrières qui se révoltent.





Coronavirus : « Pourquoi exige-t-on que l'on travaille gratuitement ? » s’interrogent les couturières professionnelles sollicitées pour fabriquer des masques

PRODUCTION Elles viennent de lancer le collectif « Bas les masques » pour dénoncer cette situation et interpeller le gouvernement

LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 82aa81f7-7c6f-4a08-b2b5-0dc41113afd6Caroline Girardon
Publié le 28/04/20 à 09h05 — Mis à jour le 28/04/20 à 12h48




LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 310x190_couturieres-costumieres-creatrices-professionnelles-france-cree-collectif-demander-etre-remunerees-lorsquelles-sollicitees-collectivites-fabriquer-mas
Des couturières, costumières et créatrices professionnelles de France ont crée un collectif pour demander à être rémunérées lorsqu'elles sont sollicitées par les collectivités pour fabriquer des masques. — Damien Meyer/AFP

  • Sollicitées par les collectivités, les hôpitaux ou les entreprises afin de fabriquer massivement des masques, des couturières et costumières professionnelles de France tirent la sonnette d’alarme.
  • Réunies au sein d’un collectif, elles demandent que ce travail leur soit désormais payé.
  • Elles appellent également l’Etat à réquisitionner les ateliers et les usines des grands groupes de fabrication textile.

Depuis quelques jours, l’incompréhension s’est installée. Les voix commencent à s’élever pour dénoncer une situation devenue gênante. Sollicitées par les collectivités, les mairies, les hôpitaux ou les entreprises afin de confectionner des masques pour les particuliers ou des blouses pour les soignants, les couturières, costumières et créatrices professionnelles de toute la France n’acceptent plus de travailler gratuitement.
Le mouvement de révolte est parti la semaine dernière. En deux jours, plus de 300 salariées ont rejoint le collectif baptisé « Bas les masques » pour tenter de se faire entendre et interpeller le gouvernement à ce sujet. Une pétition a également été lancée sur Internet.
« Au départ du confinement, nous avons toutes été bénévoles. Spontanément, nous avons retroussé nos manches pour aider, car on avait bien compris qu’il y avait une urgence. Le fait que les soignants, infirmiers, médecins ne disposaient pas de masques nous a outrées », relate Christie, 48 ans, costumière à Paris. Penchées des heures sur leurs machines, les précieuses petites mains se sont donc activées dans l’ombre pour colmater les brèches, comme elles le pouvaient, collectant tous les bouts de tissus qu’elles trouvaient, créant des petits regroupements par quartier, actionnant leurs contacts sur les réseaux sociaux. Sans rien exiger en retour.

« Aujourd’hui, le mouvement a dépassé de loin le bénévolat »

« L’idée était d’agir rapidement en attendant que la situation s’éclaircisse et que les masques promis par l’Etat arrivent », précise Christie. Sauf que cet élan de solidarité est devenu au fil des jours « une norme ». Et c’est bien là tout le problème, s’inquiètent-elles. « Aujourd’hui, le mouvement a dépassé de loin le bénévolat. Il est en train de remplacer une industrie qui devrait être prise en charge par le gouvernement », observe Jackie Tadeoni, également courroucée par la tournure des événements. Costumière, elle travaille en free-lance comme intermittente à Paris. Depuis le début du confinement, elle a déjà passé une centaine d’heures les yeux rivés sur ses aiguilles et ses bobines pour équiper les soignants. Sans recevoir aucune contrepartie financière. Elle l’a fait de bon cœur. « Cela nous coûte même de l’argent, sourit-elle. Les élastiques finissent par manquer, le fil aussi. On les achète sur nos propres deniers ». Christie a dû débourser « plusieurs centaines d’euros » pour reconstituer ses stocks, « sans compter les frais de port ». Certaines ont même dû ouvrir des cagnottes en ligne.
Joséphine, costumière à Lyon au chômage depuis le confinement, avait elle aussi décidé de donner généreusement de son temps pour dépanner les soignants au début de la crise. Le bouche-à-oreille s’est répandu. Et la jeune femme a, ensuite, été rapidement submergée par les demandes de particuliers, qui se sont pressés afin de lui commander des masques en tissus. Elle a proposé de se faire payer.

« Comme si on exigeait d’un boulanger de ne pas faire payer son pain aux clients »

« Je me suis fait insulter à plusieurs reprises. On m’a reproché de vouloir profiter de la situation pour me faire de l’argent… », révèle-t-elle, « agacée » par ces retours agressifs. Et de s’interroger : « Pourquoi globalement, exige-t-on de nous de travailler gratuitement alors que nos métiers ont un savoir-faire indispensable en ce moment ? C’est comme si on exigeait d’un boulanger de ne pas faire payer son pain aux clients. Ou aux agriculteurs de nourrir gratuitement la population. Cela ne viendrait à l’esprit de personne ».
« Au final, cela équivaut à considérer nos métiers, qui demandent pourtant une énergie terrible, comme des tâches domestiques », soulève-t-elle encore. Comme un « hobby », dira Jackie, rappelant qu’en « temps d’efforts de guerre, les ouvrières étaient rémunérées ». La solution serait, selon elle, que « l’Etat réquisitionne des ateliers et les usines des grands groupes de fabrication textile, les fonctionnaires qui travaillent dans les ateliers des Opéras et des théâtres nationaux », qu'« il passe commande (auprès des usines locales) et achète les masques ». Et qu’il rémunère ainsi ses professionnelles du textile, au chômage technique depuis près de deux mois.

« Que l’Etat et les collectivités aient été dépassés au début, je l’entends. Mais aujourd’hui, ils ont eu le temps de s’organiser », estime Joséphine. « On ne demande pas la lune. Juste que les choses soient davantage encadrées. Il ne s’agit pas de refuser de travailler. Bien au contraire. On ne demande que cela. Mais plus gratuitement… » conclut Christie.


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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMar 28 Avr - 12:32

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMar 28 Avr - 9:56

COMMENT PEUT ON MENTIR AUSSI FORT AUX FRANÇAIS ??????

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMar 28 Avr - 8:42

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeDim 26 Avr - 11:04

Recyclage des incompétents (ET DES MINABLES) !!!!



Le JDD rappelle qu’entre 2013 et 2015, Jérôme Salomon , l’actuel directeur général de la Santé, occupait, auprès de Marisol Touraine , le poste de conseiller chargé de la sécurité sanitaire.

 Dans ces conditions, on comprend l’embarras de l’intéressé quand on l’interroge sur le virage effectué en 2013.


 Olivier Véran a oublié de rappeler qu’il était déjà aux affaires en 2016, chargé du pilotage du comité de réforme du financement des établissements de santé.

 Marisol Touraine, Jérôme Salomon, Olivier Véran : la liste des responsables s’allonge…

 Chaque jour apporte son lot de révélations. Nos gouvernants ont beau tenter de cacher la vérité, elle revient à la surface. Et ce que l’on apprend en dit long sur l’incompétence des prétendues élites qui tiennent les rênes du pouvoir.
 Une étude publiée dans le JDD , sous le titre « Pénurie de masques : enquête sur une faillite d’État », explique comment les choix budgétaires effectués sous le mandat de François Hollande ont entraîné cette pénurie et souligne notamment la responsabilité de Marisol Touraine , ministre de la Santé de l’époque.

 En 2006, Xavier Bertrand avait placé les masques au cœur du dispositif de prévention. Au même moment, le gouvernement avait suscité la création d’une filière nationale de fabrication pour ne pas dépendre des usines asiatiques. Quand Marisol Touraine , en mai 2012, devient ministre, les stocks stratégiques d’État sont pleins : 1,4 milliard de masques au total . Mais on change alors de cap : le masque cesse d’être une priorité politique.

 Un ancien conseiller explique : « L’idée, ce n’était plus d’avoir des stocks gigantesques mais de pouvoir rapidement en faire fabriquer en Asie en cas de besoin. » Désormais, chaque employeur est censé constituer son propre stock, chaque hôpital acquérir des masques en fonction de ses besoins. Le JDD rappelle qu’entre 2013 et 2015, Jérôme Salomon , l’actuel directeur général de la Santé, occupait, auprès de Marisol Touraine , le poste de conseiller chargé de la sécurité sanitaire. Dans ces conditions, on comprend l’embarras de l’intéressé quand on l’interroge sur le virage effectué en 2013.

 Le résultat est là : en février 2020, plus de réserves ! Apparemment, Jérôme Salomon , malgré ses avertissements, pendant la campagne présidentielle , sur l’impréparation de notre système de santé face à une épidémie d’ampleur, n’a pas été entendu. Quant à Agnès Buzyn , elle ne semble pas avoir pris ce dossier au sérieux. 
Mais le pire, c’est que les autorités, depuis l’alerte lancée par l’OMS en janvier, sont restées inactives pendant deux mois. Jeudi dernier, Olivier Véran a courageusement rejeté la responsabilité de la situation sur « une autre mandature », tandis que, vendredi, Jérôme Salomon convenait, devant l’évidence, que le masque était devenu une « denrée rare ».

On pourrait, si la situation n’était pas si grave, s’amuser de trouver aujourd’hui aux manettes des socialistes passés au macronisme, qui ont trempé dans ce changement de stratégie. Olivier Véran a oublié de rappeler qu’il était déjà aux affaires en 2016, chargé du pilotage du comité de réforme du financement des établissements de santé. 
Quand on pense que ces proches de Macron ont pour mission d’informer l’opinion sur l’évolution de l’épidémie… Si l’on osait cette comparaison, c’est comme si on demandait à des pyromanes par imprévoyance d’expliquer comment maîtriser l’incendie. Ils ne sont guère les plus crédibles !

 Autre leçon de cette histoire, c’est la confirmation qu’ Emmanuel Macron , l’homme du « nouveau monde », a recyclé le « vieux monde » des cabinets ministériels socialistes. Faut-il s’étonner qu’un sondage IFOP révèle que les Français sont de plus en plus sévères sur la gestion de cette crise ? Selon cette enquête, « quel que soient leur bord politique, leur profession ou leur âge, et y compris les plus jeunes, ils sont inquiets à 84 % […]. La défiance s’installe. » Pour 64 % d’entre eux, « le gouvernement a caché ­certaines informations » .

> Macron et ses proches voudraient apparaître sous les habits de sauveurs de la nation. Mais la vérité est implacable et les montre tels qu’ils sont, dans leur pitoyable nullité.
.
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeDim 26 Avr - 9:20

Entretien
Christian Perronne : "Les tirs de barrage reçus par Didier Raoult sont aussi liés à des querelles d'égos"

Propos recueillis par Etienne Campion
Publié le 02/04/2020 


LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Annot236

Le professeur Christian Perronne estime que les hésitations du gouvernement et des experts médicaux concernant l'hydroxychloroquine et le protocole du professeur Raoult nous conduisent à commettre une grave erreur. Entretien.
Le professeur Christian Perronne est chef du service infectiologie de l'hôpital Raymond Poincaré de Garches. Spécialiste de la maladie de Lyme, il a été président de la commission spécialisée maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique. Il est aussi coresponsable des cours en maladies infectieuses et tropicales pour l’université de Versailles-Saint-Quentin, et membre de l'OMS. Il s'inscrit en faux contre ce qu'il considère comme une vision erronée de la médecine de la part des experts médicaux ayant critiqué la méthodologie des essais du Professeur Raoult sur l'hydroxychloroquine. De même, il revient sur les suspicions concernant les effets secondaires de ce médicament, qu'il juge disproportionnées au vu de sa connaissance personnelle de ce dernier.


Marianne : Pourquoi avoir pris position en faveur du professeur Didier Raoult et de ses essais cliniques sur l'hydroxychloroquine, au moment où nombre d'experts médicaux entendent rester prudents ?
Christian Perronne : Je suis un scientifique pragmatique. Et cela me désole de voir l'ampleur qu'a pris, en France, l'esprit des statistiques sur le véritable esprit de la médecine. Il consiste à laisser penser que la médecine ne procède que de chiffres, de tirages au sort, d'équations… Cela est efficient lorsqu'on peut procéder sur le long terme, mais devient totalement inopérant dans certains secteurs de la médecine, comme celui des maladies rares.
Il est consternant de constater que dans la médecine actuelle la démarche empirique puisse être méprisée, sous prétexte qu'on n'ait pas recouru à des tests en randomisation avec tirage au sort. Ce qui est impossible actuellement, alors que nous sommes dans une situation d'urgence, une crise sanitaire comme nous n'en avons pas connue depuis un siècle. En cela nous nous devons plutôt de considérer une méthode de "médecine de guerre", bien loin des préceptes méthodologiques que prêchent les experts médicaux.
Certains relèvent tout de même des problèmes méthodologiques dans le premier essai clinique de Didier Raoult... La méthodologie du test européen "Discovery" en cours n'est-elle pas meilleure ?

