Je pense qu'un jour il faudra virer des assemblées qui nous gouvernent ces parasites qui votent des lois en leur faveur...trop c'est trop, comment faire confiance aux élus de tous bords...! la marmite finira par exploser...
Les députés dans l’indifférence générale ont voté hier l’exonération de la CSG sur leurs frais de mandat parlementaire Et ce dans le cadre de la loi de moralisation de la vie publique. On marche sur la tête, on demande aux retraités de faire des efforts, des millions de séniors vont voir leur contribution sociale augmenter et en plein été dans la nuit, les députés se votent une exonération d’impôt. Franchement, on se moque du monde ! > > > > > > > Ça suffit, on ne peut demander toujours et encore des efforts aux retraités et les législateurs se votent en catimini une suppression de CSG pour eux-mêmes ! > > > > > > > Ce sont toujours les mêmes qui trinquent, c’est inacceptable, maladroit, honteux ! Les députés sont-ils bien moins lotis que des milliers de retraités qui n’ont que 1200€ de pension mensuelle ?
Il faut savoir que les députés ont 7209,64€ d’indemnité mensuelle, 5840€ d’indemnités représentatives et 9618€ de crédit pour rémunérer leurs collaborateurs. En parallèle, la retraite moyenne est de 1376€ brut et 560 000 retraités touchent le minimum vieillesse…
Pour rappel, les députés se votent une baisse d’environ 430€ de CSG et les retraités vont voir leur CSG augmenter de près de 300€.
Deux poids deux mesures…C’est cela le nouveau monde ? Dans tous les cas c’est scandaleux…
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA VIE SOUS MACRON Mar 13 Fév - 11:30
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA VIE SOUS MACRON Lun 12 Fév - 10:01
Pour Lagarde (UDI), le concordat peut "permettre à l'islam de s'organiser"
AFP Publié le 11/02/2018 à 16:03 | AFP
Pour Lagarde (UDI), le concordat peut "permettre à l'islam de s'organiser" AFP/Archives / GEOFFROY VAN DER HASSELT
Le président de l'UDI Jean-Christophe Lagarde a estimé dimanche que le concordat pouvait être un moyen "de permettre à l'islam de France de s'organiser", tout en se disant "pas très favorable à ce qu'il y ait un nouveau concordat sur l'ensemble du pays". Alors que le président de la République a indiqué dans le Journal du dimanche souhaiter "poser les jalons de toute l'organisation de l'islam de France" durant "ce premier semestre 2018", M. Lagarde a estimé sur Radio J que l'"islam de France s'est très largement organisé depuis l'étranger, à travers des financements". "Je pense que c'est du devoir de l'État, d'un État laïc, que d'organiser cette religion, d'abord pour la protéger contre les influences étrangères", a ajouté le leader centriste, alors que, selon le JDD, l'exécutif étudie des pistes quant à la création de nouvelles instances représentatives, notamment pour définir un cadre pour le financement des lieux de culte et la collecte des dons, ou la formation des imams. A propos du concordat en vigueur en Alsace et en Moselle, le député de Seine-Saint-Denis a considéré que c'était "en tout cas un moyen de ne pas toucher à la loi sur la laïcité et de permettre à l'islam de France de s'organiser", notamment en ce qui concerne la formation des imams. "On pourrait utiliser une spécificité française (le concordat, NDLR) pour former les imams de France, à travers un organisme qui soit plus représentatif que le CFCM", a-t-il développé. Tout en se disant "pas très favorable à ce qu'il y ait un nouveau concordat sur l'ensemble du pays", le président de l'UDI a fait valoir qu'en Alsace-Moselle, "l'Etat français finance les cultes, et que ça nous ouvre une possibilité aussi de respecter nos principes, notre loi, tout en permettant d'organiser l'islam de France au profit de l'ensemble de la communauté nationale et, sans doute, à la demande de beaucoup de musulmans qui aimeraient bien arrêter d'être pris pour cible par toutes les haines et toutes les peurs". Jean-Christophe Lagarde a par ailleurs appelé à ce que l'Etat ait "un interlocuteur fiable", "permettant de former les imams, permettant qu'on ait des lieux de culte qui ne soient pas financés par l'étranger", alors que l'Élysée réfléchit à la création d'un "grand imam de France". 11/02/2018 16:03:10 - Paris (AFP) - 2018 AFP ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Il ne manquait plus que ça ....nous sommes endettés ; nous avons un deficit commercial de 70 milliards d 'euros , nous sommes en faillite , le gouvernement macroniste rackette les retraités comme moi ...vire les fonctionnaires et il nous faudrait payer les professionnels des differentes religions qui ne produisent rien et dont certains sement la zizanie ..
et Lagarde patron de l ' UDI a dans l 'idée de subventionner les religions par un contrat de concordat comme en alsace lorraine afin d 'aider les musulmans a s'organiser ...
je suis heureux de savoir que les ponctions qui sont faites sur ma retraite ...dont 720 euros/an sur un seul poste et presque autant sur les autres vont servir a engraisser des improductifs.
Virer des fonctionnaires dans les hopitaux pour les remplacer par des religieux serait donc une idée geniale pour guerir par des prieres ...ca vient de fonctionner a Lourdes .... . .
LE NOMBRE DE CHÔMEURS N'A QUASIMENT PAS BAISSÉ EN 2017
PUBLIÉ LE 24/01/2018 À 18H30 MIS À JOUR LE 25/01/2018 À 9H49
AFP/Archives/LOIC VENANCE
La nette baisse de 2016 ne s'est pas poursuivie en 2017. Le chômage reste massif avec près de 3,5 millions de demandeurs d'emploi sans aucune activité en métropole.
Après 2016, année de l'inversion de la courbe du chômage, 2017 n'aura pas été celle de la confirmation: le nombre de chômeurs inscrits à Pôle emploi a baissé de 15.700 personnes (-0,5%) seulement l'année dernière, malgré des indicateurs économiques au beau fixe. Les statistiques de Pôle emploi avaient connu en 2016 leur première baisse annuelle depuis 2007, avant la crise financière.
Pôle emploi avait alors vu plus de 100.000 personnes (-3,0%) sortir de ses listes. La baisse du chômage aura été six fois plus faible en 2017. Surtout, le chômage reste massif, avec 3,45 millions de chômeurs inscrits en catégorie A (sans activité) en métropole et 3,71 millions en France entière.
De plus, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi tout en travaillant (catégories B et C) a, quant à lui, nettement augmenté (+8,2%). Le symbole d'une "précarité" grandissante, selon des communiqués de FO et de la CGT. Il est toutefois à noter que cette hausse concerne principalement des demandeurs d'emploi travaillant à trois-quarts-temps ou à plein-temps (+10,6%). Résultat: sur 12 mois, le nombre total d'inscrits à Pôle emploi tenus de rechercher un emploi, petite activité comprise, est orienté à la hausse (+2,7%).
>> En vidéo - Pourquoi la croissance ne fait-elle plus l’emploi ?
Autre point noir: après avoir reculé en 2016, le chômage de longue durée fait tache d'huile en 2017 (+5,1%). Fin 2017, 2,53 millions de demandeurs d'emploi, petite activité comprise, étaient inscrits à Pôle emploi depuis plus d'un an en métropole.
Mais les chiffres de Pôle emploi sont en décalage avec tous les autres indicateurs du marché de l'emploi. Sur les trois premiers trimestres de l'année 2017, le taux de chômage de l'Insee a baissé de 0,3 point, pour s'établir à 9,4% de la population active en métropole, l'économie française a créé 202.100 emplois salariés dans le secteur privé, tout cela dans le sillage d'une croissance attendue proche des 2% sur l'année. Dernier bons chiffres en date : les embauches ont atteint un nouveau record au 4e trimestre 2017, principalement grâce à un bond des signatures de CDI (+14,5% sur un an).
La publication devient trimestrielle
L'année 2017 a aussi été marquée par de très fortes fluctuations des statistiques de Pôle emploi. Elles ont alterné six baisses mensuelles et six hausses, souvent fortes, qui n'avaient pas de lien avec la tendance de fond de l'indicateur. Pour en finir avec ces à-coups, le ministère du Travail a décidé de changer la périodicité des publications, qui devient trimestrielle. Le 25 avril, la Dares, service des statistiques du ministère du Travail, publiera le nombre moyen de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi au premier trimestre 2018.
Depuis sa nomination, la ministre Muriel Pénicaud avait préfiguré cette évolution, en refusant, contrairement à ses prédécesseurs, de réagir aux chiffres mensuels. Elle n'a pas dérogé à la règle pour les chiffres de décembre. La nouvelle formule vise à "mettre davantage l'accent sur l'évolution tendancielle plutôt qu'au mois le mois", expliquait début novembre la Dares, qui considérait que "les évolutions mensuelles ne sont pas significatives". En 2017, si les chiffres avaient été publiés sur une base trimestrielle, la courbe du chômage aurait été moins heurtée, avec trois premiers trimestres de hausse et un quatrième trimestre de baisse (-1,4%).
