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Les GENS de LOCON et du reste du monde
 
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 JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC

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ACARIE

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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeJeu 25 Jan - 8:53

Les élus ne pensent qu'a leur gueule... 
Ras le bol de cette oligarchie qui se gave sans état d 'âme. 
Il serait temps d' aligner nos salaires et retraites sur l 'inflation comme cela se fait en Belgique !


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Face à l’inflation, l’Assemblée augmente les frais de mandat des députés de 300 euros par mois


Les députés ont décidé ce mercredi 24 janvier d’augmenter de 300 euros l’avance de frais de mandat qui leur permet de financer des déplacements ou de louer de permanences pour suivre les effets de la hausse des prix. Tous les groupes présents au bureau de l’Assemblée ont soutenu la hausse excepté LFI qui s’est abstenu.


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L'Assemblée nationale, ce mercredi. (Julien de Rosa/AFP)

par LIBERATION et AFP
publié le 24 janvier 2024 à 16h43

Si seulement toutes les professions pouvaient bénéficier du même souci des effets de l’inflation. L’Assemblée nationale a décidé, ce mercredi 24 janvier, d’augmenter d’un peu plus de 300 euros par mois l’avance de frais de mandat (AFM) des députés, en invoquant l’inflation, a-t-on appris de sources parlementaires. La décision de porter l’AFM de 5 645 euros à 5 950 euros (+5,4 %) par mois a été prise par le bureau, la plus haute instance de l’Assemblée nationale, avec le soutien de tous les groupes politiques présents à ce moment-là, sauf de LFI qui s’est abstenu.

La socialiste Valérie Rabault, absente lors du vote, avait en revanche fait part de ses réserves avant la réunion, assure-t-elle, ce que confirme une autre membre du bureau. « La réunion a pris beaucoup de retard et elle avait une obligation en fin de matinée », précise un socialiste de l’Assemblée, qui affirme que le groupe PS n’aurait pas voté pour si un de leurs représentants avait été présent.



Les députés ont aussi élargi l’avance de frais de mandat à la prise en charge de la garde d’enfants, à condition que les députés ne sollicitent pas de déductions d’impôts dans le même temps. L’avance de frais de mandat permet la location d’une permanence, de financer des déplacements, de couvrir certaines dépenses d’hébergement, des frais de réception et de représentation. Ces dépenses sont contrôlées depuis 2018 et les sommes non utilisées doivent être restituées à la trésorerie de l’Assemblée nationale.



Remplacement de l’IRFM


Cette avance, qui s’ajoute à la rémunération des élus (7 637 euros brut par mois) a remplacé la controversée Indemnité représentative de frais de mandat (IRFM), enveloppe dont l’usage n’était pas vérifié et qui a donné lieu à des dérives, de l’achat de téléviseurs au paiement de vacances, par exemple.

Chez les syndicats de collaborateurs parlementaires, l’Unsa a critiqué la hausse de l’avance de frais de mandat. «L’Union syndicale des collaborateurs parlementaires Unsa dénonce cette décision qui est intervenue, alors que l’Assemblée refuse, au motif que cela coûterait trop cher à l’institution, d’augmenter le crédit collaborateurs», a dénoncé le syndicat. «Actuellement de 11 118 euros par mois, cette enveloppe sert à la rémunération des équipes des députés»«généralement constituées de trois collaborateurs» et pouvant «en compter jusqu’à cinq», rappelle-t-il. «Il est grand temps que les autorités de l’Assemblée nationale considèrent pleinement les conditions de travail des collaboratrices et des collaborateurs parlementaires», dont certains «sont payés à temps partiel au niveau du SMIC», insiste le syndicat.



Mise à jour à 20h20 : avec une précision sur la position du groupe PS.