Reprenons quelque peu. Avant la publication des études de Didier Raoult, des études chinoises avaient déjà relevé les vertus de la chloroquine pour baisser la charge virale du coronavirus, ce que de nombreux experts chinois ont pu confirmer depuis. Comme ce fut le cas dans une étude ce mardi, qui valide le protocole de Didier Raoult en montrant que l'hydroxychloroquine améliore l'état des patients en début d'infection.

Il semble que cela en dérange beaucoup de voir que le protocole marseillais fonctionne.

On a critiqué Didier Raoult après sa première étude, dont il a révélé les résultats le 16 mars dernier, car il n'avait pas 500 malades et un test en double aveugle disponible sous la main. Mais, en réalité, nul besoin de 300 malades pour démontrer que la charge virale baisse. Si l'on sait des médecins chinois que le virus peut persister jusqu'à trois semaines d'une part, et que le protocole du professeur Raoult diminue la charge virale au bout de quelques jours d'autre part, nous nous devons d'avancer sur la base du succès de ce protocole. Mais cela en dérange beaucoup de voir que le protocole marseillais fonctionne. Ce qui n'empêche pas d'évaluer le protocole par la suite, avec la méthode de long terme qui convient.
Quant au test "Discovery", il ne prend pas en compte le protocole du professeur Raoult (hydroxychloroquine et azithromycine dès l'apparition des premiers symptômes), mais uniquement l'hydroxychloroquine, et ce sur des cas dans des situations de pathologies aggravées. Pour cela, ce test fait preuve d'absence d'éthique. On leur dit qu'ils vont être tirés au sort, et éventuellement ne pas être traités, tout en connaissant très bien les chiffres de mortalité élevés de cette maladie.
Les autorités sanitaires mettent par ailleurs en garde contre les effets secondaires de ce médicament…

C'est intellectuellement malhonnête. Ce médicament était en vente libre depuis plus de cinquante ans jusqu'au mois de janvier. Il n'avait fait l'objet d'aucun signal d'alerte de pharmacovigilance. Je le prescris moi-même depuis vingt ans, et n'ai jamais rencontré aucun problème à son sujet. Il a des effets secondaires bien connus, c'est vrai. Il faut être prudent, notamment avec les personnes cardiaques, et plus spécifiquement les personnes âgées prenant simultanément plusieurs médicaments. Ce traitement doit être pris sous surveillance médicale en respectant la dose. Quant aux problèmes rétiniens, ils ne peuvent survenir qu'après avoir pris des doses très fortes pendant plusieurs années. Mais, de toute façon, les prescriptions du protocole de Didier Raoult ne concernent que quelques jours pendant lesquels on peut facilement surveiller les patients.
On assiste à une multiplication imaginaire du nombre d'effets secondaires depuis huit jours…

On constate surtout un gros problème médiatique et de nombreux fantasmes concernant la question de ces effets secondaires. On a quasiment dit, par exemple, qu'un Américain était mort à cause du médicament… alors que ce dernier, n'ayant pas réussi à se le procurer, a avalé une cuillère à café de phosphate de chloroquine, d'un produit pour nettoyer son aquarium. Aucun rapport, donc. On assiste à une multiplication imaginaire du nombre d'effets secondaires depuis huit jours… Cela est surtout lié à des problèmes d'égo du côté des experts médicaux.
Qu'entendez-vous par là ?
La chloroquine ne coûte pas cher, est un vieil anti-paludique, tombe comme un cheveu sur la soupe pour soigner une telle maladie virale : ne serait-ce pas un peu dérangeant pour nos amis virologues ? Oui, je formule l'idée que les tirs de barrage reçus par Didier Raoult sont aussi liés à des querelles d'égos, à son caractère iconoclaste et à son déficit d'académisme pour les "experts" médicaux parisiens, qui voient cela comme une atteinte manifeste à leur pré carré et à leurs dogmes. Dans cette situation de guerre, ces postures ne sont pas acceptables.
Nous ? Quand nous finirons par réagir, car nous réagirons, c'est inévitable, nous serons pris au dépourvu.

Le gouvernement pouvait-il faire autrement ?
Dans certaines régions, notamment aux États-Unis, les médecins se sont rendu compte qu'en donnant le médicament et en traitant suffisamment tôt, ils avaient à faire face à beaucoup moins d'hospitalisations. Un grand nombre de pays y recourt désormais. En Italie, tous les médecins généralistes ont désormais la possibilité de traiter avec ce médicament leurs patients, même avec des signes débutants. L'administration américaine a elle aussi tergiversé, avant de donner son feu vert ce dimanche. D'autant que les États-Unis sont en train de faire main basse sur les stocks mondiaux depuis des semaines.
Nous ? Quand nous finirons par réagir, car nous réagirons, c'est inévitable, nous serons pris au dépourvu. Car Sanofi ne pourra pas produire en quelques jours des doses pour l'ensemble du pays… Et le marché international aura été raflé. Le même épisode auquel nous assistons aujourd'hui avec les masques. Je ne comprends pas cette imprévision, qui pour moi est totale.
Nous avions des indices sous les yeux depuis des semaines...

L'exemple de l'hésitation de notre gouvernement sur l'encadrement de l'hydroxychloroquine le montre. La position officielle consiste à expliquer qu'il faut l'utiliser uniquement dans les formes désespérées, sauf que le professeur Raoult dit l'inverse : il faut commencer dès les premiers symptômes, et éviter que la maladie ne bascule subitement dans des formes graves.
Nous avions des indices sous les yeux depuis des semaines... Et même si ce sont des indices, gouverner c'est prévoir. Et il fallait prévoir que cela pourrait marcher. D'autant que ce médicament ne coûte pas cher, que nous avons Sanofi à disposition pour le produire… Pourquoi aucun ordre n'est-il venu pour enjoindre ce groupe à produire ? Nous sommes désormais à 500 morts par jour. Combien de milliers de morts ce gouvernement aura-t-il sur la conscience ? Mais qui les conseille ? C'est révoltant.


En savoir plus sur le coronavirus avec "Marianne"
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeDim 26 Avr - 8:51


Terrible reportage qui doit faire prendre conscience de la réalité : à noter l'affirmation aussi stupide que péremptoire de M. Macron selon qui "tester tout le monde n'aurait aucun sens, il ne faut tester que les gens qui présentent des symptômes". 
Si cet homme élu par 25 % des français  s'était informé ou souhaitait dire la vérité, à savoir que la France n'a pas suffisamment de tests, il saurait et dirait qu'il faut tester tout le monde, car 3 personnes contaminées sur 4 sont asymptomatiques !
Pendant des années nos élus et médias nous ont faire croire que nous avions le meilleur système de santé au monde ...


LA PREUVE EST FAITE QU 'ILS NOUS ONT TOUS MENTI. 
NOUS SOMMES LE PAYS QUI PAIE LE PLUS D 'IMPÔTS  AU MONDE 
QUE FONT ILS AVEC NOTRE ARGENT ?


.
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeVen 24 Avr - 15:12

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeVen 24 Avr - 8:51

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeJeu 23 Avr - 15:40

LA FRANCE QUI SERAIT 6 OU 7eme PUISSANCE MONDIALE NÉGLIGE SON PEUPLE ...preuves à   l'appui 

LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Annot233
https://www.oecd.org/fr/




Coronavirus. Les respirateurs fabriqués en urgence en France ne seraient pas adaptés au Covid-19


Une enquête de Radio France explique, ce jeudi 23 avril 2020, qu’une grande partie des appareils produits en urgence par des entreprises en France pourraient être inutilisables pour les malades du coronavirus.


Ouest-FrancePublié le 23/04/2020 à 11h58





Produits dans l’urgence, les respirateurs artificiels fabriqués par la France sont-ils adaptés aux services de réanimations ? La question se pose après une enquête publiée ce jeudi 23 avril 2020 par le service investigation de Radio France .




pour ventiler les patients atteints du Covid-19 pourraient, en effet, s’avérer inadéquats.








Un modèle moins complexe à assembler choisi



Pour faire face à la crise, Air Liquide, seul fabricant français de respirateurs artificiels, s’attelle à la fabrication de 1 024 appareils d’un modèle appelé T60.


Conçu pour le transport des malades, il peut s’adapter aux besoins d’un service de réanimation. Mais il est complexe à assembler. Au contraire d’un modèle plus basique, l’Osiris 3, qu’Air Liquide propose de produire en plus grand nombre.






Lire aussi sur le sujet : Comment est né le respirateur artificiel, cet appareil dont vous ne voudriez pas avoir besoin
L’État suit la recommandation de l’entreprise, qui a décidé de vendre tous ses appareils à prix coûtant (3 000 € pièce), et 8 500 Osiris 3, contre 1 600 T60, sont fabriqués dans un délai record de 50 jours.
Problème, les Osiris 3 sont des respirateurs destinés à gérer l’urgence. Sur son propre site, Air Liquide décrit ce modèle comme un ventilateur de transport léger et simple d’utilisation, note France Info.




Un modèle « pas adapté », selon des médecins



Selon certains médecins interrogés par les journalistes de Radio France, ce ventilateur, ne conviendrait pas pour soigner des malades gravement atteints.


Ce n’est clairement pas, pour être pudique, un respirateur adapté à la prise en charge d’une détresse respiratoire aiguë compliquée, explique Philippe Meyer, médecin réanimateur à l’hôpital Necker à Paris.
Si vous vous en servez pour un syndrome respiratoire aigu, vous avez un risque de tuer le patient au bout de trois jours. Parce que ce n’est pas fait pour ça, déplore même l’anesthésiste réanimateur Yves Rébufat, du CHU de Nantes.




Il serait adaptable selon Air Liquide



Des critiques qui surprennent Air Liquide. Contactée par Radio France, l’entreprise explique que « le NHS (National Health Service, le système de santé britannique) a validé ce modèle pour traiter les patients Covid. On peut l’adapter en réanimation moyennant des procédures que nous donnons aux soignants. »


Le cabinet d’Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances et responsable du projet, rappelle par ailleurs que « se posait la question de produire des respirateurs en un temps record en tenant compte de la disponibilité des pièces critiques ».
Les Osiris devraient cependant, dans un premier temps, servir à autre chose qu’à soigner des patients atteints du Covid-19.




Le gouvernement se défend



Dans un communiqué commun, le ministre de la Santé Olivier Véran, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, assurent que l’usage en dernier recours des 8 500 respirateurs d’urgence et de transportsavait été validé par les deux sociétés savantes françaises de réanimation, la société française d’anesthésie et de réanimation (Sfar) et la société de réanimation de langue française (SRLF).








Citation :
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Olivier Véran

✔@olivierveran


[ltr]L’heure est à la mobilisation de tous pour sauver des vies, alors que plus de 5.000 malades sont toujours en réanimation. Pas aux polémiques vaines et malvenues. Les 10.000 respirateurs commandés à Air Liquide sont utilisables. Précisions LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 1f447[/ltr]






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Les deux membres du gouvernement défendent un choix de prudence et de responsabilitéla meilleure solution disponible au moment où le nombre d’admissions en réanimation allait croissant. L’heure n’est pas à la polémique sur les prétendus excès de moyens engagés, tacle le communiqué.
...
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeJeu 23 Avr - 12:55


ORDRE EST DONNE D' ABANDONNER LES PERSONNES ÂGÉES SANS LES SOIGNER 
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeJeu 23 Avr - 7:57

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeLun 20 Avr - 9:23

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeLun 20 Avr - 9:02

LE MASQUE NE SERT A RIEN ....
C' EST CE QUE CE GOUVERNEMENT NOUS DISAIT IL Y A UN MOIS 


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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeDim 19 Avr - 16:57

RÉPONSE AUX QUESTIONS QUE VOUS VOUS POSEZ SUR LES POUVOIRS DE POLICE ET GENDARMERIE DANS LE CADRE DU CONTRÔLE DES MESURES DE CONFINEMENT.