La publication des chiffres de décembre intervient au moment où les partenaires sociaux négocient, à la demande du gouvernement, une réforme de l'assurance chômage. L'exécutif souhaite étendre le régime aux indépendants et à davantage de démissionnaires, tout en en réformant le financement et la gouvernance. Il veut aussi revoir le régime de sanctions vis-à-vis des demandeurs d'emploi qui ne cherchent pas suffisamment activement un emploi. A LIRE AUSSI
Alors que le gouvernement a révisé ses prévisions de déficit public (toutes administrations confondues) à la baisse, le déficit de l'État, lui, devrait se creuser fortement, rapporte un article des Échos publié lundi. Le déficit de l'État devrait se creuser fortement pour atteindre 82,9 milliards d'euros en 2018, croit savoir le quotidien LesÉchos.
Cette nouvelle arrive alors même que le gouvernement a récemment annoncé avoir révisé ses prévisions de déficit public (toutes administrations confondues) à la baisse.
Le déficit public concerne quant à lui l'ensemble des administrations publiques, celles mentionnées plus haut auxquelles s'ajoutent l'administration territoriale et les administrations de sécurité sociale. Le déficit de l'État rentre donc dans le calcul du déficit public.
EXCLUSIF - Si le déficit public doit s'améliorer l'an prochain, ce n'est pas le cas du solde budgétaire de l'Etat seul qui va repasser au-dessus de 80 milliards d'euros contre 69 milliards en 2016.
L'évolution paraît aller à rebours des promesses de sérieux budgétaire d'Emmanuel Macron. Si le déficit public (toutes administrations confondues) est annoncé en net retrait l'an prochain à 2,6 % du PIB (contre 2,9 % prévu pour 2017), le solde budgétaire de l'Etat, lui, va emprunter une pente contraire. Selon nos informations, le déficit de l'Etat devrait se creuser fortement par rapport aux années précédentes et s'établir à 82,9 milliards d'euros. Bien plus que les 69,1 milliards constatés pour 2016, et même que les 69,3 milliards qui avaient été budgétés pour cette année dans le cadre du projet de loi de finances 2017.
Des écarts de gestion
Comment expliquer un tel écart ? Le gouvernement actuel pâtit en premier lieu des écarts de gestion de son prédécesseur. La cible de 2017 devrait ainsi être très largement ratée : le déficit est attendu à 76,5 milliards, selon nos informations, bien au-dessus des 69,3 milliards annoncés. L'exécutif actuel y voit la preuve qu'il n'a pas fait preuve d'une dramatisation excessive en décrivant la situation dégradée des finances publiques qu'il avait trouvée à son arrivée aux manettes au printemps. L'audit de la Cour des comptes fin juin avait notamment pointé du doigt des postes de dépenses sous-budgétés, un coût de la recapitalisation d'Areva sous-estimé et certaines prévisions de recettes trop optimistes.
Baisse importante de prélèvements obligatoires
Mais ce chiffre dégradé de 2017 n'explique qu'en partie la dérive constatée pour 2018. A Bercy, on met en avant la baisse importante des prélèvements obligatoires (plus de 10 milliards) qui va reposer entièrement sur les épaules de l'Etat. Y compris la taxe d'habitation, puisque l'administration centrale va compenser le manque à gagner auprès des collectivités locales.
Le versement au profit du budget de l'Union européenne doit aussi grossir l'an prochain, dégradant automatiquement les comptes de l'Etat. Enfin, celui-ci ne bénéficiera pas des économies prévues pour la sphère des collectivités locales, puisqu'elles ne passeront pas par une baisse des dotations comme les années précédentes. A Bercy, on assure que cette dégradation du déficit budgétaire de l'Etat ne suscite pas d'inquiétudes dans la mesure où le déficit public (qui inclut le solde de la Sécurité sociale et des collectivités territoriales) est orienté nettement à la baisse, tout comme les dépenses publiques. Pourtant, la Cour des comptes avait déjà critiqué début 2017 le fait que l'effort de réduction des déficits reposait avant tout sur la Sécurité sociale et les collectivités territoriales. Dans un rapport rendu fin mai, elle s'était également émue d'un « déficit de l'Etat élevé qui ne se réduit plus depuis 2013 » si l'on écarte les dépenses exceptionnelles. Une tendance que ne semble pas contrecarrer le budget 2018. Renaud Honoré
Faute de s’attaquer au chômage, le gouvernement attaque les chômeurs.... Par contre le président des riches ne fait rien pour sévir contre les profiteurs ci dessous:
TOP 30 des évadés fiscaux de la planète people 8 AVRIL 2016 par MARINA
Les scandales d’impôts impayés, évasions fiscales et autres soucis de gros sous passionnent les médias, les fans… Mais certainement pas les stars qui se passeraient bien de ce genre de mauvaises publicités. Le récent et très actuel scandale des Panama Papers nous donne l’occasion d’un TOP de 30 stars qui ont élu domicile loin des charges imposées aux fortunes françaises, ainsi que quelques petits malins qui ont pensé pouvoir se cacher des impôts !
1. JOSE GARCIA
L’acteur vit en Belgique.
2. FLORENT PAGNY
Le chanteur réside en Patagonie (Argentine).
3. JEAN ALESI
Le champion automobile vit en Suisse.
4. CHARLES AZNAVOUR
Le papy de la chanson française a quitté la butte Montmartre depuis longtemps puisqu’il vit en Suisse.
5. BERNARD DARTY
Le fondateur de l’empire Darty vit en Belgique.
6. JO-WILFRIED TSONGA
Le tennisman réside en Suisse.
7. JOHNNY HALLYDAY
Le roi du rock réside à Gstaad en Suisse.
8. YANNICK NOAH
Le chanteur, ex-tennisman et personnalité préférée des français a élu domicile à New-York.
9. PAMELA ANDERSON
La reine des plages s’est fait pincer par le fisc en 2009 pour une fraude fiscale s’élevant à 1,7 millions de dollars. Comme dit l’adage, une fois n’est pas coutume puisque la blonde a recommencé et s’est fait de nouveau avoir en 2012, mais cette fois pour « seulement » 400 000 dollars.
10. MARC LÉVY
L’écrivain a posé ses valises au royaume uni
11. AMÉLIE MAURESMO
La tennisman réside actuellement à Genève en Suisse.
12. ALAIN DELON
L’acteur est résident et citoyen de Suisse.
13. ANDRE AGASSI
Le tennisman a cru qu’il pourrait éviter de déclarer ses gains anglais et les sommes remportées en Grande Bretagne, mais les impôts ne l’ont pas raté !
14. DANIEL AUTEUIL
L’acteur français a élu domicile en Belgique.
15. JACKIE CHAN
L’acteur est en ce moment au centre de l’affaire des Panama Papers. Il est détenteur de plusieurs comptes offshores, et responsable de transactions frauduleuses.
16. MARION BARTOLI
[size=16]La tennsiman a quitté la France pour la Suisse. [/size]
17. VAL KILMER
Le fisc a déposé une plainte contre l’acteur en 2010. Les impôts lui réclamaientt la somme de 498 165 dollars.
18. LAETITIA CASTA
Le mannequin, chanteuse et actrice française vit au Royaume-Uni.
19. MICHEL POLNAREFF
[size=16]Il signe son grand come-back mais seulement dans la musique puisque le chanteur réside aux Etats-Unis. [/size]
20. MARTIN SCORSESE
Le réalisateur américain a du faire face deux fois au fisc puisqu’en 2004 il s’est vu attribué un avertissement pour retard de paiement. Pourtant, c’est en 2011 que les impôts déposent un arrêté contre lui ! Scorsese devait la somme de 2,85 millions de dollars, c’est vrai que ça ne passe pas inaperçu !
21. LUCIANO PAVAROTTI
La star planétaire de l’Opéra a été accusée en 1999 et en 2001 d’évasion fiscale.
22. SEBASTIEN LOEB
[size=16]Le champion des rallyes automobiles réside en Suisse. [/size]
23. LIONEL MESSI
Le brésilien superstar du foot et joueur du FC Barcelone est également l’un des accusés de l’affaire Panama Papers.
24. LINDSAY LOHAN
En 2012, le fisc a gelé tous ses comptes bancaires. L’actrice devait rembourser la somme de 234 000 dollars d’impôts impayés .
25. RICHARD GASQUET
Décidément, la Suisse est le pays préféré des tennisman français.
26. KELLY OSBOURNE
La starlette de télévision a été pincée par l’état de Californie en 2011. Elle devait plus de 30 000 dollars d’impôts !
27. DAVID HALLYDAY
Tel père, tel fils puisque le chanteur réside aussi en Suisse.
28. GAEL MONFILS
Le tennisman vit en Suisse.
29. PATRICIA KAAS
La chanteuse française a élu résidence en Suisse.
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA VIE SOUS MACRON Sam 16 Déc - 10:04
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA VIE SOUS MACRON Jeu 14 Déc - 9:55
80 % DES FOYERS BÉNÉFICIERONT D'UNE SUPPRESSION DE LEUR TAXE D'HABITATION SUR LEUR RÉSIDENCE PRINCIPALE EN 3 ANS À PARTIR DE 2018. EN FAITES-VOUS PARTIE ?