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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeMer 25 Mai - 11:21

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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeLun 23 Mai - 15:43

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Hauts-de-France : Ces notes de frais bizarres que présentent certaines collectivités

FRAIS DE BOUCHE 




Une enquête du site d’informations Médiacités nous apprend que certaines collectivités sont réticentes à dévoiler les notes de frais de leurs élu(e)s

G.D.
Publié le 22/05/22 à 17h16 





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La maire de Calais, Natacha Bouchart, visé par des notes de frais étranges par le site d'informations Médiacités. — Marceau Voituron / SIPA


« Cela relève de la vie privée ». Voilà un des arguments inopérants que le site d’informations, Médiacités, a reçu lors de son enquête sur les notes de frais des élu(e)s dans douze collectivités de la région Hauts-de-France. Le site souhaitait passer au peigne fin frais de restauration, de séjour ou de représentation, pour les années 2019, 2020 et 2021.
Premier constat des journalistes qui ont mené cette enquête, les collectivités ont été très réticentes à fournir factures et documents. « Il a fallu faire appel à la Commission d’accès aux documents administratifs pour l’agglomération de Douai (dirigée par Christian Poiret, également président du conseil départemental du Nord), la ville et la communauté d’agglomérations de Valenciennes, ainsi que la Métropole européenne de Lille », explique Médiacités.

Cadeaux protocolaires



Après cette difficile collecte des documents qui doit servir à une future comparaison à grande échelle, certaines « incongruités » ont déjà été repérées. Ainsi, la mairie de Lille, dans ses cadeaux protocolaires, a offert à l’ancien préfet Michel Lalande, lors de son départ, une lithographie de l’artiste islandais Erró. Pour un montant non précisé.


A Roubaix, c’est une facture de séminaire pour les élus de la majorité qui surprend : 5.000 euros pour une intervention du conférencier Bruno Poignard sur « le fonctionnement de l’être humain, axé sur la communication et la relation à l’autre ». « On espère que l’équipe municipale, ballottée depuis par les affaires ayant touché les élus roubaisiens, a pu en tirer des enseignements », ironise Médiacités.


Hôtel très cher



Autre remboursement étonnant, la ville de Calais a pris en charge le déplacement et l’hébergement de Natacha Bouchart à Angers, en septembre 2020, à l’occasion du lancement de La République des maires, une initiative politique de maires de centre-droit autour de l’ancien premier ministre Edouard Philippe. « Un déplacement qui n’a rien à voir avec les habitants de Calais qui en supporteront pourtant la charge », souligne le site d’informations.
Enfin, la métropole de Lille (Mel) n’est pas en reste. Pour leur participation au Mipim de Cannes, consacré aux professionnels de l’immobilier, le président de la Mel, Damien Castelain, s’est fait rembourser deux nuits dans une chambre d’hôtel à 499 euros la nuit, alors que le maire de Valenciennes, Laurent Degallaix, présent au même salon, a séjourné dans un hôtel deux fois moins cher.


.
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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeSam 21 Mai - 8:08

PAS DE DOUTE ...C'EST ENCORE UN TRAITRE 
qui lâche son parti (LR) pour une meilleure gamelle chez Macron .


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lol!
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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeVen 13 Mai - 18:08



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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeMer 11 Mai - 14:10

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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeMer 11 Mai - 8:09

TRAITRE ... GIROUETTE ... CARRIERISTE ... OPPORTUNISTE ...


Chassez le par les urnes il revient par les chiottes !

JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Captu568

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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeMer 11 Mai - 7:33

TRAITRE ...CARRIERISTE ... OPPORTUNISTE ...c 'est encore elle qui a 73 ans continue sa triste épopée


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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeSam 7 Mai - 8:17

TRAITRE ... GIROUETTE ... CARRIERISTE ... OPPORTUNISTE ...


Chassez le par les urnes il revient par les chiottes !


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MANUEL VALLS INVESTI MAIS…
L. D.


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ne

Il est l’un des grands gagnants de la semaine puisqu’après avoir enchaîné les revers politiques, l’ancien Premier ministre socialiste a reçu l’investiture En Marche dans la 5ᵉ circonscription des Français de l’étranger (Espagne, Portugal, Andorre et Monaco). Sauf que Manuel Valls a dû reboucher le cava en apprenant que le député sortant, Stéphane Vojetta (LREM), avait annoncé qu’il comptait se représenter, « surpris » par la candidature de M. Valls . « J’étais le candidat naturel dans cette circonscription où j’ai posé mes valises il y a une vingtaine d’années et à laquelle je suis resté fidèle » , écrit-il dans un communiqué.