Depuis le 17 mars, 100 000 policiers et gendarmes sont mobilisés pour s’assurer que les Français observent bien les mesures de confinement et sortent de chez eux uniquement pour les motifs autorisés. En cas de contrôle, ils peuvent verbaliser pour absence d’attestation dérogatoire de déplacement ou sortie non légitime.
Au 1er Avril 2020, quelque 5,8 millions de contrôles et 359 000 procès-verbaux ont été dressés par les forces de l’ordre (cf. chiffres du ministère de l’Intérieur).


Le montant de l’amende forfaitaire encourue en cas de non-respect du confinement grimpe vite : 135 € en cas de première sanction, 200 € en cas de récidive dans les quinze jours qui suivent, majorée à 450 € si elle n’est pas payée dans les 45 jours.


En cas de multi récidive dans les 30 jours qui suivent la première verbalisation, la violation des règles de confinement devient un délit passible de 3 750 € d’amende et six mois de prison.


QUE POUVEZ VOUS FAIRE OU NE PAS FAIRE ?


 - Les forces de l’ordre peuvent-elles fouiller vos sacs de courses ?
NON : « une inspection visuelle ou une fouille sont des atteintes à votre droit à la vie privée », rappelle l’Observatoire parisien des libertés publiques dans un communiqué.Les forces de l’ordre ne peuvent avoir le droit de procéder à la fouille ou à l’inspection visuelle que dans le cadre d’une réquisition du Procureur ou d’une enquête de Police judiciaire.


 - Les forces de l’ordre peuvent-elles juger ce qu’est un achat de première nécessité ?
NON, si vos achats sont effectués dans les commerces autorisés à ouvrir, les policiers ne peuvent pas les contester.Le décret du 23 Mars ne précise d’ailleurs pas ce qu’est un produit de première nécessité.
Ainsi « une contravention qui se fonderait sur l’absence de nécessité première du bien acheté pourrait être contestée, pour absence de prévisibilité de l’infraction », précise l’Observatoire parisien des libertés publiques



 - Les forces de l’ordre peuvent-elles vous verbaliser pour avoir pris plus d’une heure pour faire vos courses ?
NON, la limite d’une heure de déplacement s’applique uniquement aux sorties de loisirs : promenade, pratique sportive, sortie d’animaux.
De même, la distance maximale d’un kilomètre ne concerne pas les déplacements pour aller faire vos courses.


 
- Les forces de l’ordre peuvent-elles demander la raison d’un rendez-vous médical ?
NON, le secret médical s’applique.


-Les forces de l’ordre peuvent-elles demander le paiement d’une amende sur place ?
NON, le paiement en liquide et immédiat d’une contravention sur le lieu du contrôle ne peut être exigé que « si le contrevenant ne dispose pas d’une adresse de domiciliation en France », rappelle la gendarmerie nationale.


 
- Les forces de l’ordre peuvent-elles vous raccompagner chez vous ?
Rien ne les en empêche, mais le gouvernement précise sur la page consacrée aux informations sur le coronavirus qu’« on demandera aux personnes de retourner chez elle et il n’y aura pas de reconduites à domicile »


 - Les forces de l’ordre peuvent-elles vous contrôler dans les jardins de votre copropriété ?
NON, les contrôles s’exercent uniquement sur la voie publique.


Le but du rappel de ces règles est de limiter les discussions stériles qui sont fréquentes en ces temps difficiles.


LE RESPECT DE LA LOI ET DU CONFINEMENT S’IMPOSE A TOUS
ET N’OUBLIEZ PAS QUE TOUT REFUS D'OBTEMPÉRER PEUT DONNER LIEU A UNE VERBALISATION POUR RÉBELLION.

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeSam 18 Avr - 19:11

Covid-19 – Pourquoi ils sabotent le traitement à la chloroquine





Le protocole européen Discovery exclut de ses tests l’azithromycine préconisée par le Dr Raoult. Le gouvernement français limite le traitement aux cas graves, à rebours des recommandations. Affaire de lobbies pharmaceutiques ? Ce serait trop simple.



Le temps passe, de nombreux malades trépassent.
Les informations s’accumulent cependant, qui tendent à prouver l’efficacité de l’association hydroxychloroquine/azithromycine.
L’IHU de Marseille a traité 1000 patients confirmés positifs au Covid-19, la Chine 134, le Sénégal 96, l’infectiologue Stephen Smith du New Jersey, 72 patients... Ce médecin américain, praticien « reconnu » dans son pays, vient d’appliquer à la lettre la formule du « docteur français ». Impressionné par les effets observés au bout de quelques jours, il soutient que « c’est un véritable changement de cap » et conclut avec solennité : « Je pense que c’est le début de la fin de la pandémie… Je suis très sérieux ».
Croire Stephen Smith, c’est faire confiance à la longue pratique d’un homme qui a vu défiler pendant 20 ans des personnes grippées de gravités diverses. Il a dû constater ou sentir que ses patients atteints du coronavirus récupéraient d’une manière inhabituelle. Sa parole n’est certes pas suffisante.
Le professeur Éric Chabrière de Marseille annonce que sur 701 personnes contaminées et soignées, ils ne déplorent qu’un seul mort de 86 ans. Il faudrait savoir depuis combien de temps elles sont traitées, le rapport ne va pas tarder. Les données les plus étayées reposent sur le rapport du Dr Raoult fait sur 80 personnes. Le paramètre le plus significatif est la chute de la charge virale, évaluée par les tests “RCPQ“ faits à partir de sécrétions nasales. Les médecins constatent « 83% de résultats négatifs » après 7 jours de traitement, et 93% après 8 jours. « Le nombre de patients présumés contagieux » est nul à partir du 12ème jour.
Les 80 personnes de 52 ans d’âge moyen sont prises en charge à des stades d’infection aléatoires, sans sélection spécifique, et plus de la moitié présentent au moins une affection chronique aggravante. Les détracteurs objectent que l’amélioration des patients peut être naturelle, indépendante du traitement. Il existe cependant une enquête chinoise qui évalue la durée médiane de la disparition de charge virale des malades à 20 jours, sachant que ceux dont la santé se dégrade restent infectés. La disparition quasi-totale de l’infection au bout de 8 jours, et totale au bout de 12 jours, avec un nombre élevé de patients (80), est donc très probablement due au traitement chloroquine/azithromycine.
Deux de mes amis âgés de la cinquantaine ont été contaminés au Covid-19. L’un s’en est remis en plus de trois semaines, avec 40 degrés de fièvre jusqu’au terme, sans traitement particulier. L’autre a été hospitalisée avec les poumons atteints, soignée aux antibiotiques avec un apport d’oxygène léger (sans réanimation), elle sort de l’hôpital très fatiguée, après 30 jours de symptômes aigus. Ces deux cas de figure sont en ligne avec l’étude chinoise.
L’autre aspect que ne mentionnent jamais les experts qui ne soignent pas des malades (des médecins non-praticiens, des chercheurs ou des bureaucrates), c’est l’évaluation humaine des soignants, nourrie de leur expérience, difficile à exprimer, absente des rapports écrits, et pourtant essentielle. Comme le professeur Stephen Smith, ils sentent à l’observation des personnes soignées qu’il se passe quelque chose comme une guérison inattendue. Les journalistes auraient pu recenser systématiquement les témoignages des personnes soignées, dont l’expertise et le savoir sont trop souvent déniés par la médecine elle-même, ou interroger les soignants sur ces aspects sensibles, pas moins importants que les chiffres.
Mais le facteur le plus flagrant, qui ne souffre aucun biais méthodologique, et qui se confirme de jour en jour dans les études à la chloroquine faites en Asie, en Amérique, en Europe et en Afrique : aucun effet secondaire n’a été rapporté qui ait mis la vie des patients en danger. Le point intermédiaire fait par le Pr Chabrière, collègue du Dr Raoult, fait état de 701 personnes traitées qui n’ont pas subi de complications annexes dues aux effets secondaires de la chloroquine. Ce n’est pas étonnant car la chloroquine est un des médicaments les mieux connus et expérimentés au monde, c’est facile d’exclure les personnes à risque (cardiopathie à QT long, pathologies de la rétine…).

BILAN


Nous avons donc un traitement qui a un impact majeur sur trois facteurs avec une forte probabilité :



  • La baisse rapide du taux de contagion des malades par diminution de sa charge virale.

  • Une guérison rapide.

  • La chute du taux de mortalité, spécialement quand le traitement est administré avant complications pulmonaires, y compris pour des personnes fragiles.




La Commission de la santé de la province de Guangdong, peuplée de 104 millions de chinois, préconise officiellement l’utilisation de la "chloroquine phosphate". Les études précises ne sont malheureusement pas traduites. Il semble qu’aucun effort ne soit fait par les autorités françaises pour se procurer ces rapports, les traduire, ou interroger les praticiens qui ont mené les tests. Les études sénégalaises et états-uniennes sont également peu diffusées et analysées par les médias, aucunement par le gouvernement ou ses comités d’experts, qui les occultent.
Le gouvernement français avait deux solutions pour consolider les résultats initiés par le Dr Raoult :



  • Faire appliquer sa méthode dans plusieurs hôpitaux de manière à engranger rapidement des données statistiques pour donner une meilleure visibilité aux médecins pour faire leur choix.

  • Lancer une étude lourde, procédurale et lente selon les normes strictes appliquées en temps de sérénité.




Il a choisi la deuxième solution, en se reposant sur le projet européen Discovery qui est déjà en retard faute de volontaires. Pendant ce temps-là les anciens meurent en masse dans les Ehpad (avec un nouveau décrêt autorisant le Rivotril, considéré par des médecins comme une porte ouverte à l’euthanasie active), et les personnes fragiles agonisent dans les hôpitaux (quand ils y ont été admis), avec ou sans respirateur, avec une proportion importante de professionnels envoyés au casse-pipe sans protections.
Le gouvernement signe un autre décret qui limite aux hôpitaux la prescription de la chloroquine, uniquement pour les cas graves, ce qui contredit de front les préconisations de praticiens comme le Dr Raoult. Cerise sur le gâteau, il ne fait visiblement rien pour parer à la pénurie de la molécule dans les pharmacies privées et publiques. Quant à la disparition soudaine du stock de chloroquine de la Pharmacie Centrale, supervisée par le directeur de l’AP-HP Martin Hirsch, aucune investigation n’est lancée pour éclaircir l’affaire.
Pour finir, le gouvernement freine des quatre fers pour amorcer le dépistage de masse, seule solution pour guérir les patients au plus tôt, pour désengorger les hôpitaux, faire baisser le taux de mortalité, et ralentir la vitesse de contamination. C’est d’autant plus vrai que le covid-19 a un temps d’incubation élevé, et qu’il existe des malades sans symptôme grippal qui sont néanmoins attaqués par la pneumonie et s’en aperçoivent très tard. De plus les gens hésitent à appeler le 15 car ils savent, ou croient les services saturés, ils sont donc pris en charge avec une pneumonie avancée, bien souvent. Or, il existe des antibiotiques pour combattre la pneumonie. L’année dernière l’IHU de Marseille insistait sur ce point : « Il est donc primordial de traiter avec des antibiotiques les patients ayant une infection sévère par un virus respiratoire ». Le manque de médecins généralistes joignables n’arrange rien. À Paris par exemple, le centre médical de Stalingrad est fermé. Les hôpitaux se remplissent donc aussi à cause de diagnostics tardifs, du manque de dépistage… Rien n’est fait pour accompagner les gens confinés. On ne parle plus des cliniques : les patients sont-ils dirigés vers les cliniques équipées si nécessaire ? On ne sait pas. Elles étaient quasi vides il y a quinze jours.
Une preuve de l’injustifiable procrastination du gouvernement est la mise en attente de l’autorisation pour une production massive de tests proposés par les 75 laboratoires départementaux dédiés à l’hygiène et à la santé animale. Ils se sont démenés pour pouvoir produire 150 000 à 300 000 tests PCR Covid-19 par semaine, compatibles avec les normes humaines, contactant les autorités le 15 mars. 25 jours plus tard, ils n’ont toujours pas reçu l’autorisation !!!
Quant aux vétérinaires qui proposent d’effectuer le dépistage depuis le 30 mars, le décret d’autorisation n’est paru que le 6 avril, avec des contraintes drastiques de supervision qui font craindre des retards de mise en œuvre. Si les tests ne sont pas fabriqués, le dépistage “autorisé“ peut toujours attendre.
C’est d’ailleurs le sort annoncé pour la chloroquine. Quand les médecins de ville pourront le prescrire, les officines risquent bien de rester vides, puisqu’aucune mesure d’approvisionnement n’est annoncée par principe de précaution. Question masques et blouses de protections, c’est toujours l’opacité. Le « pont aérien », quel joli terme, suffit-il ne serait-ce qu’à fournir les hôpitaux en masques, en blouses, en sur-chausses… Mystère. Pourquoi l’État laisse-t-il la ville de Nice généraliser le port du masque, au risque d’ôter le masques de la bouche des personnels soignants ailleurs, alors que la pénurie n’est pas jugulée ? Bah. Où en est la production locale en protections et médicaments ? Mystère.