3 données à renseigner pour savoir si vous êtes éligible à la réforme de la taxe d'habitation et connaître votre gain indicatif ¹
Polémique. En déplacement en Algérie, Emmanuel Macron n'a pas mâché ses mots...
Actuellement en visite en Algérie, le chef de l'Etat Emmanuel Macron n'a pas échappé, alors qu'il était dans la rue, aux questions des passants. Mais lorsqu'un jeune algérien de 25 ans l'interpelle, le ton est direct. “Qui évite quoi ? J'évite de venir vous voir ? J'évite de dire ce qui s'est passé ? Mais il s'est passé des choses, comme je l'ai dit... Il y a des gens qui ont vécu des histoires d'amour ici. Il y a des gens, Français qui aiment encore terriblement l'Algérie, qui ont contribué et qui ont fait des belles choses, il y en a qui ont fait des choses atroces. On a cette histoire entre nous mais moi j'en suis pas prisonnier. Mais vous, vous avez quel âge ?” a lancé Macron. Et lorsque le jeune homme a répondu qu'il avait 25 ans, la réponse a été directe : “Mais vous n'avez jamais connu la colonisation ! Qu'est-ce que vous venez m'embrouiller avec ça ? Vous votre génération, elle doit regarder l'avenir !” Regardez >>
Si seulement cela pouvait servir de leçon..... Il est parfois bon de s'en souvenir... Un petit rappel d'histoire très intéressant. Car jamais étudié à l'école dans sa continuité et sa totalité. C'est pourtant notre histoire !
Les musulmans sont entrés pour la première fois en 714 dans ce qui était la France de l'époque. Ils se sont emparés de Narbonne, qui est devenue leur base pour les 40 années suivantes, et ont pratiqué des razzias méthodiques. Ils ont ravagé le Languedoc de 714 à 725, détruit Nîmes en 725 et ravagé la rive droite du Rhône jusqu'à Sens.
En 721, une armée musulmane de 100.000 soldats mit le siège devant Toulouse, défendue par Eudes, le duc d'Aquitaine. Charles Martel envoya des troupes pour aider Eudes. Après six mois de siège, ce dernier fit une sortie et écrasa l'armée musulmane, qui se replia en désordre sur l'Espagne et perdit 80.000 soldats dans la campagne.
On parle peu de cette bataille de Toulouse parce qu'Eudes était mérovingien.
Notre histoire Page 2/7
Les Capétiens étaient en train de devenir rois de France et n'avaient pas envie de reconnaitre une victoire mérovingienne. Les musulmans ont conclu alors qu'il était dangereux d'attaquer la France en contournant les Pyrénées par l'est, et ils ont mené leurs nouvelles attaques en passant à l'ouest des Pyrénées. 15.000 cavaliers musulmans ont pris et détruit Bordeaux, puis les Pays de la Loire, et mis le siège devant Poitiers, pour être finalement arrêtés par Charles Martel et Eudes à vingt kilomètres au nord de Poitiers, en 732.
Les musulmans survivants se sont dispersés en petites bandes et ont continué à ravager l'Aquitaine. De nouveaux soldats les rejoignaient de temps en temps pour participer aux pillages.
(Ces bandes n'ont finalement été éliminées qu'en 808, par Charlemagne) Les ravages à l'est ont continué jusqu'à ce qu'en 737 Charles Martel descend, au sud, avec une armée puissante, et reprend successivement Avignon, Nîmes, Maguelone, Agde, Béziers et met le siège devant Narbonne. Cependant, une attaque des Saxons sur le nord de la France obligea Charles Martel à quitter la région. En 759 enfin, Pépin le Bref reprit Narbonne et écrasa définitivement les envahisseurs musulmans.
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Ces derniers se dispersèrent en petites bandes, comme à l'ouest, et continuèrent à ravager le pays, notamment en déportant les hommes pour en faire des esclaves castrés, et les femmes pour les introduire dans les harems d'Afrique du Nord, où elles étaient utilisées pour engendrer des musulmans. La place forte des bandes se situait à FRAXINETUM, l'actuelle GARDE FREINET (le massif des maures). Une zone d'environ 10.000 kilomètres-carrés, dans les Maures, fut totalement dépeuplée. En 972, les bandes musulmanes capturèrent Mayeul, Abbé de Cluny, sur la route du Mont Genèvre. Le retentissement fut immense. Guillaume II, comte de Provence, passa 9 ans à faire une sorte de campagne électorale pour motiver tous les Provençaux, puis, à partir de 983, chassa méthodiquement toutes les bandes musulmanes, petites ou grandes.
En 990, les dernières furent détruites. Elles avaient ravagé la France pendant deux siècles……
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La pression musulmane ne cessa pas pour autant. Elle s'exerça pendant les 250 années suivantes par des razzias effectuées à partir de la mer. Les hommes capturés étaient emmenés dans des camps de castration enCorse, puis déportés dans les bagnes du Dar al islam, et lesfemmes d'âge nubile dans les harems. Les repaires des pirates musulmans se trouvaient en : Corse, Sardaigne, Sicile, sur les côtes d'Espagne et celles de l'Afrique du Nord. Toulon a été totalement détruite par les musulmans en 1178 et 1197, les populations massacrées ou déportées, la ville laissée déserte. Histoire_150113
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Finalement, les musulmans ayant été expulsés de Corse, Sicile, Sardaigne, du sud de l'Italie et de la partie nord de l'Espagne, les attaques sur les terres françaises cessèrent mais elles continuèrent sur mer par des actions de pirateries. Ce n'est qu'en 1830 que la France, exaspérée par ces exactions, se décida à frapper le serpent à la tête, et à aller en Algérie détruire définitivement les dernières bases des pirates musulmans.
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Vous savez ce qu'est devenue ensuite l'Algérie, et l'histoire ne s'est pas figée…… Ce qu'il y a de frappant, c'est qu'entre 714, la première entrée, et 1830, l'écrasement définitif des pirates barbaresques. Il s'est écoulé plus d'un millénaire, ce qui montre qu'ils ne renoncent jamais.............................
Et aujourd'hui, effectivement, ils reviennent en masse, par le biais "pacifique" d'une immigration de peuplement, qui exploite à fond les failles de nos lois, de nos principes démocratiques, et de nos avancées sociales....!
Un jour ils seront assez nombreux pour prendre démocratiquement le pouvoir dans les villages, les banlieues, les villes, les régions, les pays d'Europe ! Il ne faut pas croire ceux qui les décrivent comme "modérés" ! Car les exemples des "printemps arabes" qui se déroulent sous nos yeux en Tunisie, Libye, Egypte, montrent s'il en était besoin que les "modérés" se font toujours évincer par les enragés !
Qui ne cherchent qu'une chose : appliquer la charia et transformer nos Histoire d'Europe en un "Dar al Islam", une terre d'islam.
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Il suffit de voir les exactions actuelles contre les chrétiens d'Afrique du Nord, d'Egypte, d'Indonésie, du Nigéria, etc…Pour imaginer quel serait le sort réservé à nos familles, à nos peuples européens de souche judéo-chrétienne !
La France est le pays européen avec la plus importante population musulmane qui augmente très rapidement avec l’immigration de peuplement et la natalité. Il faut réagir très rapidement pour que la France ne devienne un nouveau Kosovo ; pays originairement chrétien où les quelques chrétiens subsistants sont martyrises.
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA VIE SOUS MACRON Sam 2 Déc - 16:02
Le sévère avertissement de la Commission européenne à Emmanuel Macron
Le projet de budget 2018 présenté par Bercy risque la non-conformité avec les règles budgétaires européennes. Un dérapage jugé "significatif".
PAR MARC VIGNAUD Modifié le 22/11/2017 à 16:42 - Publié le 22/11/2017 à 14:24 | Le Point.fr
La rupture avec la politique budgétaire menée sous François Hollande n'est pas flagrante. Comme d'habitude, la France fait le minimum, au risque d'une sérieuse sortie de route. À Bercy, l'objectif est de quitter à tout prix la procédure pour déficit excessif ouverte contre Paris en 2009, et donc les règles du « bras correctif » du Pacte de stabilité. Pour y parvenir, il faut repasser sous la barre de 3 % de déficit de manière durable, c'est-à-dire non seulement en 2017, mais aussi en 2018. Cela pourrait être le cas, même si l'annulation de la taxe sur les dividendes ou encore les conséquences budgétaires de la recapitalisation d'Areva peuvent empêcher le déficit de tomber à 2,9 % cette année.
Mais en cas de sortie de la procédure pour déficit excessif, qui ne pourra se faire qu'au printemps prochain, sur la base de la publication des comptes 2017 et une nouvelle prévision de déficit en 2018 sous 3 % de la part de Bruxelles, Paris ne sera pas pour autant sortie d'affaire.