Pour justifier sa candidature, M. Vojetta met en avant ses « principes », son « engagement » et sa « fidélité à la majorité présidentielle ». « Ces valeurs sont précisément celles qui me poussent aujourd’hui à refuser les parachutages et autres soubresauts de l’ancien monde . »
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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeVen 29 Avr - 10:36

Le phoenix renait de ses cendres pour prolonger sa trahison 


Jean-Pierre Chevènement lance un nouveau parti et se défend d'affaiblir le PS : "Il s'est tué tout seul"



L'ancien ministre de gauche Jean-Pierre Chevènement a lancé mercredi un nouveau mouvement politique baptisé Refondation Républicaine, dans l’idée de soutenir Emmanuel Macron.
Article rédigé par
JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Placeholder-36b69ec8

Audrey Tison - franceinfo
Radio France


Publié le 27/04/2022 17:06

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L'ancien ministre de gauche Jean-Piere Chevènement lance à 83 ans un nouveau parti proche d'Emmanuel Macron, Refondation Républicaine, le 27 avril 2022. 
(STEPHANE DE SAKUTIN / AFP)


Jean-Pierre Chevènement avait déjà apporté son soutien à Emmanuel Macron avant la présidentielle, exprimant son espoir que le président sortant puisse "redresser le pays et redonner un sens à la politique" lors d'un second mandat. Mercredi 27 avril, l’ancien ministre de gauche va plus loin. Âgé de 83 ans, il lance Refondation Républicaine, un mouvement politique qui a vocation à soutenir l'action du président et à proposer des idées. L’idée, explique-t-il, est d’"introduire dans la majorité présidentielle l'exigence républicaine. Il faut que nous construisions un pays redressé. Reconquérir son indépendance industrielle, agricole, sanitaire".


Ministre de l'Éducation nationale puis de la Défense sous François Mitterrand, ministre de l'Intérieur du gouvernement de cohabitation de Lionel Jospin dans les années 1990, deux fois candidat à la présidentielle (2002 et 2007), l’octogénaire espère pouvoir présenter une petite dizaine de candidats aux législatives. L'ancien socialiste assure que son mouvement a vocation à attirer des républicains, de gauche comme de droite. Refondation Républicaine, dont le président est Jean-Yves Autexier, fidèle de Jean-Pierre Chevènement, ancien député et sénateur de Paris, entend rejoindre "la bannière commune" aux côtés, notamment, de LREM, du MoDem, d'Horizons et d'Agir.



Une dérive wokiste



À la question de savoir s'il a conscience qu'il pourrait contribuer à finir de tuer son ancien parti, le PS, Jean-Pierre Chevènement répond qu'"il s'est tué tout seul. Je crois qu'il ne faut pas nous prêter ni des desseins ni des exploits que nous n'aurions pas été capables d'accomplir. Le Parti socialiste a malheureusement tourné le dos à sa vocation sociale initiale. Il l'a fait par le canal que vous savez, l'acte unique, la dérégulation dans le cadre européen". Jean-Pierre Chevènement parle aussi d'une dérive wokiste et ne voit pas d'un bon œil les discussions entamées entre le PS et la France insoumise, même s'il salue les efforts de ceux qui tentent de sauver la gauche.
lol!



Jean-Pierre Chevènement, 80 ans bien sonnés - vient de créer un nouveau mouvement politique : « Refondation républicaine ». Oui ! Pour apporter sa contribution à l’édifice de la Macronie. 


Si l’on doutait que celui-ci fût en péril, le « Che » nous le prouve. Le vieux monde ne veut pas mourir.


lol!
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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeJeu 28 Avr - 15:53

Dans la série je suis un traitre.
 Je trahis mes électeurs et mon parti pour un plat de lentilles : 


MANUEL VALLS : Le caméléon capable de se transformer en femme pour etre apte a tous les postes d'un gouvernement Macron II  lol!