Le chemin le plus sûr vers le précipice


Le Premier ministre Édouard Philippe « hésite ». Quelle stratégie de dépistage – massif, moyen massif, partiel, partiel-mineur ? - quelle stratégie de déconfinement ?
On croit rêver. Un modèle a parfaitement fonctionné, celui de la Corée du Sud. Peu de morts, dépistage massif, prise en charge des malades rapide, mise en quarantaine plutôt que confinement, avec les soins associés. L’Allemagne a observé, elle, et applique les dépistages massifs sans confinement. Il suffirait que les français s’organisent pour appliquer rapidement l’exemple coréen et stopper le confinement qui non seulement n’épargne pas les morts, mais prépare une catastrophe économique et morbide.
Les laboratoires, les citoyens, les soignants, des entreprises françaises se mobilisent pour sortir le pays du bourbier creusé par l’incurie gouvernementale, et que font les responsables ? Ils leurs mettent des bâtons dans les roues. Les non-décisions, décisions et mensonges d’État enchaînés avec brio mènent le pays et ses habitants droit dans le mur.
Le stade de l’incompétence est dépassé depuis longtemps, il s’agit de comprendre ce qui les pousse à nous jeter dans le précipice.


À qui profite le crime ?


Pas aux habitants d’hexagone et d’outre-mer, évidemment. Et ce n’est pas nouveau. Celui qui perçoit dans les actions gouvernementales une quelconque notion d’intérêt général, de politique ancrée dans le territoire, ou d’utilisation pertinente du panel d’intelligences qui y sont disponibles, est prié de nous contacter de toute urgence. Fermeture de 5000 lits d’hôpital supplémentaires comme si les 95000 précédents ne suffisaient pas, parcours-sup-du-combattant, anti-stratégie industrielle, vente d’Alstom-Energie aux États-Unis, affaire des chantiers navals impliquant le juge-et-partie Alexis Kohler, privatisation des Aéroports de Paris bénéficiaires, réforme des retraites façon braderie aux fonds de pension vautour…
Bref, ce n’est pas d’un point de vue français, mais d’un point de vue global qu’il s’agit de raisonner.
Commençons par le plus facile, la chloroquine. La formule du professeur Raoult comprend 600 mg d’hydroxy-chloroquine par jour pendant 10 jours, associée à 1x500mg puis 4x250mg d’azithromycine pendant cinq jours. Le coût total du traitement estimé est de 10 euros 80 centimes. Le traitement alternatif sans efficacité notoire, le Lopinavir/Ritonavir, coûte 433 euros. Lequel intéresse le plus l’industrie pharmaceutique ? Mais le véritable enjeu, ce sont les vaccins qui se frétillent dans les éprouvettes. S’il est démontré qu’un traitement aussi peu cher que la chloroquine remise l’épidémie de covid-19 au rang de maladie bénigne, comment vont-ils nous imposer une vaccination générale ? Un peu moins facile, disons, mais ne sous-estimons pas la force de conviction des dominants. Avec les dépenses induites, et les effets indésirables des vaccins, le futur de la Sécurité Sociale s’annonce maussade, ce qui est le cas d’ores et déjà.
L’institut Pasteur, établissement de recherche privé, n’est pas des plus objectifs. Olivier Schwartz, directeur de l'unité virus et immunité à l'Institut, décrit l’étude d’un vaccin qui « consiste à injecter directement un ARN synthétique chez l'homme, qui va permettre à l'organisme de produire directement une des protéines du coronavirus ». Il a bien sûr son avis sur les traitements :  « Il n’existe toujours pas de médicament ou de traitement spécifique contre le SARS-Cov-2, le virus responsable du Covid-19 », affirme-t-il le 23 mars à La Croix. Ses critères sont sans aucun doute très scientifiques.
Arnaud Fontanet, l’un des deux représentants (sur 12) de l’Institut Pasteur au comité d’experts CARE en qualité de directeur de l'Unité d'épidémiologie des maladies émergentes, se prononçait le 26 février sur la chloroquine : « La quantité d'informations présentées par cette étude est extrêmement faible ». Force est de constater qu’il ne s’est pas intéressé aux informations qualitatives. Bruno Hoen, Directeur de la recherche médicale de l'Institut Pasteur, réserve sa critique à la revue BioScience Trends où les chinois ont présenté leurs conclusions sur les soins prodigués à 100 personnes avec chloroquine. Elle relève selon lui « moins d'une étude scientifique que d'un communiqué, d'une déclaration de résultats. S'il existe des données plus détaillées, je ne les ai pas vues ». Et un autre, Christophe D'Enfert, directeur scientifique de l'Institut Pasteur : « Il n'y pas d'étude qui montre quoi que ce soit quant à l'efficacité in vivo ».
Cet harmonieux concert d’indifférence prouve la cohésion du grand Institut, c’est presque beau. M’enfin tout de même, ces sommités de la recherche biologique manquent de curiosité. Il leur suffirait d’un coup de fil au ministère de la Santé, qui contacterait l’ambassade de France en Chine, qui leur trouverait un médecin chinois bilingue pour savoir « s’il existe des données détaillées », ou mieux, s’il peut partager ses observations et ses impressions. C’est trop humain, les chiffres valent tellement plus. Rappelez-vous le formidable enthousiasme pour l’avènement de l’Intelligence Artificielle. Des montagnes de 1 et de 0 promettaient de remplacer l’humain pour les tâches les plus nobles, les radiologues, les cancérologues, c’était chouette. Un pauvre traitement avec des vieux médocs qui suscitent l’espoir au petit peuple de sauver des proches, ça c’est triste. Ça ne vaut pas la morgue de nos grands experts.
L’Institut Pasteur est très motivé pour récupérer des dons, via les caisses de la Fondation de France (privée aussi), en partenariat avec l’Assistance Publique - Hôpitaux de Paris (je croyais qu’un service public recevait les dons… des impôts ?), comme on peut le voir sur ce site de commerce en ligne :






Dans quelle proportion les 16 millions d’euros déjà récoltés seront-ils restitués ? Serviront-ils à développer un vaccin dont on n’aurait pas besoin si le traitement à base de chloroquine en ruinait le besoin ? Allez savoir.
Y'a-t-il un lien entre les bonnes relations affichées de l'AP-HP avec l'institut Pasteur, et la déclaration de Martin Hirsch, directeur de l'AP-HP, le 1er mars à Europe 1 :  «  tous les … spécialistes que j’ai vus hier disent : la chloroquine à chaque fois qu’il y a un nouveau virus y’a un type pour raconter que ça va marcher. Il se trouve que la chloroquine marche très bien dans une éprouvette et elle n’a jamais marché chez un être vivant ». Bien ou male informée, cette déclaration est fausse puisque les chinois avaient communiqué le 17 mars des résultats encourageants par des tests in vivo, sur 100 specimens d'une espèce animale il est vrai menacée : l'homme.
Presque aussi prestigieuse que l’Institut Pasteur, l’INSERM est le fer de lance public de la recherche médicale. Il coordonne la batterie de tests européens Discovery, qui a fini par inclure un cinquième cocktail antivirus chloroquine inside. Petit problème : ils ont oublié l’azythromicine ; on ne va pas leur reprocher de ne pas savoir lire, ils calculent trop bien.


Expérimentation in vivo


L’opportunisme de quelques instituts ne saurait expliquer la terrible farce. La perspective de vendre des vaccins ou des molécules n’y suffit pas. Une armée d’économistes et d’écologistes patentés, aussi sincères que Daniel Cohn Bendit, se bouscule déjà en coulisses pour prendre la suite des biologistes et autres épidémiologistes. Le dilemme est d’ordre historique, éthique, idéologique, organisationnel, industriel, panoptique, civilisationnel.
La moitié de l’humanité confinée entre quatre murs offre un magnifique terrain d’expérimentation pour les dominants, ce serait dommage d’y mettre un terme trop vite. Le degré de servitude volontaire d’une population apeurée se doit d’être évalué, chiffré, poussé à son maximum. Dans quelle mesure vont-ils tenir psychologiquement, dans quels contextes, dans quels quartiers ? Les gens vont-ils accepter le traçage numérique de leurs déplacement et accointances au nom du Covid-19 ? Vont-ils croire à son utilité, à la promesse de garder les données anonymes ad vitam aeternam ? Comment forcer la population récalcitrante à se faire vacciner ? Le terrain de jeu est des plus excitants.
Il y a plus de trente ans le philosophe Gilles Deleuze et son ami psychiatre Felix Guattari voyaient se dessiner le spectre de la « déterritorialisation ». C’est sans doute le concept qui explique le mieux la situation actuelle. Les dirigeants sont déconnectés des habitants et des spécificités des territoires qu’ils administrent. Même topo pour les PDG des multinationales, qui tissent leurs liens avec les actionnaires au détriment du souci de ce qu’ils produisent, pour quoi et avec qui.


La « distanciation sociale » qui nous est proposée est l’accélération d’un processus de distanciation opéré de longue date. Une distanciation synonyme de déresponsabilisation, contrairement aux apparences ; ils sont très forts pour semer la confusion dans les esprits. Pour ne pas mettre autrui en danger, j’applique la distanciation spatiale. Si je lui parle, je m’éloigne un peu plus. C’est spatial. La « distanciation sociale » incite à l’indifférence, je peux laisser l’autre crever tout seul en respectant le principe. C’est le stade ultime de l’individu atomisé irresponsable, présenté sous les attraits de l’altruisme.
C’est cohérent avec le confinement concrètement instauré. L’action collective s’est figée avec la sidération du confinement brutalement imposé. Les cages d’escalier ne sont plus nettoyées, le virus prospère sur les boutons d’ascenseur et dans l’air, dans les rames de RER bondées du 93 et d’ailleurs, tandis que chacun, quand il le peut, respecte à la lettre la « distanciation sociale » qui ne s’est accompagnée d’aucune incitation, aucune mise à disposition de matériel, aucune facilitation des autorités pour que l’on s’organise collectivement. Nous connaissons des infirmières qui proposent leur aide, bénévoles ou non, l’une est restée chez elle sans réponse, depuis plusieurs semaines.
L’engineering social est en cours, les algorithmes tournent en continu, les comportementalistes alimentés par Orange analysent la migration Paris-Bretagne, les interactions, les corrélations… Les colonies de fourmis sont scrutées à la loupe.
La crise dans la crise est une bénédiction pour certains. La crise économique tardait à venir, la génératrice automatique de crises tournait à plein, toute rechargée d’huile moteur après les non-leçons de la crise de 2008. Mettre la responsabilité de la crise sur le dos d’un virus anonyme, c’est justifier l’épuration de ce que les décideurs veulent épurer, c’est la magnifique opportunité de tout changer en marge du système, sauf ce qu’il faudrait changer dans le système : le processus décisionnaire, donc de gestion, en particulier.