Réduire le « déficit structurel »
En effet, le budget 2018 devra ensuite se révéler conforme aux exigences du « bras préventif du pacte de stabilité ». Et c'est très mal parti. L'effort budgétaire inclus dans le projet de budget n'est pas jugé à la hauteur. En 2017 déjà, le redressement des comptes engagé par François Hollande s'avère largement insuffisant. La France devrait être sauvée par la bonne conjoncture économique qui lui a permis de réduire son déficit de manière quasi mécanique (même si de nouvelles économies ont dû être annoncées à l'été par la nouvelle majorité pour éviter un dérapage tant le budget initial était laxiste). LIRE aussi 2017 : les dépenses publiques augmentent plus que prévu L'année prochaine, cela ne sera plus possible. Le juge de paix pour savoir si la France s'est conformée aux règles budgétaires ne sera plus le déficit nominal (le fameux 3 %), mais la réduction du déficit structurel, qui ne dépend pas de la conjoncture économique et repose uniquement sur les baisses de dépenses et les hausses d'impôts décidées par le gouvernement. Or, le déficit structurel devrait s'aggraver de 0,4 point de PIB, selon les projections de la Commission.
Des dépenses publiques qui progressent trop vite
Non seulement la France ne réduit pas suffisamment son déficit structurel (en partie parce que le gouvernement a décidé de financer des baisses d'impôts importantes), mais elle ne contient pas assez non plus ses dépenses publiques, le second grand critère d'évaluation retenu par Bruxelles une fois la procédure pour déficit excessif abandonnée. D'une incroyable technicité, les règles européennes exigent en effet une progression limitée à 1,2 % (hors charge de la dette). Mais le gouvernement français reconnaît lui-même qu'elles augmenteront de 0,5 % de plus, même si la Commission n'a pas pris en compte certaines mesures d'économies dans son avis car elles ne sont pas encore été assez détaillées. Résultat, Paris ne respectera pas non plus la réduction minimum exigée de sa dette publique dans le cadre du « bras préventif ». Malgré toute la bonne volonté de Pierre Moscovici, le commissaire européen en charge du dossier, la Commission, qui cherche depuis quelques années à sortir d'une application aveugle des règles pour préserver la croissance, est donc obligée de sévir. Et pourrait devoir, à terme, proposer une sanction financière contre la France. Une perspective encore très lointaine et incertaine d'autant que cinq autres pays déjà dans le bras préventif du pacte de stabilité se retrouvent dans la même situation que la France. Il s'agit de la Belgique, de l'Autriche, du Portugal de la Slovénie, mais surtout de l'Italie, qui peine de façon récurrente à respecter ses engagements budgétaires européens et doit faire face à une dette énorme de plus de 130 % du PIB. À Bercy, les avertissements n'ont pas semblé inquiéter outre mesure. Le ministère de l'Économie et des Finances se concentre pour l'instant sur la sortie de la procédure pour déficit excessif au printemps prochain. Et rappelle que Bruxelles n'a pas pris en compte toutes les mesures d'économies prévues l'année prochaine. "La différence d'appréciation avec la Commission est habituelle à ce stade de l'année et se résorbe en général lors de l'analyse du respect des règles du Pacte de Stabilité et de Croissance menée a posteriori", souligne un communiqué. LIRE aussi Le déficit de la France sous la barre des 3 % en 2017, selon Bruxelles
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA VIE SOUS MACRON Ven 24 Nov - 8:53
LE 24-11-2017
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA VIE SOUS MACRON Jeu 23 Nov - 8:27
LE 23-11-2017
Dernière édition par PACA le Ven 24 Nov - 8:54, édité 1 fois
PAUL. Invité
Sujet: Re: LA VIE SOUS MACRON Ven 17 Nov - 7:47
Une petite réflexion Jeune, je payais la vignette auto pour les vieux, et on me prenait le lundi de pentecôte pour les Vieux, maintenant que je suis vieux on me prélève 1,7% de CSG pour les jeunes !…… Qui c’est les cons ????????
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA VIE SOUS MACRON Dim 12 Nov - 11:19
LA VIE EST BELLE ....
la voix du nord du 12/11/2017
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA VIE SOUS MACRON Jeu 26 Oct - 8:19
Les entreprises « assistées », nouveau cadeau fiscal aux entreprises
Halte à l’injustice fiscale ! Décryptage du budget 2018.
Dans le projet de loi de finances de 2018, les entreprises se voient accorder des baisses massives d’impôts : réduction de l’impôt sur les sociétés à 25 % d’ici 2022, suppression de la tranche supérieure de la taxe sur les salaires, suppression de la taxe sur la distribution de dividendes. Au total, le gouvernement Macron offre aux entreprises des réductions d’impôts de 15 à 17 milliards d’euros… qui iront pour une bonne part grossir les dividendes distribués à leurs actionnaires (45,8 milliards d’euros déjà distribués en 2016, soit 57 % des bénéfices des entreprises).
L’explosion du chômage a poussé les gouvernements successifs à orienter les aides, de plus en plus massives, vers l’abaissement des « charges » pesant sur les salaires, censé améliorer la compétitivité des entreprises, se soumettant ainsi à la volonté du patronat. Il en est ainsi pour les deux principales (et coûteuses) « niches » fiscales : le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE, coût :16 milliards d’euros), qui va être remplacé par un allègement pérenne de cotisations sociales patronales, et le crédit d’impôt pour la recherche (CIR). Au total, les allègements fiscaux et parafiscaux annuels aux entreprises n’ont cessé de croître, passant de 11 milliards d’euros en 2014 à 34,5 milliards en 2017. Avec 101 milliards d’euros cumulés en quatre ans, l’assistanat aux entreprises, dont profitent surtout les plus grandes, bat tous les records. Et ce, sans compter les allègements de cotisations sociales...
Pour une juste contribution des entreprises
L’impôt sur les bénéfices des entreprises doit être amélioré et rééquilibré, car les écarts d’imposition entre les plus grandes entreprises et les PME demeurent.
Un taux inférieur à 30 % qui ne pénaliserait pas les PME est parfaitement réalisable, à condition que l’assiette de l’IS soit élargie en supprimant le CICE (c’est-à-dire son équivalent en allègement de cotisations décidé par Macron), en stoppant la dérive du CIR (souvent détourné en instrument d’évasion fiscale), et en réduisant les charges admises en déduction du bénéfice imposable (elles sont, par exemple, beaucoup moins nombreuses en Allemagne). En refondant ainsi l’impôt sur les sociétés, les taux pourront être différenciés pour favoriser l’investissement et réguler la financiarisation de l’économie.
Pour ce faire, il faudra imposer plus fortement la distribution de dividendes que le bénéfice non distribué, en relevant la contribution de 3 % mise en œuvre en 2012.
S’attaquer aux « niches »
Il faut réduire, voire supprimer les niches fiscales dont le coût devrait atteindre 99.8 milliards d’euros en 2018, selon Bercy, soit plus que la somme de l’impôt sur le revenu et de l’impôt sur les sociétés (99 milliards au total) prévus pour 2018. Il s’agit d’en finir avec cette spécificité française des taux élevés et des assiettes étroites. Or supprimer des niches fiscales, c’est élargir les assiettes et permettre de réformer la fiscalité.
L’objectif est d’étudier le rapport « coût/efficacité/impact sur la répartition de la charge fiscale » des niches fiscales et de définir de nouvelles assiettes des impôts. Ce qui permettra de dégager des ressources par la suppression de certaines niches, la réforme de certaines autres et, éventuellement, le maintien de celles jugées efficaces.
Numérique : imposer les bénéfices là où ils sont réalisés
Le numérique favorise la mobilité des sources de création de valeur. Il déplace les bases imposables, parfois très artificiellement, voire illégalement. Les failles du système fiscal actuel sont béantes car l’impact de cette révolution numérique n’était pas prévisible jusqu’il y a peu. La notion « d’établissement stable numérique » ou de « présence numérique » (voire de « présence digitale ») demeure la plus cohérente pour rénover l’IS et le re-territorialiser. Ceci suppose notamment une règle claire de partage des bénéfices des sociétés suivant le nombre d’utilisateurs. Cette évolution doit s’intégrer avec une harmonisation des bases couplée à l’instauration d’un taux minimum d’imposition, afin de neutraliser les nombreux effets pervers de la concurrence fiscale et de l’optimisation fiscale agressive.
L’impératif d’une harmonisation européenne
Tourner le dos à l’Europe de la concurrence fiscale et de l’affrontement économique et social est un impératif pour faire face aux besoins sociaux, environnementaux et économiques.
L’harmonisation consolidée des assiettes de l’impôt sur les sociétés (le projet ACCIS), couplée à l’instauration d’un taux plancher doit permettre de mettre un terme à la course à la baisse pour neutraliser l’évasion fiscale au sein de l’Union européenne. Une fois mise en œuvre, l’ACCIS permettra de neutraliser les pratiques d’une société qui facture et conserve le profit au détriment de ses filiales.
Dans la nuit de samedi à dimanche, lors de la fin de l’examen de la première partie du projet de loi de finances (PLF) pour 2018, l’Assemblée nationale a voté l’article 19 en y ajoutant quelques amendements. Cet article fixe le budget de nombreux organismes financés par « la fiscalité affectée », dont celui des Agences de l’eau. Mais contrairement aux apparences, l’amendement proposé par le gouvernement sur ce sujet, et adopté, n’arrange pas les affaires des agences de l’eau… au contraire.
Pour comprendre ce qu’il s’est passé, il faut revenir en arrière. Dans le projet de loi de finances initial, les ponctions sur le budget des Agences de l’eau se faisaient de deux façons différentes : d’une part, la modification des seuils du plafond au-delà duquel les recettes des Agences sont reversées à l’État ; d’autre part, des prélèvements nets pour financer d’autres organismes.
Le dispositif de plafonnement des recettes a été instauré par la loi de finances pour 2012 : au-delà de 2,3 milliards de recettes (obtenues par les redevances), les Agences de l’eau doivent reverser le surplus au budget de l’État. Le PLF initialement présenté proposait d'abaisser ce plafond, le faisant passer de 2,3 à 2,105 milliards. Ce qui aurait porté la perte de recettes Agences au bénéfice de l'État à 195 millions d'euros par an.
Par ailleurs, dans la deuxième partie du PLF (qui n’a pas encore été discutée), on trouve à l’article 54 la création de deux « contributions des Agences de l’eau au bénéfice d’opérateurs de l’environnement » : entre 240 et 260 millions d’euros pour financer l’Agence française de la biodiversité ; et entre 30 et 37 millions pour l’Office national de la chasse et de la faune sauvage. Soit entre 270 et 297 millions d’euros supplémentaires prélevés.
Au total, on aboutissait à une ponction comprise entre 465 et 492 millions d’euros. Face aux protestations de nombreux élus et de leurs associations (et en particulier de l'AMF, lire Maire info du 15 septembre), de parlementaires et des présidents de comités de bassin, Gérald Darmanin, ministre de l'Action et des Comptes publics, a proposé de repousser d’un an l’abaissement du plafonnement des recettes.
Regardons de près l’amendement proposé et voté : premièrement, contrairement aux dires du ministre, le plafond est tout de même très légèrement abaissé dès cette année : il passe de 2,3 milliards à 2,28 milliards. Mais surtout, il sera opéré en 2018 « un prélèvement de 200 millions d’euros sur les ressources accumulées des Agences de l’eau ». Là où l’abaissement du plafond allait représenter une perte de 195 millions, on passe donc à 200 millions !
De plus, avec ce changement de dispositif de ponction, les Agences comme les usagers sont perdants. En effet, le plafonnement des recettes poussaient certaines Agences, en vertu du système pollueur-payeur, à diminuer les redevances, afin de baisser leurs recettes. Désormais, avec une ponction « nette », elles payeront de toute façon, quelles que soient leurs recettes.
Reste à savoir si, dans la discussion de la deuxième partie du PLF, les autres prélèvements prévus seront maintenus. Si c’est le cas, la nouvelle mouture du PLF ne s’avèrera pas meilleure que la précédente pour les Agences de l’eau et les collectivités dont elles accompagnent les projets.
Notons enfin que plusieurs autres amendements ont été adoptés : concernant les chambres de commerce et d’industrie (CCI), les députés ont relevé la dotation au fonds de péréquation du réseau des CCI, qui va passer de 25 à 45 millions d’euros. Un autre amendement a modifié les critères d’admission à ce fonds, en l’élargissant un peu, en parallèle avec la réduction du plafond des taxes qui leur sont affectés de 150 millions d’euros.
Le sujet du CNDS (Centre national de développement du sport) a également été abordé. Dans la version initiale du PLF, les ressources du CNDS avaient été fortement diminuées – ce qui était apparu particulièrement malvenu au moment précis où la France se voyait attribuer les JO de 2024. En commission, les députés ont réduit un peu la casse, en ne diminuant « que » de 13 % les ressources du CNDS.
Par ailleurs, dans le cadre du futur projet de loi de finances rectificative, une ligne de « 20 à 30 millions d’euros » pourrait être ajoutée, a suggéré le ministre, pour « rattraper en fin de gestion le problème de paiement évident que connaît le CNDS ».
Emmanuel Macron évoque "les gens qui ne sont rien": "C'est un mépris total des Français"
02/07/2017 à 17h21
Lors d'un discours d'inauguration de la Station F, grand incubateur de start-up à Paris, ce jeudi, Emmanuel Macron a évoqué "les gens qui réussissent et ceux qui ne sont rien". Une phrase qui a provoqué un tollé dans l'opposition.
La petite phrase est presque passée inaperçue. Ce jeudi, Emmanuel Macron a inauguré la Station F, grand incubateur de start-up à Paris. Et pour illustrer la transformation de cet ancien dépôt ferroviaire, le président de la République a évoqué la "gare, c'est un lieu où l'on croise les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien".
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Des propos qui ont indigné Martine Billard, animatrice du comité électoral national de La France insoumise. Sur Twitter, elle a dénoncé "une morgue de classe".
"Ce n'est pas la première fois qu'Emmanuel Macron a des propos méprisantsen fonction du statut social des personnes qu'il a en face de lui.
Il est méprisant envers tous ceux qui ne sont pas des jeunes dynamiques, qui arrivent dans la vie. C'est quand même inouï, parce que ceux qu'ils visent par ces propos, ceux 'qui ne sont rien', c'est l'immense majorité de la population. C'est un mépris total des Français qui est bien à l'image du personnage.
C'est dramatique, un président de la République qui ose tenir de tels propos, c'est scandaleux.
"Beaucoup de complaisance par rapport à lui"
Il y a beaucoup de complaisance par rapport à lui. Parce que quand on se souvient de Nicolas Sarkozy et de sa Rolex, de son 'casse-toi pauv' con', ça avait fait un scandale. On voit aussi que quand d'autres personnalités politiques tiennent certains propos de travers, ça fait immédiatement scandale. Et là, le fait qu'un président de la République puisse dédaigner aussi fortement la majorité de la population de son pays, ça ne provoque que quelques réactions sur Twitter, et on ne peut pas dire que ça ait été relayé massivement. Il faut qu'il s'excuse, c'est scandaleux.
Je ne pense pas que ce soit une erreur de com', parce que je pense que c'est ce qu'il pense. Ce serait une erreur de com', si c'était la première fois, mais il l'a déjà fait. Ça prouve ce qu'il pense réellement.
Je trouve qu'il imite bien Nicolas Sarkozy. La différence, c'est qu'il est plus calme donc il arrive à tromper son monde grâce à cela. Mais je pense que l'illusion va vite tomber".
Regardez le détail des mains placées de chaque côté du corps, poings fermés, la position des drapeaux, l’appui sur le bord du bureau, la distance entre le corps et les bras, et leur inclinaison. Aucun détail ne manque.
Et puis le détournement potache :
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Et ça continue: les médias, les ministres, les experts demandent aux retraités de faire des efforts! C’est à dire de supporter en silence une hausse de la CSG, de se taire et de courber l’échine.
C’est la mesure de trop, les retraités sont depuis des années les plus touchés par des mesures iniques: gel des retraites depuis 4 ans, fiscalisation des familles nombreuses, suppression de la demi-part des veuves et création, rien que pour les retraités, d’une taxe additionnelle nommée Casa.
Oui, les retraités ont très largement participé au redressement national et ils ne doivent pas être les seuls à faire des efforts. Une question nous vient à l’esprit: pourquoi cet acharnement contre des millions de retraités ?
Ça suffit, y’en a marre ! Assez de faire passer les retraités pour des nantis, des privilégiés, des égoïstes, des responsables de la situation difficile que nous traversons.
Si notre pays va mal, ce n’est pas la faute des millions de seniors mais des politiques qui n’ont rien fait ou si peu.
La hausse de la CSG sans AUCUNE contrepartie est la goutte d’eau qui fait déborder le vase.
On ne peut enlever entre 250 et 450€ de pouvoir d’achat d’un revers de main, sous prétexte de faire des efforts ! Et pourquoi demander des efforts toujours aux mêmes ?
Même si l’ère est au jeunisme, les jeunes pousses en politique devraient savoir qu’un jour aussi ils seront en retraite.
Aucune catégorie sociale n’a été aussi maltraité en 5 ans et pourtant…On continue à s’acharner sur des pauvres retraités qui n’ont que 1200€ de pension !
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA VIE SOUS MACRON Mer 28 Juin - 8:56
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA VIE SOUS MACRON Dim 25 Juin - 15:02
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA VIE SOUS MACRON Mer 21 Juin - 9:59
Législative 2017
57% d'abstention au 2ème tour des législatives.
La plus forte depuis 1958 et les débuts de 5ème république, Jamais auparavant l'abstention n'avait atteint plus de 50% à ces élections, le taux le plus élevé ayant été 46,6% en 2012.
On ne peut plus parler de légitimité du gouvernement, de "représentation" ou de "république".