Pas de ciel gris sans éclaircies


Oui bon d’accord, il est noir sombre et menaçant, mais ça ne rimerait pas, pas plus que le covid-19 ne rime avec l’ampleur du chaos provoqué.
Tel que mis en œuvre en France le confinement confine au “contaminement“. Les populations très touchées du Grand-Est, des Hauts de France et d’Ile-de-France sont donc probablement proches du seuil d’immunité de groupe, ce bon vieux seuil des bonnes vieilles grippes qui annonce la fin de l’hiver. Les températures élevées du printemps tueront plus vite le virus dans l’air. La Corée, la Suède et l’Allemagne montrent que le covid-19 est une grippe sévère transformée en cataclysme par les transformations forcées menées contre la société, et aggravée localement par des étranges créatures.
Dans un monde sensé, une poignée de citoyens avisés, guidés par un bon sens ancestral, seraient capables de faire sortir le pays du confinement en quelques jours, sans casse. Les moyens affectés aux ministères de la santé et de l’industrie, associés ministère de l’Import/Export Solidaire suffiraient pour fournir en une ou deux semaines maximum, l’équipement nécessaire.
Laboratoires vétérinaires et médicaux en flux tendu pour la fabrication des kits de tests et le dépistage de masse décentralisé. Réquisition des bâtiments si nécessaire.
Gestion rationnelle des usines pharmaceutiques du territoire pour produire les médicaments selon l’urgence.
Évaluation précise des capacités de production et d’importation de tous les matériels nécessaires. Publication open source de tous les éléments de gestion qu’utilisent les ministères. Si la marge de sécurité n’est pas suffisante, et que les leviers de ministère de l’industrie ont été actionnés, les initiatives citoyennes sont sollicitées, un processus hybride de décisions centrales et locales est mis en place, l’État prend autant que possible le rôle de facilitateur.
Toutes les radios et télévisions, locales et nationales, communiquent régulièrement, pour la durée jugée suffisante, les informations importantes, sur les points essentiels :



  • Moyens locaux pour se faire diagnostiquer, soigner, dépister (médecine de ville, coordination généralistes-hôpitaux).

  • Distribution d’équipements et coordination des citoyens pour assister les personnes en difficulté, organiser leur quarantaine, leur alimentation, proposer un logement sain temporaire si les conditions d’hygiène ne sont pas tenables.

  • Point quotidien sur les pénuries/risques de pénuries de chaque produit et service utile, médicaments, protections…




La visite du président Macron au service du Dr Raoult à Marseille, signifie au mieux la perte de 4 jours supplémentaires. Son discours a été reporté au lundi soir suivant. Pour annoncer quelles décisions ? Il n’y a rien à discuter. Produire et se fournir des masques et des blouses (on en est où ?), dépister en masse (faire tomber immédiatement les freins administratifs, cf les 75 laboratoires de santé en attente !!??), traiter les gens au plus tôt par tous les moyens jugés bons par les médecins, leur fournir les matières premières, l’assistance citoyenne et étatique adéquate, appliquer la transparence nécessaire pour que les actions des contributeurs potentiels, individus, entreprises, collectifs, soient facilités.
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeSam 18 Avr - 12:48

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Des masques pour tous, ras-le-bol du confinement: les Français un mois après [SONDAGE EXCLUSIF]


Un mois après l'entrée en vigueur du confinement, seuls 51% des personnes interrogées par YouGov pour Le HuffPost réclament le maintien du confinement.





CORONAVIRUS - Le temps passe et l’enfermement pèse lourd sur le moral des Français. Un mois après l’entrée en vigueur de l’opération de réclusion massive ordonnée pour enrayer l’épidémie de coronavirus, de moins en moins de Français interrogés chaque semaine par YouGov pour Le HuffPost soutiennent le principe de ce confinement. À l’inverse, ils sont toujours plus nombreux, semaine après semaine, à réclamer la distribution gratuite de masques de protection.
Alors qu’Emmanuel Macron a fixé l’horizon du 11 mai pour le début du déconfinement progressif, à peine 1 personne sondée sur 2 (51%) soutient encore le principe du confinement généralisé [url=https://docs.cdn.yougov.com/uq3ysojalx/Results for YouGovFR1 (Coronavirus tracker_ w6).pdf]dans la dernière vague de notre sondage YouGov[/url]. C’est 10 points de moins que la semaine dernière et 24 points de moins qu’il y a un mois. 
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Comme vous pouvez le voir dans notre graphique ci-dessus, ce soutien de plus en plus frileux au principe du confinement est inversement proportionnel à la demande d’une distribution générale de masques, qui n’a cessé de progresser depuis le début du confinement.
Désormais, 83% des personnes interrogées réclament la distribution gratuite de masques de protection à l’ensemble de la population. Ils n’étaient que 49% la semaine où le confinement a été mis en place. 


Lors de sa dernière allocution télévisée, Emmanuel Macron a indiqué qu’à compter du 11 mai “l’État devra permettre à chaque Français de se procurer un masque grand public”. “Pour les professions les plus exposées et pour certaines situations, comme dans les transports en commun, son usage pourrait devenir systématique”, a-t-il précisé.


La défiance à l’égard du gouvernement continue



Emmanuel Macron a également annoncé que les mesures d’interdiction des grands événements culturels et sportifs seraient prolongées au-delà du 11 mai. Une décision manifestement en phase avec les attentes des Français. 78% d’entre eux approuvent l’interdiction des rassemblements concentrant un public important. Une tendance stable depuis le début du confinement.
En revanche, la confiance dans la gestion de la crise ne s’améliore pas, ou à peine. 56% des personnes interrogées jugent que le gouvernement gère mal l’épidémie de coronavirus. Ils étaient 41% il y a encore un mois.




Comme vous pouvez le voir dans notre graphique ci-dessus, ce soutien de plus en plus frileux au principe du confinement est inversement proportionnel à la demande d’une distribution générale de masques, qui n’a cessé de progresser depuis le début du confinement.
Désormais, 83% des personnes interrogées réclament la distribution gratuite de masques de protection à l’ensemble de la population. Ils n’étaient que 49% la semaine où le confinement a été mis en place. 


A voir également sur Le HuffPostMême en parlant, vous risquez de transmettre le coronavirus

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeSam 18 Avr - 9:18

Aucun rapport avec la situation actuelle ...quoique... 



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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeSam 18 Avr - 9:04

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeSam 18 Avr - 2:27

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeVen 17 Avr - 18:39

APRES GUILBERT DE LOCON NOUS AVONS UN BERGER ...Xavier-Louis de Izarra ....QUI VEUT SE PRÉSENTER AUX PRÉSIDENTIELLES 
....



VOICI SON SITE :
https://www.youtube.com/channel/UCOuNP9ryCFZeY1S6RushYQQ
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeVen 17 Avr - 12:38

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Confinement : verbalisations abusives et forces de l'ordre à la peine

Les témoignages pour amendes jugées abusives pendant le confinement se succèdent. Un reflet du flou juridique de règles édictées en urgence, regrettent les forces de l'ordre.



Par Bénédicte Lutaud

Publié hier à 20:22, mis à jour hier à 21:28


Un contrôle de l'attestation dérogatoire de sortie pendant le confinement par des gendarmes sur l'A26, entre Troyes et Chalons-en-Champagne, le 11 avril 2020. FRANCOIS NASCIMBENI / AFP
Des amendes pour avoir acheté du pain, des protections mensuelles ou encore, pour avoir fait du vélo. Ces dernières semaines, les témoignages de verbalisations jugées comme abusives se succèdent dans les médias et sur les réseaux sociaux. Et parfois, les contrôles des forces de l'ordre prennent même une note plus dramatique encore.
Deux témoignages ont notamment suscité l'indignation il y a deux jours. Dans le Tarn, une septuagénaire qui a été verbalisée pour avoir voulu saluer son mari à travers la fenêtre de l'EHPAD où il réside. Dans le même temps, un habitant du Loire-et-Cher écope d'une amende sur l'île de Ré et est La gendarmerie «regrette» la verbalisation d'un homme voulant rendre visite à son père mourant. Ce dernier, hélas, est décédé ce mercredi.

À lire aussi : Ordre public, santé: la crainte des forces de sécurité sur la durée du confinement
Abus de pouvoir ? Incompréhension des règles en vigueur ? Effet de loupe ? Cas isolés ou non, ces amendes excessives, qui virent parfois au drame humain, sont en tout cas le révélateur d'un réel fossé entre les directives prises en urgences par le gouvernement pour instaurer le confinement, et le difficile travail d'appréciation, sur le terrain, par les forces de l'ordre.
Jointes par Le Figaro, les forces de gendarmerie sont parfaitement au courant des deux cas de verbalisations abusives rapportés dans le Tarn et sur l'île de Ré. Pour le cas de l'EHPAD, on reconnaît une véritable erreur d'appréciation : «les gendarmes ont pensé à un lieu à risque et ont verbalisé dans un premier temps, explique-t-on à la gendarmerie nationale. Mais ils se sont rapidement rendu compte qu'un rappel pédagogique aurait suffi humainement. Les gendarmes ont tout de suite appelé la famille pour reconnaître que cela avait été excessif. Ils ont traité avec les autorités judiciaires en local qui ont demandé au ministère public d'annuler la contravention.»

Capacité à prouver sa bonne foi

Pour le cas de l'île de Ré, la gendarmerie nationale souligne que la situation locale était plus complexe à apprécier pour le maréchal des logis en question, compte tenu du lieu en question et de la période : «L'île de Ré est un territoire attractif. Notamment avec le week-end pascal et le beau temps, il y a eu une augmentation de la circulation sur l'île et en accord avec la préfecture, nous avons reçu des consignes de fermeté édictées par le gouvernement.»
À lire aussi : La gendarmerie «regrette» la verbalisation d'un homme voulant rendre visite à son père mourant
Dès lors, «le gendarme était dans la lettre» des consignes reçues. En l'occurrence, selon la gendarmerie nationale, une «note de bas de page», sur l'attestation dérogatoire de sortie, précise que les personnes bénéficiant de l'une des exceptions au confinement doivent «se munir (....) d'un document leur permettant de justifier que le déplacement considéré entre dans le champ de l'une de ces exceptions». En application stricte des règles, l'habitant du Loir-et-Cher verbalisé aurait ainsi dû, par précaution, se munir d'une «attestation médicale» en plus de l'attestation habituelle.
À lire aussi : Les forces de l’ordre musclent l’offre «numérique»
Selon son témoignage recueilli par France Inter, l'homme a toutefois appelé le médecin de son père, en vain. Côté gendarmerie, on avance que les appels de l'habitant auprès de la mairie et de la préfecture l'auraient également dissuadé de circuler sur l’Île de Ré. Il n'empêche, le résultat de cette verbalisation est que l'homme n'a pu embrasser son père une dernière fois avant sa mort. «Cela reste un drame pour nous», confie-t-on à la gendarmerie nationale.

Tout en jugeant lui aussi cette verbalisation excessive - «un manque de discernement évident» -, le commissaire divisionnaire David Le Bars, secrétaire général du syndicat des commissaires de la police nationale, rappelle qu'en cas de «nécessité familiale impérieuse», il vaut mieux être capable de «prouver sa bonne foi» «pour la garde d'enfant, cela peut être un échange d'e-mail entre le père et la mère, par exemple. On peut toujours avoir un document sur soi emportant la conviction de l'agent.»

Discernement et humanité

Le capitaine Marc Rollang, porte-parole de l'association professionnelle nationale militaire «Gendarmes et citoyens» est toutefois plus sévère envers son confrère : «ce camarade a manqué de justesse d'analyse, il aurait pu demander l'avis d'un collègue ou d'un chef», d'autant plus que les arguments de cet homme «avaient été audibles» par d'autres gendarmes lors d'un premier contrôle à la sortie de l'autoroute.
Sur Twitter, le Syndicat des commissaires de police nationale a également jugé avec sévérité le cas de l'Île-de-Ré et de l'EHPAD du Tarn.