La France comme aucun pays n'a jamais connu la démocratie, car si tel était le cas à 50.01% d'abstention, l'élection serait annulée et une nouvelle campagne aurait lieu.
Nous entrons dans une ère d'autocratie/dictature ultra-libérale, à moins que ce gouvernement ait la probité de reconnaître son échec cuisant, ce dont on est en droit de douter. 66 millions de Français, 44.8 millions d'inscrits dont 57% d'abstentionnistes, auxquels s'ajoutent les 22 millions de non-inscrits, l'écrasante majorité sont ceux qui rejettent en bloc et refusent de cautionner ce système oligarchique et ploutocratique totalement corrompu qui nous mène, tous, droit à la catastrophe..
ET MAINTENANT ARRIVENT LES SALES HISTOIRES DE FRIC SUSCEPTIBLES DE MISES EN EXAMEN ...QUATRE MINISTRES DEGAGENT ...ON N 'AVAIT JAMAIS VU CA AUSSI VITE ...
François Bayrou annonce qu'il quitte le gouvernement
Posté le 21 juin 2017 07:53
C.R. AVEC AFP
"J'ai pris la décision de ne pas faire partie du prochain gouvernement. Je donnerai une conférence de presse cet après-midi à 17H00", a déclaré le président du MoDem
Le ministre de la Justice François Bayrou a annoncé mercredi matin son départ du gouvernement, indiquant qu'il s'en expliquerait dans une conférence de presse à 17H00.
Son bras droit, Marielle de Sarnez, ministre des Affaires européennes, ne fera pas non plus partie du nouveau gouvernement d'Edouard Philippe, qui sera dévoilé mercredi avant 18H00, a déclaré une source MoDem. Élue dimanche députée de Paris, elle prendra la tête du groupe MoDem à l'Assemblée nationale, fort de 42 élus.
"J'ai pris la décision de ne pas faire partie du prochain gouvernement. Je donnerai une conférence de presse cet après-midi à 17H00", a déclaré le président du MoDem en assurant que cette décision était la sienne et qu'elle n'avait été dictée par personne, sous-entendu le président Emmanuel Macron. Le parti qu'il préside, le MoDem, fait l'objet d'une enquête sur l'emploi de ses assistants parlementaires européens.
"Un choix personnel", "il souhaite se défendre", a réagi sur Europe 1 le porte-parole du gouvernement Christophe Castaner, qui a estimé que ce départ du gouvernement "simplifi[ait] la situation" pour Emmanuel Macron. Au total, après la démission de la ministre des Armées Sylvie Goulard mardi, ce sont les trois ministres issus du MoDem qui quittent le gouvernement.
La question de la participation du parti centriste dans le nouveau gouvernement Philippe n'était pas encore tranchée mercredi matin. La République en marche (REM), le mouvement d'Emmanuel Macron, dispose à elle seule d'une majorité absolue à l'Assemblée avec 308 sièges.
François Bayrou avait présenté la semaine dernière en Conseil des ministres le projet de loi de moralisation de la vie publique, fruit de l'alliance qu'il avait nouée en février en rejoignant Emmanuel Macron. Le maire de Pau devait porter ce texte au Parlement cet été.
À l'attention : De Monsieur le Président de la République
A partir de 1200€ de revenu mensuel, des millions de retraités vont voir leur CSG augmenter.
Avec 1200€ de retraite, vous allez payer 245€ de CSG en plus par an, avec 1500€ ce sera 306€, pour 1700€ 346€ supplémentaires et pour 2000€ le montant à payer en plus sera de 408€.
Cette mesure servira à financer la baisse des cotisations chômage et maladie destinées aux actifs. Les employés vont payer plus de CSG et voir leurs cotisations diminuer c’est bien mais qu’en est-il des retraités?
Les seniors vont payer plein pot la CSG mais ne vont pas voir leur pension augmenter. Finalement, les retraités seront les seuls perdants …
Le nouveau président français Emmanuel Macron dévoile mercredi son premier gouvernement, une équipe resserrée qu'il veut "irréprochable", "de droite et de gauche", en phase avec le renouvellement politique promis avant les élections législatives cruciales de juin.
Gérard Collomb, nommé ministre de l'Intérieur, au rang de ministre d'Etat.
François Bayrou nommé garde des Sceaux, avec le rang de ministre d'Etat.
Nicolas Hulot nommé ministre de la Transition Ecologique et Solidaire avec rang de ministre d'Etat.
Jean-Yves Le Drian nommé ministre de l'Europe et des Affaires étrangères.
Sylvie Goulard nommée ministre des Armées.
Agnès Buzyn nommée ministre des Solidarités et de la Santé.
Bruno Le Maire nommé ministre de l'Economie.
Jean-Michel Blanquer nommé ministre de l'Education nationale.
Jacques Mézard nommé ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation.
Richard Ferrand ministre de la Cohésion des territoires.
Laura Flessel nommée ministre des Sports.
Elisabeth Borne nommée ministre chargée des Transports auprès de Nicolas Hulot.
Annick Girardin nommée ministre des Outre-mer.
Muriel Penicaud nommée ministre du Travail.
Françoise Nyssen nommée ministre de la Culture.
Marielle de Sarnez nommée ministre des Affaires européennes.
Frédérique Vidal nommée ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation.
Gérald Darmanin nommé ministre de l'Action et des Comptes publics.
Christophe Castaner, secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement.
Quatre secrétaires d'Etat nommés dont Schiappa et Mahjoubi.
Le Premier ministre nommé ce lundi par Emmanuel Macron fait partie des 23 parlementaires épinglés par la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Sa déclaration de patrimoine de 2014 ne mentionne pas la valeur de ses biens immobiliers, ni le montant de ses indemnités d’élu local. Une mauvaise volonté cohérente avec ses prises de position au lendemain de l’affaire Cahuzac.
La campagne présidentielle a vu Emmanuel Macron marteler sa volonté de moralisation de la vie publique. Le président élu a évoqué une action législative en ce sens sous sa présidence. Le choix d’Édouard Philippe comme Premier ministre a donc de quoi étonner. Nommé ce lundi par l’Élysée, le député de Seine-Maritime avait voté contre la loi de transparence adoptée en 2013. Dans un climat post-affaire Cahuzac, Édouard Philippe avait alors suivi la grande majorité de ses collègues du groupe UMP à l’assemblée. Édouard Philippe a aussi été épinglé par la Haute autorité pour la transparence de la vue publique (HATVP) pour son manque de transparence, ou plutôt sa légèreté en la matière. Contactée par LeLanceur.fr, l’instance confirme que le Premier ministre a reçu une “appréciation”, sorte de blâme sans incidence, dans le cadre de sa déclaration de patrimoine de 2014. Un accroc de taille pour celui qui est apparu politiquement comme le parfait trait d’union du rassemblement prôné par Emmanuel Macron. D’autant que le nouveau président a fait de la probité des élus un de ses engagements.
Valeur des biens immobiliers : “aucune idée”
Dans sa déclaration de patrimoine de 2014, Édouard Philippe a omis de préciser la valeur de ses biens immobiliers. Il note être propriétaire d’un appartement à Paris ainsi que d’un bien en Indre-et-Loire et posséder des parts dans une résidence de Seine-Maritime. Mais dans la case valeur de ces biens, le nouveau Premier ministre indique qu’il n’en a “aucune idée”. Il a mentionné les prix d’achat, en francs parfois, mais aucune estimation actualisée de la valeur de ses propriétés. Cela malgré une relance de la HATVP. Relance ignorée par Édouard Philippe qui a refusé d’apporter les précisions requises. La HATVP a émis une “appréciation” pour accompagner sa déclaration de patrimoine et informer les citoyens qui voudraient la consulter d’un manque de transparence, nous explique l’instance de contrôle. Le maire du Havre se retrouve ainsi parmi les 2% de parlementaires (23 sur 1048) épinglés par la HATVP. L'”appréciation” constitue le troisième niveau d’intervention de la HATVP sur une échelle de quatre, avant le signalement au Parquet, inopportun dans le cas d’Édouard Philippe. Édouard Philippe a aussi refusé de communiquer le montant de ses honoraires entre 2011 et 2012 alors qu’il officiait pour un cabinet d’avocat d’affaire d’avocat d’affaires. Un brin provocateur, le nouveau Premier ministre se disait alors “pas certain de comprendre la question”. “Vous voulez connaître mon taux horaire au jour de l’élection ? Ma rémunération mensuelle moyenne ? Annuelle ?” écrivait-il sur le formulaire, selon le document publié par Mediapart. Pourtant le maire du Havre sait faire dans la transparence quand il décide de communiquer. Le journal local Paris-Normandie rappelle ainsi qu’en 2015 Édouard Philippe avait lui même annoncé son arrestation pour infraction routière et sa suspension temporaire de permis de conduire.