Citation :
LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Z-M_G4ap_normal

Commissaires de la Police Nationale SCPN@ScpnCommissaire





[ltr]L’attestation prévoit « déplacement pour motif familial impérieux ». C’est donc valable, et par ailleurs, la contravention ne permet pas de forcer une personne à faire demi-tour. https://twitter.com/franceinter/status/1250152123351928832 …[/ltr]







France Inter

✔@franceinter

Un homme contraint de faire demi-tour alors qu'il allait voir son père mourant : un gendarme a jugé son motif de déplacement non-valable https://www.franceinter.fr/justice/confinement-un-homme-contraint-de-faire-demi-tour-alors-qu-il-allait-voir-son-pere-mourant?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1586885725 …#ÎleDeRé #Gendarmerie


LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 EVluutsWoAUyUXl?format=jpg&name=small





«Il faut que les agents, gendarmes et policiers, gardent de l'humanité vis-à-vis des personnes que l'on a en face de soi», estime ainsi le commissaire David Le Bars. «Alors qu'on entre dans une nouvelle phase de confinement, les gens sont exaspérés, certains le vivent mal. On doit d'autant plus faire preuve d'humanité, insiste le policier. Bien sûr, il peut y avoir des menteurs qui cherchent à susciter l'émotion, mais le doute doit leur profiter. En revanche, ceux qui font des barbecues ou qui se baladent par groupes de vingt, ceux-là, on ne doit pas leur faire de cadeau.»
David Le Bars, commissaire divisionnaire et porte-parole du syndicat des commissaires de la police nationale a écrit:

Alors qu'on entre dans une nouvelle phase de confinement, les gens sont exaspérés. On doit d'autant plus faire preuve d'humanité. En revanche, ceux qui font des barbecues, ceux-là, on ne doit pas leur faire de cadeaux !
Le commissaire de police en profite pour lever certains doutes quant aux exceptions concernant le confinement : «faire du vélo n'est pas interdit, cela entre dans le cadre de l'activité physique dans un rayon d'1km près du domicile et d'1h maximum. On a également le droit d'aller acheter son pain à vélo ! De même, il n'y a pas de délai pour aller faire ses courses, d'autant plus s'il y a trois quarts d'heure de queue aux caisses. Enfin, ce qui n'est pas précisé n'est pas interdit ! On n'a pas à interpréter la loi. Nous sommes déjà dans une période de restriction des libertés. C'est le juge qui interprétera la loi !».

David Le Bars, porte-parole du syndicat des commissaires de la police nationale a écrit:

On a le droit d'aller acheter son pain à vélo ! De même, il n'y a pas de délai pour aller faire ses courses, d'autant plus s'il y a la queue aux caisses. On n'a pas à interpréter la loi. Nous sommes déjà dans une période de restriction des libertés. C'est le juge qui interprétera la loi !

Une première juridique et un manque de recul

Au juge d'interpréter la loi : là est peut-être toute la question dans ces difficultés à comprendre et apprécier les règles du confinement, tant de la part des citoyens que chez les forces de l'ordre. «La rapidité du montage juridique n'a pas permis aux divers acteurs, police, police municipale, gendarmes d'appréhender avec la rigueur nécessaire les éléments pour réaliser les contraventions de non-respect du confinement», déplore ainsi le capitaine Marc Rollang, de l'association Gendarmes et citoyens. «C'est une catastrophe : sept motifs de sortie sur l'attestation, eux-mêmes pas toujours précis, quand il n'y en a qu'une en Espagne. C'est une première juridique. Dès lors, les citoyens ont l'impression d'être dans leur bon droit», abonde ainsi David Le Bars.
À lire aussi : Coronavirus: les forces de l’ordre cibles de crachats et de coups lors des contrôles
À la multiplicité des exceptions qui se sont ajoutées au fur et à mesure, s'ajoute les disparités territoriales de certaines règles. Certaines villes, comme Paris, ont par exemple interdit le running entre 10h et 19h«Avec les millions de personnes habitant sur un territoire, il y a autant de millions de situations particulières», fait-on encore valoir à la gendarmerie nationale. Les personnes s'estimant lésées sont néanmoins invitées par les forces de l'ordre à «procéder à toute voie de recours auprès du tribunal de police», rappelle le capitaine Marc Rollang, qui estime que «les magistrats des tribunaux de proximité adhéreront facilement aux arguments des justiciables».
D'ordinaire, il est possible de contester une contravention automatisée (par exemple, un excès de vitesse par un radar) sur le site de l'Agence nationale de traitement automatisé des infractions (Antai) ou par voie postale, en écrivant à l'officier du ministère public (l'adresse postale figurant en bas à droite de la première page de l'avis de contravention). Pendant la crise sanitaire, le délai de contestation passe d'ailleurs de 45 à 90 jours.
Mais en ce qui concerne les circonstances du contrôle des sorties du confinement, par exemple sur le comportement des policiers ou des gendarmes, il est préférable d'effectuer un signalement sur la plateforme de l'IGPN ou celle de l'IGGN.

Moins de 300 signalements sur l'IGPN

Aussi injustes, et dramatiques que soient les situations rapportées, la gendarmerie nationale assure qu'il s'agit néanmoins d'un «effet de loupe» et que la plupart des contrôles se passent bien. Au ministère de l'Intérieur, on confirme cette appréciation : «Les Français respectent bien le confinement et se comportent avec civisme lors des contrôles réalisés. Il peut y avoir des difficultés rencontrées lors des contrôles, mais ni plus ni moins que d'habitude, avant le début de la crise sanitaire.» Ces «contrôles difficiles» ont aussi bien lieu «dans les quartiers sensibles que dans le reste du territoire.» Le ministère rappelle encore aux citoyens de «se munir des pièces justificatives lorsqu'ils le peuvent (livret de famille, billet de train, preuve d'un RV médical, ...) afin de faciliter les vérifications».
À lire aussi : La gendarmerie renforce la sécurité du réseau postal
Concrètement, combien de cas de signalement ont néanmoins été recensés officiellement ? « Il y a un peu moins de 300 signalements qui ont été réalisés sur la plate-forme IGPN (inspection générale de la police nationale, NDLR), dont seulement la moitié porte sur des verbalisations, sur les 704.000 verbalisations lors des 11 millions de contrôles réalisés depuis le début du confinement», rapporte le ministère de l'Intérieur, qui ne précise pas toutefois le nombre de signalements recensés sur la plateforme de la gendarmerie nationale, l'IGGN, ni le nombre de contestations enregistrées sur le site de l'ANTAI.


À voir aussi - Stanislas Gaudon, policier: «Pas de masques, pas de contraventions, pas de contrôles»



Stanislas Gaudon, policier: «Pas de masques, pas de contraventions, pas de contrôles»
Le délégué général du syndicat Alliance police national s'alarme de l'absence de protection des policiers face au coronavirus qui veillent au respect du confinement. Sans masques ni gels, il les encourage à exercer leur droit de retrait.

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeVen 17 Avr - 9:15

NON A LA DISCRIMINATION SELON L'AGE 





NON AUX DÉCISIONS INJUSTES  :
---« On peut pousser son chariot au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »

---« On peut aller a la SPA adopter un animal , mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère »
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMar 14 Avr - 17:15

Apres avoir démoli notre systeme hospitalier sous Hollande et depuis son élection , après avoir gazé et violenté les infirmiers et infirmières , Macron les félicite hier soir a 20h ...de qui se moque t 'il ?

Ensuite sous la pression du médef il veut stopper le confinement le 11 avril dans la confusion .

Attention de ne pas tomber dans le piège .

Vite il faut faire travailler les Francais car le Medef rale c 'est la cata en bourse 

Mais comment faire tourner les machines, si les salariés/parents sont coincés à la maison, obligés, faute de crèches ou d'écoles, de s'occuper de leur marmaille ?

C'est là qu'intervient la Macrionette du MEDEF : réouverture des écoles le 11 Mai a décrété Pinocchio ! Les enfants à l'école, les parents à l'usine ! Et tant pis si le virus circule encore ! Tant pis si les petits, incapables de respecter les mesures de distanciation physique le rapportent à la maison ! 





Que les profs et instits reprennent le boulot ! Tant pis si, faute de moyens de protection, ils sont aussi contaminés !

Après tout, nous sommes en guerre (pas sanitaire, juste économique) !


Et en temps ordinaire, dans les armées, 7 % de pertes sont autorisées.
Enfin, pour la piétaille, pas pour les généraux... 


Et Emmanuel Clémensot a d'abord comme objectif de permettre au Capital de retrouver ses dividendes. Et pas de mutinerie chez les esclaves, svp !
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMar 14 Avr - 14:49

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMar 14 Avr - 14:46

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMar 14 Avr - 13:23

Juliette , comme vous des tas de gens sont mécontents de ce qui se passe en France .
je regardai la télé et je voyais qu 'en Espagne la police distribuait gratuitement des masques a tous les utilisateurs des métros et transports en commun et nous ...??? RIEN 

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Juliette
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMar 14 Avr - 12:23

Merci monsieur ACARIE de me donner la parole . Oui nous voulons tous des masques pour nos enfants et aussi pour nous LES PARENTS ET GRANDS PARENTS  . 
AVEC DES MASQUES NOUS POURRIONS REPRENDRE NOTRE TRAVAIL  .
 Mais que font tous nos élus de locon , du conseil départemental et régional et que fait notre députée ? . 
a quoi servent ils ?
Je suis très en colère  .
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMar 14 Avr - 8:55

QUE CHERCHE VRAIMENT MACRON ???? 


https://www.dailymotion.com/video/x7ta44o?fbclid=IwAR2S2eYMEoqn_tmwODpQMXWK3PifAu9ZSfRLPtriCK5I4JnyN-fy-aGUeLo

Les pharmaciens réclament le droit de vendre des masques non sanitaires


Marie Bonte
| 07.04.2020


  • LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 113460_IMG_62742_HR

Phanie


https://www.dailymotion.com/video/x7ta44o


Les représentants de la profession s’unissent pour demander aux pouvoirs publics l’autorisation de pouvoir fournir des masques non sanitaires à la population.


Suite aux déclarations du ministre de la Santé et de la recommandation de l’Académie nationale de médecine concernant le port de masques alternatifs par la population, Carine Wolf-Thal, présidente du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens, Philippe Besset, président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) et Gilles Bonnefond, président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) ont immédiatement réclamé aux pouvoirs publics de pouvoir fournir ces masques non sanitaires.


Dans un communiqué commun, les représentants de la profession demandent que des mesures soient prises pour que les pharmaciens y soient autorisés, « ces produits ne rentrant pas dans la catégorie des marchandises pouvant être commercialisées en officine ». Ils suggèrent deux leviers possibles pour permettre l’entrée de ces masques à l’officine : les inclure à la catégorie des équipements de protection individuelle respiratoire (EPI) déjà dispensés en pharmacie, ou encore faire évoluer la liste des marchandises pouvant être commercialisées en officine. Philippe Besset et Gilles Bonnefond ont précisé que les syndicats sont favorables à un encadrement des prix publics et des prix de cession pour chaque catégorie de masques « comme cela a été fait pour le prix des gels hydroalcooliques ».


Interrogé à l’occasion de sa conférence de presse télévisée du 6 avril par « Le Quotidien du pharmacien », sur une autorisation faite aux officinaux de vendre des masques alternatifs, Olivier Véran, ministre de la Santé, a répondu que cette demande serait examinée. Il a cependant réservé pour le moment sa réponse, expliquant que le port du masque en population générale soulevait beaucoup d’autres questions à l’étranger et que le gouvernement l’étudiait « avec beaucoup d’humilité face à un risque inconnu et aux données remontant de certains pays, ou encore de l’OMS qui considère que le port du masque ne doit pas pénaliser les gestes barrières encore plus protecteurs ». « Nous saisissons les autorités de ce pays pour savoir si la doctrine doit évoluer étant donné que l’avis d’un certain nombre de scientifiques a pu évoluer », a ajouté le ministre.


Plusieurs municipalités n’ont pas attendu d’avoir la position du gouvernement pour envisager l’obligation du port du masque dans l’espace public. Les maires de Cannes, Nice, Mandelieu (Alpes-Maritimes), Sceaux (Hauts-de-Seine) ont annoncé des décrets obligeant la population à se cacher le bas du visage. À Nice, par exemple, cette interdiction sera assortie de la mise à disposition gratuite de masques à la population.