Élu de la République et haut gradé d’Areva
En parallèle de son engagement public, Édouard Philippe a fait une incursion dans le privé. Entre 2007 et 2010, il est directeur des affaires publiques d’Areva au sein de la direction du groupe. Charlie Hebdo le qualifiait en 2009 de “lobbyiste chargé des relations avec les élus” suivant “les parlementaires chargés du Niger”. Un poste obtenu dans la foulée de son bref passage au ministère de l’Écologie, en tant que conseiller d’Alain Juppé. Lors de son passage chez Areva, Édouard Philippe avait conservé ses fonctions publique. D’abord en tant que conseiller régional de Haute-Normandie jusqu’en mars 2008 puis en tant que conseiller départemental de Seine-Maritime. Le géant de l’atome français étant particulièrement bien implanté dans cette région la situation a de quoi mettre celui qui sera élu maire du Havre en 2010 en situation de conflit d’intérêt potentiel. Vérifications faites par la HATVP, il n’est pas concerné par l’enquête sur Areva période 2007-2010 sous la présidence d’Anne Lauvergeon. Cette dernière a été mise en examen en mai dernier pour son rôle dans le rachat désastreux de la société canadienne Uramin. C’est pour son rôle de lobbying auprès des parlementaires français que les association en faveur de la sortie du nucléaire épinglent Édouard Philippe. Il est accusé par l’Observatoire du nucléaire d’avoir été “impliqué dans le pillage de l’uranium du Niger par Areva”. Le réseau Sortir du nucléaire parle d’un “signal exécrable” envoyé par Emmanuel Macron et reproche au nouveau Premier ministre d’avoir “joué un rôle de lobbyiste auprès des élus de l’Assemblée Nationale au sujet des mines d’Areva au Niger” et par ce biais “défendu les actions d’une entreprise qui, au Niger, a pollué irréversiblement les territoires des peuples autochtones et baigné dans les scandales financiers”.
Absentéisme à l’Assemblée
Autre accroc au CV d’Édouard Philippe sa faible activité à l’Assemblée nationale, où il n’a déposé aucun rapport ou proposition de loi et seulement six amendements au cours de la dernière mandature. Et pour cause, le nouveau Premier ministre ne s’est pas montré très assidu au Palais Bourbon. Il se situe bien en dessous du taux de présence médian. Le député de Seine-Maritime n’a posé que huit questions orales dans un hémicycle où il n’est intervenu 27 fois. Édouard Philppe fait aussi partie des 150 députés les moins assidus en commission où il ne s’est présenté 124 fois, indique l’observatoire nosdeputes.fr. Une réalité factuelle pas vraiment en accord avec la “forte expérience de la vie politique, de l’art parlementaire”, posée par Emmanuel Macron comme pré-requis des qualités de son chef de gouvernement. Le nouveau président de la République qui insistait dans la foulée sur la “capacité à animer, justement, à diriger une équipe gouvernementale et une nouvelle majorité”.
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA VIE SOUS MACRON Dim 14 Mai - 9:37
PACA
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Sujet: Re: LA VIE SOUS MACRON Mer 10 Mai - 16:41
Non, décidément, Monsieur Macron n’aime pas les retraités !
Lors du débat du 3 mai dernier en vue de l’élection présidentielle, Monsieur Macron a brièvement précisé le sort spécifique qu’il entendait réserver aux retraités. La tribune ci-dessous amorce la réflexion qu’inspire cette sollicitude particulière.
Souvenez-vous, voici cinq ans, son élection à peine acquise et alors qu’Emmanuel Macron était déjà secrétaire général adjoint de l’Élysée, le Président Hollande s’en était immédiatement pris aux retraités avec un rapport lourdement à charge, partiellement erroné et particulièrement injuste de la Cour des comptes (comme par hasard !), suivi immédiatement après de la création d’une taxe dépendance de 0,30% sur les pensions, laquelle fut d’ailleurs immédiatement détournée de son objet. En réalité, ce nouvel impôt qui ciblait uniquement les retraités ne faisait que marquer pour ces derniers le début d’un éprouvant chemin de croix fiscal, qui allait s’accentuer tout au long du quinquennat. Force est de reconnaître que le programme du nouveau Président ne démarre guère sous de meilleurs auspices, puisque d’entrée de jeu et selon ses propres chiffres, 60% des retraités – soit quand même quelque 10 millions de Français – vont prendre de plein fouet et sans compensation aucune l’augmentation de 1,70% de la CSG, alors que toutes les autres catégories sociales, tous les actifs notamment, se voient offrir en compensation une diminution de 3,10% de leurs cotisations sociales. Manifestement, le déclassement résultant des retraités est patent puisque (en simplifiant les calculs, notamment parce qu’on ne sait pas encore si ce supplément de CSG sera ou non déductible) pour un même revenu annuel de référence de € 60 000 le retraité va acquitter € 1 020 (=60 000*1,70%) supplémentaires d’impôt, là où un actif gagnant le même revenu va économiser € 840 (= 60 000*1,40%) de charges sociales et fiscales. L’écart de 3,10% entre les deux, soit € 1 860 (= 1 020+840), en même temps qu’il creuse injustement un déclassement sensible du retraité, alourdira dans la majorité des cas de 5 à 10% le montant des prélèvements directs obligatoires auxquels il se trouve soumis. En clair, il n’échappera pas aux retraités qu’ils sont invités à financer sans broncher les cadeaux électoraux généreusement faits aux actifs sur leur dos ! Pire, issue de la volonté du prince, cette discrimination-transfert n’a donné lieu de sa part à aucune justification, ni à la moindre tentative d’explication, les quelques allusions avancées ici ou là se bornant à sous-entendre que de toute manière les retraités visés ont bien assez d’argent. Nul doute qu’ils apprécieront !
C’est ainsi qu’en pratiquement 5 ans et sous deux présidences de Gauche successives, 10 millions de retraités se sont vus ou se verront spécifiquement imposer des impôts ou des suppléments d’impôts dont la charge nette ne pèse que sur eux : en 2012, 0,30% de contribution dépendance + en 2017, 1,70% pour la prochaine augmentation de CSG. Évidemment pour eux le principe républicain d’égalité devant l’impôt vole en éclat et il n’est pas sûr du tout d’ailleurs que cette discrimination scélérate qui s’opère à la fois en fonction de l’âge et du statut social du contribuable passe les fourches caudines du Conseil constitutionnel. Le cumul actuel de ces deux mesures - qui représente quand même 2% des pensions - signifie tout simplement pour ces retraités que là où au printemps 2012 leur pension leur permettait de couvrir 52 semaines de dépenses, fin 2017 elle n’en couvrira plus guère que 51 (52*0,98= 50,96) , les retraités visés étant ainsi privés de ressources pour la dernière semaine de l’année - qui n’est normalement pourtant pas de jeûne, ni d’abstinence - entre Noël et le Jour de l’An. Quant à l’argument que lesdits retraités pourraient en contrepartie bénéficier eux aussi de l’exonération de la taxe d’habitation, il ne vaut guère d’une part parce qu’il n’est pas exclu que certains retraités se retrouvent parmi les 20% les plus riches demeurant assujettis et aussi quant aux autres, parce qu’à l’inverse de l’augmentation de la CSG qui les frappe exclusivement, l’exonération annoncée qui ne leur serait nullement réservée ne pourrait évidemment pas tenir lieu de dommages-intérêts. Mais me direz-vous, 2% on n’en meurt pas et la plupart des Français ont subi ces dernières années des majorations d’impôts de toute sorte et de toute origine (État ou collectivités territoriales) souvent bien supérieures. Grave erreur, parce que comme les autres Français, les retraités ont bien entendu eux-aussi supporté ces hausses largement excessives, mais avec les 2% de prélèvements supplémentaires, la Gauche leur réserve un matraquage spécial qui amène tout naturellement à s’interroger sur les projets du pouvoir pour les années à venir. En effet, on sait que pour des cercles de réflexion stratégique comme Terra Nova, ou même des organismes officiels comme France Stratégie (dont le directeur M. Pisani-Ferry n’était autre que le proche conseiller de Monsieur Macron lors de sa campagne électorale), les pensions de retraite absorbent indûment une part trop grande du PIB national (environ de 14 à 15% selon les sources, qui bien entendu ne se soucient jamais de rappeler en face le produit revalorisé des cotisations d’hier, bien qu’elles fondent pourtant les pensions d’aujourd’hui ! ) et qu’il importe de réduire cette part en faveur des jeunes au profit desquels, après avoir saccagé l’enseignement officiel (près de 15% d’une classe d’âge en échec scolaire + classement Pisa en chute libre !), on veut accroître entre autres l’assistanat préexistant. Or - et nous reviendrons bientôt sur ce sujet important - c’est oublier que la plupart des retraités ont été et restent des parents avant d’être des retraités et que, dés qu’ils l’ont pu, ils n’ont pas attendu l’État pour aider financièrement et autrement leurs enfants, même si les statistiques officielles ont le plus grand mal à cerner l’importance de toutes ces aides souvent non déclarées et dont une bonne partie n’est pas monétaire. Mais le double avantage des retraités, savoir le temps et l’expérience, leur permet de réfléchir plus avant. Malgré qu’on leur ait garanti, - croix de bois, croix de fer-, le maintien intégral de leur pouvoir d’achat, avec l’engagement solennel que leurs pensions ne seront jamais réduites, ils ne peuvent donc s’empêcher d’observer et de déplorer que : > cela fait plusieurs années que sous des prétextes divers - tous plus pertinents les uns que les autres - leurs pensions sont bloquées ou revalorisées de manière indigne au regard de la montée rapide des charges de toute nature qui les assaillent ; > et notamment avec entre autres la croissance inconsidérée des impôts aussi bien d’État que locaux, les déremboursements médicaux ou pharmaceutiques de toute nature dont la liste ne cesse de s’allonger, l’alourdissement continu des coûts de journée des établissements d’accueil, l’indice des prix à la consommation entièrement sous le contrôle du Gouvernement ne peut plus être considéré comme représentatif des charges qui pèsent sur les retraités ; > les derniers prélèvements ou majorations de prélèvements qui les ciblent spécifiquement et exclusivement sont non seulement contraires au principe d’égalité devant l’impôt, mais ils constituent aussi un germe préoccupant de division de la Nation en suscitant sournoisement une opposition larvée entre actifs et retraités, en déclassant ouvertement ces derniers et en creusant au risque du grief d’ingratitude le fossé entre les seniors et leurs descendants.