Source : Lequotidiendupharmacien.fr





affraid affraid affraid affraid affraid affraid

NOUS VOULONS DES MASQUES...NOUS VOULONS DES MASQUES ..... NOUS VOULONS DES MASQUES 
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeLun 13 Avr - 16:16

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeLun 13 Avr - 16:14

https://reseau-healthtech.fr/Bill-Gates-et-la-CIA-avaient-prevu-la-pandemie-et-nous-ne-sommes-pas-prets.html


Covid-19 : Bill Gates et la CIA avaient prévu la pandémie, et nous ne sommes pas prêts




 mardi 17 mars 2020,  dans le réseau de Christophe Juppin


Le fondateur de Microsoft, ainsi que les analystes de la CIA, avaient averti sur les risques d’une pandémie semblable à celle du Covid-19.
Les grandes catastrophes s’accompagnent toujours de leurs foules de Cassandre de la douzième heure et de leurs litanies à base de «  je vous l’avais bien dit  ». En l’occurrence, ce sont les recommandations YouTube, souvent taquines comme chacun le sait, qui ont exhumé ces derniers jours sur de nombreuses « timelines » une intervention de Bill Gates qui, il y a cinq ans, décrivait ses craintes d’une pandémie virale très semblable à celle que nous vivons depuis plusieurs semaines.
Ce « TED talk » (ces mini-conférences qui font un carton en ligne) d’un peu moins de 10 minutes a été vu par près de 5 millions de personnes sur YouTube et s’intitule sobrement « La prochaine épidémie ? Nous ne sommes pas prêts  ».
Bill Gates, alors encore l’homme le plus riche du monde, y décrit une de ses obsessions, que l’on peut retrouver dans de nombreuses interviews du philanthrope à la même époque : l’irruption d’une pandémie à laquelle l’humanité ne serait pas préparée. Nous sommes alors en mars 2015, dans la foulée de la terrible épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest, restée essentiellement contenue à trois pays grâce à l’investissement des ONG dont MSF.
« Quand j’étais petit, la catastrophe dont nous avions le plus peur était un conflit nucléaire  », commence le fondateur de Microsoft. « Mais si quelque chose tue plus de 10 millions de personnes dans les prochaines décennies, ce sera plus probablement un virus hautement contagieux qu’une guerre. […] Nous avons investi beaucoup dans la dissuasion nucléaire, et très peu dans un système pour endiguer les épidémies. Nous ne sommes pas prêts. »
En ce qui concerne Ebola, « le problème était qu’il n’y avait pas de système », tranche Bill Gates, qui vient de suivre la progression, via son influente fondation humanitaire, de cette épidémie qui a fait plus de 10 000 morts au Liberia, en Sierra Leone et en Guinée. « Nous n’avions pas d’équipe d’épidémiologistes prête à partir sur place, les rapports arrivaient sur papier et étaient inexacts. » L’OMS, dont ce serait le rôle, n’est pas armée pour le faire, souligne-t-il.

« Nous pourrions avoir moins de chance »

Bill Gates craint alors une épidémie plus mortelle et surtout plus étendue qu’Ebola, qu’il qualifie d’avertissement planétaire. « Il y a trois raisons pour lesquelles Ebola ne s’est pas propagé davantage  », explique le milliardaire :
« Un travail héroïque des équipes de santé, qui ont évité la propagation des infections sur place […]
La nature du virus, qui ne se propage pas dans l’air : au moment où ils deviennent contagieux, la plupart des gens sont tellement malades qu’ils restent cloués au lit […]
Le fait qu’Ebola ait touché très peu de zones urbaines, ce qui relève simplement de la chance. 
 »
«  La prochaine fois, nous pourrions avoir moins de chance », avertit Bill Gates. « Imaginez un autre virus, avec lequel les gens infectés se sentiraient suffisamment en forme pour prendre l’avion ou aller au supermarché. […] D’autres variables rendraient les choses mille fois pires : par exemple, un virus capable de se propager dans l’air comme la grippe espagnole de 1918. »
Il est désormais prouvé que le Covid-19 survit trois heures , que les symptômes peuvent mettre deux semaines à apparaître et que les personnes infectées peuvent être contagieuses même en période d’incubation.
Combien de temps le coronavirus survit-il dans l’air et sur les surfaces ?
Certes, les avancées de la communication et de la biologie donnent des armes à l’humanité pour riposter rapidement. « Il n’y a pas lieu de paniquer… Mais nous devons nous y mettre  », conclut le Bill Gates de 2015, qui plaide pour un « système de santé mondial », avec des unités médicales mobiles et de réservistes.
« Je n’ai pas un budget précis, mais il serait minime par rapport aux dégâts potentiels. La Banque mondiale estime qu’une épidémie mondiale de grippe diminuerait la richesse mondiale de 3 000 milliards de dollars, en plus des millions de morts. »

« Dans une zone comme il en existe en Chine… »

Un petit livre à la couverture rouge, plus ancien que la conférence de Bill Gates, est également réapparu sur les réseaux sociaux ces dernières heures. « Le nouveau rapport de la CIA : comment sera le monde en 2025 ?  », dont l’édition française est parue aux éditions Robert Laffont en 2009, est la quatrième édition d’un rapport de l’agence de renseignement américain, qui tente régulièrement de prédire l’avenir du monde dans un horizon de quinze à vingt ans, en pointant l’émergence de facteurs susceptibles de provoquer conflits et tensions. Dans un encart intitulé «  Le déclenchement possible d’une pandémie mondiale  », les experts de la CIA y décrivent un scénario très proche de la crise du Covid-19, imaginant « l’apparition d’une nouvelle maladie respiratoire humaine virulente, extrêmement contagieuse ».
Le texte prévoit même dans quelle zone et dans quelles circonstances ce nouveau virus pourrait émerger : « Si une maladie pandémique se déclare, ce sera sans doute dans une zone à forte densité de population, de grande proximité entre humains et animaux, comme il en existe en Chine et dans le Sud-Est asiatique où les populations vivent au contact du bétail. »
Les pratiques d’élevage à l’œuvre dans ces zones sont des vecteurs de contagion virale au sein des populations animales et de transmission à l’homme, soulignent les auteurs en rappelant l’exemple de la grippe H5N1. « Dans un tel scénario, la maladie tarderait à être identifiée si le pays d’origine ne disposait pas des moyens adéquats pour la détecter  », redoutent les analystes. «  Il faudrait des semaines pour que les laboratoires fournissent des résultats définitifs confirmant l’existence d’une maladie risquant de muter en pandémie. »
Les premiers cas de Covid-19 ont été recensés le 31 décembre 2019, trois semaines après l’apparition des premiers symptômes chez des employés du marché de fruits de mer de Huanan, à Wuhan. L’OMS n’a déclaré l’état d’urgence sanitaire que le 30 janvier 2020.

« Des tensions ne manqueraient pas d’éclater »

Alors, prédisaient les auteurs, les Etats tenteront de contrôler et limiter les mouvements de leurs populations, avec difficulté et sans garantie de succès. Là encore, la présence de malades asymptomatiques serait un facteur aggravant : « en dépit de restrictions limitant les déplacements internationaux, des voyageurs présentant peu ou pas de symptômes pourraient transporter le virus sur les autres continents  ».
Le nombre de malades augmenterait alors de mois en mois, en l’absence d’un vaccin efficace. « Dans le pire des cas, ce sont de dix à plusieurs centaines de millions d’Occidentaux qui contracteraient la maladie », écrit la CIA, qui prévoit également un choc économique majeur, avec une « dégradation des infrastructures vitales et des pertes économiques à l’échelle mondiale ». Si le facteur pathogène s’avérait particulièrement virulent, un bilan humain mondial se comptant en centaines de millions de morts serait même à envisager.
Certes, le monde se prépare alors à une telle éventualité, rassure la CIA, rappelant que des centres de recherche travaillent à la mise au point de vaccins capables de prévenir ou limiter les pandémies de grippe : «  Un résultat positif dans les prochaines années réduirait le risque que représente une telle pandémie pour les décennies à venir. »
Avec ce bémol :
« Si une telle maladie apparaît d’ici à 2025, des tensions et des conflits internes ou transfrontaliers ne manqueront pas d’éclater ».
Dans la foulée de l’épidémie d’Ebola de 2014-2015, le Conseil de sécurité national (NSC) de la Maison-Blanche se dotait d’une unité de lutte contre les pandémies, dirigée par des experts mondialement reconnus. En mai 2018, l’administration Trump supprimait cette équipe, la jugeant inutile.
Vendredi 13 mars 2020 en conférence de presse, Donald Trump a rétorqué à la journaliste qui l’interrogeait sur cette décision que sa question était « méchante ».
Timothée Vilars
Publié par Timothée Vilars le 15 mars 2020 sur https://www.nouvelobs.com/
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeLun 13 Avr - 16:08

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c'est la fête des cloches
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeDim 12 Avr - 12:31

Ce matin je suis allée au supermarché pour acheter les choses dont j'avais besoin, j'attendais dans la queue pour payer et je remarque qu'une dame en face de moi me regardait avec insistance ... Je pense... bah qu'est-ce qu'elle a celle la a me regarder comme ça ?
Je lui ai demandé: désolée mais nous connaissons-nous?
Elle: non, mais vous ressemblez beaucoup à ma fille !
J'étais  étonnée...  aaaah ok ... et j'ai souri ...
Elle: ma fille nous a quitté il y a un mois.
Je ne savais pas quoi lui répondre...

Nous avons continué la queue et avant de payer, ... avec son chariot plein de marchandises elle me dit: puis-je vous demander une faveur?
Je pensais qu'elle allait me demander de l'argent et à la place elle me murmure : pouvez-vous me dire "au-revoir maman" quand je pars?
J'ai été choquée , j'ai dit oui et quand elle est partie je lui ai dit ce qu'elle m'avait demandé, les larmes aux yeux.
Mon tour vient de payer à la caisse, je donne mon lait, mon pain, etc., etc., et la caissière me dit :
248 € Madame !
Moi: quoi?
La caissière : la dame qui vient de partir a dit que c'est sa fille qui payait !
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeSam 11 Avr - 13:58

LA PRESSE SERVILE  AUX ORDRES d'un GOUVERNEMENT INCAPABLE MANIPULE UNE FOIS DE PLUS LE PEUPLE ...

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeSam 11 Avr - 9:55

Je vous comprends Monsieur ACARIE . Nous avons été solidaires pour participer financièrement a l 'installation d 'un boulanger mais quand il s 'agit d' être solidaire contre la maladie il n 'y a plus personne . n 'oubliez pas  que le nouveau conseil n'est pas en place et que les décisions a prendre traînent. 
Je vous propose donc de prier en cette semaine sainte pour que nous soyons épargnés pas ce fichu virus .
je vous souhaite une bonne journée
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeSam 11 Avr - 9:32

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Marine Le Pen est venue livrer  10 000 masques  


Y. M.Y. M.
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HÉNIN-BEAUMONT.




Marine Le Pen s’est rendue hier à Hénin-Beaumont, principale ville de sa circonscription (la onzième du Pas-de-Calais). La députée et présidente du Rassemblement national n’est pas venue les mains vides.


 Dans une vidéo tournée devant les marches de l’hôtel de ville et diffusée sur sa page Facebook et celle du maire d’Hénin-Beaumont Steeve Briois, elle annonce la livraison de 10 000 masques chirurgicaux pour les EHPAD et les infirmiers libéraux de sa circonscription.


 « Ces masques viennent de Chine, précise-t-elle, et ils ont été commandés il y a maintenant une dizaine de jours. Et nous espérons pouvoir renouveler cette opération pour que chacun puisse sereinement continuer à avancer vers la sortie de cette crise sanitaire terrible. »

Nous ne sommes pas parvenus à connaître les modalités d’achat et de redistribution de ces masques.
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++


A QUI LE TOUR ???? toujours pas de masques a Locon ...ne pouvant  compter sur personne on fait avec les moyens du bord  lol! lol! lol! lol!


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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeJeu 9 Avr - 20:00

Karine Lacombe. Vous connaissez  ? ce professeur qui a envahi en mars les plateaux TV et a même été en conférence de presse avec divers hauts responsables de l'état.

Sa croisade ? lutter contre Raoult et son traitement. Ok, c'est son choix de médecin, on peut tout à fait l'entendre, d'autant plus qu'elle est loin d'être la seule ... mais quand on commence à gratter un peu ... on tombe vite de sa chaise !

Lorsqu'on va sur https://www.transparence.sante.gouv.fr puis sur "recherche avancée" et que l'on rentre son numéro d'identifiant de médecin dans la base de données (10001466357), on tombe sur le listing de tous les avantages qu'elle a reçu (déclaratif) de l'industrie pharmaceutique. Et accrochez vous bien, il y a plus de 400 lignes, soit 21 pages.... dont : 

Près de 38.000€ pour ABBVIE qui produit le KALETRA (antiviral qui coute entre 110 et 215€ les 60 comprimés), en concurrence avec le PLAQUENIL (qui coute 4€ les 30 comprimés) 

Près de 25.000€ pour GIDEAD qui produit le REMDEVISIR (pas encore commercialisé) en concurrence aussi avec le PLAQUENIL

Alors, oui, c'est probablement son boulot et je ne la blâme pas pour gagner de l'argent avec ces entreprises. C'est le droit le plus strict pour tout le monde et elle a raison de tirer profit des possibilités.  Par contre, elle devrait avoir la décence et la retenue de ne pas intervenir médiatiquement pour prendre position contre un traitement concurrent à ceux des entreprises qui la rémunèrent. Ce serait la moindre des choses. Et ne pas participer à des conférences de presse avec le premier ministre alors qu'elle est en situation de conflit d'intérêt évident.