Et si le nouveau Président, qui prétend rassembler les Français, ne veut pas laisser sur le bord de la route la majorité des 17 millions de retraités qui en font partie, il va falloir sans nul doute et vite qu’il s’emploie non seulement à trouver les mots, mais à proposer des mesures concrètes pour leur rouvrir un chemin d’espoir. Notamment, en cessant de les considérer abusivement comme une catégorie taillable et corvéable à merci à raison de leur docilité supposée et du poids des ans, en rappelant fermement aussi les engagements de la Nation envers ses aînés et en leur accordant enfin dans les institutions et les caisses de retraite les représentations officielles que la République, au mépris de toutes ses valeurs, leur dénie indignement depuis plus d’un demi-siècle.
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PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: LA VIE SOUS MACRON Mer 10 Mai - 9:59
Le programme du nouveau président de la République pour les collectivités
Voici les projets du président de la République élu dimanche, Emmanuel Macron, tels qu’il les avait dévoilés le 22 mars devant les maires de France.
Réforme territoriale Partisan d’une « pause institutionnelle », Emmanuel Macron ne souhaite pas engager une nouvelle réforme territoriale. « La commune doit rester l’échelon de référence de notre organisation institutionnelle », a-t-il affirmé devant les maires, le 22 mars. Il s’est également déclaré « favorable au maintien du fléchage pour l’élection des élus intercommunaux » dans la perspective des élections municipales de 2020, exception faite des métropoles. Il suggère cependant de « réduire de 25 % le nombre de départements d’ici à 2022, principalement là où de grandes métropoles ont été créées », les conseils départementaux « demeurant un échelon pertinent aux côtés des villes moyennes et en milieu rural » où ils seront préservés. En milieu rural, Emmanuel Macron estime qu’il convient « de développer l’intercommunalité. Suivant le même principe, nous inciterons à la création des communes nouvelles. » Il souhaite donner « aux préfets la capacité d’adapter l’organisation des services de l’État aux besoins de chaque région et département ».
Relations financières État-collectivités Emmanuel Macron propose un « pacte de responsabilité » qui consisterait pour les élus locaux à s’engager à réaliser « 10 milliards d’économies sur cinq ans », leur quote-part sur les 60 milliards d’euros d’économies que prévoit son plan national pour réduire la dépense publique. Pour les collectivités, « il ne s’agira pas d’une baisse unilatérale des dotations. Je souhaite que vous vous engagiez à baisser vos dépenses et que vos efforts portent sur les dépenses de fonctionnement », avait expliqué le candidat d’En Marche le 22 mars. Pour leur redonner « la capacité de choix », il propose aux mairesde leur permettre de revenir sur la réforme des rythmes scolaires ou encore de leur laisser la main sur la gestion salariale de leurs agents territoriaux. « À l’automne 2017, je présenterai une trajectoire quinquennale de maîtrise de la dépense publique pour l’État et les collectivités », a-t-il indiqué. Les mesures concernant les collectivités pour l’an prochain (dotations, fiscalité…) pourraient figurer dans une loi de financement spécifique, distincte de la loi de finances pour 2018, les textes budgétaires étant traditionnellement présentés par le gouvernement en septembre. Les dispositions impactant les collectivités seront en tout cas dévoilées devant le Comité des finances locales avant leur présentation en Conseil des ministres. Une « conférence des territoires qui se réunira tous les six mois », associant tous les niveaux de collectivités et des magistrats de la Cour des comptes, sera chargée de « faire le suivi des efforts » des collectivités en matière de dépense publique. L’État et les collectivités devront convenir d’ici là d’une grille d’indicateurs sur lesquels reposera l’évaluation des efforts des collectivités, et des conséquences du non-respect des engagements.
Fiscalité locale Emmanuel Macron veut exonérer, d’ici à 2020, 80 % des ménages de la taxe d’habitation, un impôt qu’il juge « injuste socialement et sur le plan territorial ». « L’État remboursera directement les collectivités locales, à l’euro près, de ces dégrèvements », a-t-il assuré le 22 mars, en indiquant que « les maires conserveront les pleins pouvoirs en matière de fixation des taux ». Mais, a-t-il ajouté, l’État ne remboursera qu’au taux actuel, une dépense qu’Emmanuel Macron chiffre à 10 milliards d’euros pour l’État. Les éventuelles augmentations de taux devront être prises en charge par les contribuables, a-t-il précisé le 22 mars. « Un comité de suivi indépendant, qui associera largement les maires, pour mesurer la réalité de la compensation par l’Etat et la prise en compte de l’évolution des bases », sera mis en place, a-t-il assuré aux élus.
Investissements publics Emmanuel Macron a prévu un plan de relance sur cinq ans doté de 50 milliards d’euros, dont dix milliards destinés aux collectivités (numérique, transports, rénovation urbaine, modernisation des services publics, transition écologique…). Cette enveloppe de dix milliards d’euros serait prise sur les 60 milliards d’euros d’économies réalisées. Elle s’élèverait à deux milliards d’euros par an, soit le double du fonds de soutien à l’investissement local (FSIL), dont le montant atteint 1,2 milliard d’euros en 2017.
Statut de l’élu Emmanuel Macron veut l’adoption d’une « grande loi de moralisation de la vie publique ». Parmi les principales mesures figureront l’interdiction pour les parlementaires d’exercer des activités de conseil parallèlement à leur mandat, pour mettre fin aux conflits d’intérêt. Toutes leurs indemnités seront soumises à l’impôt. Toute embauche par un élu ou un ministre d’un membre de sa famille serait interdite, tout comme le cumul de plus de trois mandats identiques successifs. Les détenteurs d’un casier judiciaire (niveau B2) ne pourraient plus se présenter à une élection. Cette réforme devrait être l’un des premiers textes déposés au Parlement, dont la XVe législature débutera le 27 juin.
Fonction publique Le nouveau président de la République souhaite préserver le statut de la fonction publique tout en le « modernisant ». Promotion des mobilités entre public et privé, souplesse « dans la gestion des carrières avec des rémunérations plus individualisées », recours aux contractuels facilité…, autant de mesures destinées à gommer les contraintes statutaires. Concernant les rémunérations, Emmanuel Macron veut délier les collectivités de l’obligation de suivre les évolutions du point d’indice qui s’imposent aujourd’hui à toutes les branches de la fonction publique. Cependant, dans le cadre du plan d’économie et du pacte de responsabilité avec les collectivités, il propose l’instauration d’un jour de carence en cas d’arrêt maladie et la suppression de 120 000 postes de fonctionnaires sur cinq ans en ne remplaçant pas, notamment, 70 000 postes dans la FPT. À charge pour les collectivités de compenser ces départs non remplacés « grâce aux gains d’efficacité et d’autonomie ». Partisan de conserver la durée légale du travail à 35 heures, Emmanuel Macron souhaite que les collectivités se rapprochent des 1607 heures de travail annuel. Elles « devront, sous six mois, remettre à plat les dérogations au temps de travail aujourd’hui en œuvre ». Il entend construire un régime universel de retraite alignant les statuts du public et du privé.
Prévention-sécurité Emmanuel Macron a annoncé le recrutement de « 10 000 policiers et gendarmes supplémentaires ». Ces derniers se verront confier « un nouveau pouvoir : sous le contrôle du juge, ils pourront interdire à une personne délinquante de fréquenter le quartier où elle a commis ses délits ». Le chef de l'État veut créer « une police de sécurité quotidienne. Au plus près des Français, elle développera une connaissance approfondie des lieux et des habitants qu’elle sera chargée de protéger et d’entendre », indique son programme. « Nous ne tolèrerons plus les incivilités. Le harcèlement des femmes, les insultes, la dégradation du mobilier urbain, les crachats… Ces incivilités seront punies d’amendes immédiates et dissuasives. »