Voilà où on est avec les conflits d'intérêts monstrueux entre l'industrie pharmaceutique et l'état et le tout sous la bienveillance des médias. Et en attendant ... des centaines de personnes meurent en France tous les jours du Covid-19.

Il ne s'agit pas de déterminer si son propos au sujet du protocole de traitement de l'IHU Méditerranée est pertinent ou pas, ça on le saura un jour, il s'agit de dire que compte tenu de ses liens elle ne devrait pas s'exprimer à la télévision sur ce sujet sans informer le public de la nature de ces liens pour que tout le monde puisse se faire une opinion de sa perspective personnelle. 

(Je me suis inspiré d'une vidéo youtube de la chaine Marcel D. pour ces recherches, mais je ne la partage pas à cause de raccourcis un peu trop simplistes qui y apparaissent. Pour le reste tout est vérifiable sur le site https://www.transparence.sante.gouv.fr)
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMar 7 Avr - 18:19

Coronavirus : Vers une épidémie de plaintes et de recours contre la gestion de la crise par l’exécutif

RÈGLEMENT DE COMPTES Particuliers, associations, syndicats ou partis politiques : les recours dénonçant l’impréparation du gouvernement à la crise sanitaire commencent à affluer

LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 98841cc4-3edd-4d59-a546-3c2cd115fe9aVincent Vantighem

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Mulhouse (Haut-Rhin), le 25 mars 2020. Emmanuel Macron visite l'hôpital de campagne. — Mathieu CUGNOT / POOL / AFP 



  • En France, le coronavirus a fait 1.331 victimes à l’hôpital depuis le début de l’épidémie, un bilan multiplié par 3,5 en une semaine.
  • Le gouvernement a durci le confinement afin de contenir l’épidémie.
  • Mais de nombreuses voix s’élèvent pour critiquer la gestion de l'exécutif et menacent désormais d’actions en justice.

Emmanuel Macron l’a martelé, mercredi soir, à Mulhouse (Haut-Rhin) : « Nous devons n’avoir qu’une obsession, être unis. » Tout le monde ne semble pas d’accord… Alors que le cap fatidique de l’épidémie de coronavirus n’a pas encore été atteint dans l’Hexagone et que de nombreux morts seront à déplorer dans les jours à venir, le gouvernement va devoir faire face également à une multitude de recours en justice.
Plaintes contre des ministres devant la Cour de justice de la République, référés au Conseil d’État et menaces de commissions d’enquêtes parlementaires de la part de l’opposition : de nombreuses voix s’élèvent pour critiquer la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement. 20 Minutes en dresse la liste…

Philippe, Véran et Buzyn visés par des plaintes devant la CJR

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La Cour de justice de la République - K.TRIBOUILLARD / AFP




Confinement oblige, la Cour de justice de la République (CJR) a fermé ses portes il y a dix jours. Mais quelqu’un est tout de même chargé de relever le courrier. Dans la pile, celui-ci a trouvé, selon nos informations, cinq plaintes visant nommément des membres du gouvernement :  le Premier ministre, Édouard Philippe, l’ex-ministre de la santé, Agnès Buzyn, et son successeur actuellement en poste, Olivier Véran.
Elles émanent de particuliers ou d’associations telles que le Mouvement international pour les Réparations ou l’Association pour la sauvegarde du patrimoine martiniquais, et accusent les ministres d’homicides involontaires, de mise en danger de la vie d’autrui ou de non-assistance à personne en danger. La Cour de justice de la République est la seule institution capable de juger des ministres pour des faits commis dans l’exercice de leurs fonctions.
Elle devrait d’ailleurs bientôt recevoir une nouvelle plainte rédigée par le collectif C-19 qui revendique aujourd’hui l’adhésion de 4.000 soignants en France dont Emmanuel Sarrazin, urgentiste à SOS-Médecins à Tours (Indre-et-Loire). « On critique l’impréparation et le manque d’anticipation du gouvernement, justifie-t-il. Quand je lis dans Le Monde qu’Agnès Buzyn avait alerté son gouvernement en janvier et que j’ai vu arriver chez moi, fin février, des malades qui revenaient de zones à risque (Italie, Chine, etc.) sans protection, je me suis dit que ce n’était pas possible… »
Et n’allez pas dire au praticien qu’il va à l’encontre de l’unité nationale indispensable en ces temps difficiles. « On ne dépose pas plainte pour le buzz : j'ai perdu un ami du Covid-19 ! Je nous vois comme des lanceurs d’alerte. C’est nécessaire pour avoir des moyens. Par exemple, à l’hôpital de Tours, aujourd’hui, nous n’avons plus d’écouvillons pour faire les dépistages… »

Citation :
LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Z56sPTYY_normal

Raphaelle Bacqué

:heavy_check_mark:@RaphaelleBacque


[ltr]«Quand j’ai quitté le ministère, je savais que la vague du tsunami était devant nous. Je suis partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu."Aveux surréalistes d'Agnès Buzyn,à lire sans tousser @ArianeChemin
 https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/03/17/entre-campagne-municipale-et-crise-du-coronavirus-le-chemin-de-croix-d-agnes-buzyn_6033395_823448.html … via @lemondefr
[/ltr]




LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 RvYoiZQk?format=jpg&name=600x314

Les regrets d’Agnès Buzyn : « On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade »




Catastrophée par la crise sanitaire, l’ex-ministre de la santé revient pour « Le Monde » sur sa campagne à Paris et son départ du gouvernement.
lemonde.fr


Référés en cascades au Conseil d’État

LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 648x415


Un bureau de vote à Lyon le 15 mars 2020. - KONRAD K./SIPA


C’est la plus haute instance administrative de France. Coronavirus ou pas, le Conseil d’État a du travail en ce moment. Si tous les contentieux non urgents ont été reportés, les magistrats sont encore sur le pont pour trancher ce qu’on appelle les référés-libertés engendrés par la crise sanitaire. Dimanche soir, ils ont planché en urgence sur l’extension du confinement réclamée par un collectif de médecins, conduisant le gouvernement à adapter les règles. Ce jeudi, sur la réquisition de masques et d’usines demandée par des syndicats de soignants. Et lundi prochain, selon nos informations, sur la mobilisation de logements vacants pour abriter les sans-abri que sollicite la Fédération pour le droit au logement.
Mais le plus gros du travail est sans doute à venir. Plusieurs candidats battus dès le premier tour des élections municipales ont, en effet, déposé des recours pour faire annuler le scrutin qu’ils estiment entaché d’irrégularités en raison du coronavirus. Exemple ? Renaud Georges, maire sortant de Saint-Germain-au-Mont-d’Or (Rhône), qui s’estime victime de l’abstention chez les personnes âgées à cause du virus. Si les tribunaux administratifs doivent se pencher sur ces litiges, ils finiront inévitablement devant le Conseil d’État en dernier recours…


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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMar 7 Avr - 15:54

TOUT ET SON CONTRAIRE CHEZ LES CHARLOTS QUI NOUS GOUVERNENT  


https://www.facebook.com/lavraiedemocratie/videos/146673240096820/?notif_id=1586242246496837¬if_t=notify_me_page



LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Annot217

Le fabuleux retournement de veste de nos élus sur le port du masque !

Extrait de l'émission «24H Pujadas» diffusée sur LCI le 02/04/20



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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeMar 7 Avr - 10:15

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeLun 6 Avr - 23:26

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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeLun 6 Avr - 23:22

Ils meurent.
La meilleure des générations est en train de mourir.
Celle qui, sans études, a éduqué ses enfants.
Celle qui sans ressources les a aidés pendant la crise.
Ceux qui ont le plus souffert sont en train de mourir.
Ceux qui ont travaillé comme des bêtes.
Ceux qui ont cotisé plus que quiconque.
Ceux qui ont passé tant de besoins meurent.
Ceux qui ont relevé le pays.
Ceux qui souhaitaient maintenant
profiter de leurs petits-enfants, Ils meurent seuls et effrayés.
Lâchant leur dernier souffle, sans l'aide d'un respirateur misérable.
Ils partent sans déranger, eux qui dérangent le moins.
Ils partent sans adieux, ceux qui méritent le moins de partir...
Ceux qui sont responsables de cette situation, devront rendre des comptes..


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Dernière édition par ACARIE le Mar 7 Avr - 11:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: LA VIE SOUS MACRON    LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Icon_minitimeLun 6 Avr - 23:12

Armées françaises, mensonges et faillite d’Etat ? Un hôpital militaire de 30 lits dans une opération de com pour « l’appel du général » Macron en guerre



Avr 05, 20203


LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 Hopitale-militaire-Mulhouse-coronavirus-Macron
Les connaisseurs du milieu militaire ne peuvent que sourire (avec tristesse) devant la communication outrancière et surtout exagérée sur le rôle des armées françaises dans la crise COVID 19 que traverse la France aujourd’hui. Cette communication est exagérée dans un seul et unique but : redorer l’image du pitoyable président Macron qui, non content d’avoir été imprévoyant,  cherche à être comparé à Clémenceau dans les tranchées.
Tout comme l’hôpital public, l’armée française n’a plus les moyens depuis longtemps pour faire face de manière massive à une telle crise. Bien sûr, la responsabilité doit être recherchée, au minimum chez les trois derniers présidents qui ont diminué de manière drastique les moyens régaliens pour les rendre “rentables” : Sarkozy, Hollande et Macron.
Les hôpitaux militaires ne pèsent que 1% de l’hôpital public (lui-même déjà débordé et sans moyens suffisants). Il aura fallu 6 jours pour que cet hôpital militaire de campagne prenne en charge son premier patient et il ne possède que 30 lits en capacité de réanimation. Savez-vous que l’hôpital historique du Val de Grâce, qui a été fermé contre l’avis des spécialistes, est aujourd’hui à l’abandon et abrite une section Sentinelle alors qu’il avait une renommée mondiale  ?

 Lire: A Londres, un hôpital de campagne de 4000 lits construit en seulement 10 jours





Citation :
Si l’hôpital du Val-de-Grâce attire les convoitises du DAL c’est parce qu’il est … quasi vide. Depuis l’été 2016, tous ses patients sont partis et l’ancien hôpital se cherche un nouvel avenir.
Le ministère de la Défense, en quête d’argent, avait décidé en 2014 de vendre ce très juteux patrimoine. Mais depuis, le site de 2,7 ha n’a toujours pas de repreneur. Plusieurs investisseurs privés le convoitent pour y implanter des équipements dédiés à la santé (pôle mondial de recherche et d’innovation thérapeutique ou hôpital centré sur le handicap), mais deux ministères sont aussi sur les rangs pour occuper les locaux. Le ministère de l’Intérieur songe à y implanter une« cité du renseignement » où les services des espions français seraient regroupés, tandis que le ministère de la Santé voudrait y créer un campus regroupant différents services de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale.
En attendant que l’Elysée tranche, des militaires de l’opération Sentinelle chargés de sécuriser les lieux publics dans le cadre du plan Vigipirate y sont logés.


Florence Parly, en bonne communicante, a envoyé un bâtiment de la Marine nationale en Corse pour transférer 12 patients, pour une capacité maximum de 15 à bord,  alors qu’un aller-retour en avion n’aurait pris que quelques heures… Le clou du spectacle médiatique fût sans doute la diffusion en version accélérée de la vidéo du montage de l’hôpital de campagne à Mulhouse, un peu comme la vidéo d’un des deux hôpitaux chinois construits en 10 jours…sauf que là, il s’agit de 30 lits au lieu de 2 000. Les militaires doivent avoir honte de voir ainsi leur manque de moyens mis en avant par des responsables politiques qui ne pensent qu’à leur ego.

Citation :
LA VIE SOUS MACRON  - Page 11 UtQaUa0m_normal

Florence Parly

:heavy_check_mark:@florence_parly

[ltr]Après deux journées de montage, puis de désinfection, l'élément militaire de réanimation est quasiment terminé à Mulhouse. Sa capacité sera de 30 lits de réanimation. Engagement exemplaire de nos militaires. @armeedeterre @santearmees @EtatMajorFR[/ltr]


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