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lol! lol! lol!
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MessageSujet: Un grand traitre    JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeDim 17 Avr - 8:28

Dans la série je fais de la politique et je trahis ...




EN CE JOUR DE PAQUES RENDONS HOMMAGE au TRAITRE JUDAS  SANS QUI LA RELIGION CHRETIENNE N'EXISTERAIT PAS  Very Happy Very Happy Very Happy


Pourquoi Judas a-t-il trahi Jésus ?
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Le Baiser de Judas, par Giotto di Bondone, entre 1304 et 1306 © Wikimedia

Charles Rouvier - publié le 12/04/17


Nous savons que Judas a trahi le Christ pour trente deniers, conduisant ce dernier à la Passion. Et, si plutôt que la pure et simple cupidité, l’apôtre avait trahi le Seigneur pour des raisons politiques ?


Une trahison étrange


Pourquoi Judas a-t-il trahi ? La question peut sembler accessoire et pourtant, à y regarder de plus près, la chose paraît étrange. Voilà un homme qui suit trois années un maître dont il fera partie du cercle intime, un maître à l’aura et au charisme peu commun et qui soudain livre ce maître à ses ennemis pour trente pièces d’argent : « Alors, l’un des Douze, nommé Judas Iscariote, se rendit chez les grands prêtres et leur dit : “Que voulez-vous me donner, si je vous le livre ?” Ils lui remirent trente pièces d’argent. » (Matt 26, 14-15).


Les sicaires, une secte nationaliste

Ce n’est là qu’une théorie parmi d’autre, mais une théorie étayée par un certains nombre d’indices concordants : l’apôtre aurait été un sicaire ou au moins un de leurs sympathisants, d’où l’épithète « Iscariote », qui serait une version sémitique de « Sicarios ». Les sicaires étaient une secte ou organisation juive de l’époque romaine qui militait pour l’indépendance politique de la Judée et le départ de l’occupant romain. Par « militer » il faut entendre par tous moyens, y compris l’assassinat de militaires romains, mais aussi, et c’est là que c’est intéressant, de Juifs jugés complices des Romains. Or, rappelons-nous que Jésus ne prétendait absolument pas remettre en cause cette présence romaine en Judée, son royaume n’étant « pas de ce monde », allant jusqu’à justifier le paiement de l’impôt à César ! « “Nous est-il permis, oui ou non, de payer l’impôt à César, l’empereur ?” Mais Jésus, percevant leur fourberie, leur dit : “montrez-moi une pièce d’argent. De qui porte-t-elle l’effigie et l’inscription ?” – “De César”, répondirent-ils. Il leur dit : “alors rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu”. » (Luc, 20, 22-25).


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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeSam 16 Avr - 8:09

Dans la série des traitres qui n 'ont  pas aidé leur amie Hidalgo au premier tour des élections mais qui au second tour  participent ardemment à l 'élection de son adversaire: DELANOË ancien maire de Paris.





lol!


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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeVen 15 Avr - 10:57

Dans la série Macron m' a trahi et moi je trahis tout le monde... 
Hollande, cocu mais pas rancunier, incite les Français a voter pour son assassin. lol! lol! lol!


lol! lol! lol!
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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeJeu 14 Avr - 8:21



DANS LA SERIE ...JE SUIS UN TRAITRE ET JE CHANGE DE CAMP


JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Captu504   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Captu505     


Sarkosy et Woerth deux traitres a leur parti politique


JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Captu506
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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeMer 13 Avr - 9:17

DANS LA SERIE ...JE SUIS UN TRAITRE ET JE CHANGE DE CAMP
 
JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Logo105



Sarkozy et Jospin voteront Macron 


prFRANCE.
Emmanuel Macron, grand partisan du « en même temps » de droite et de gauche, a engrangé hier le soutien de Nicolas Sarkozy et de Lionel Jospin pour le second tour.

L’ancien chef de l’État a justifié son soutien par le fait qu’Emmanuel Macron était « le seul en situation d’agir », invoquant sur Facebook « la fidélité aux valeurs de la droite républicaine » et « la valorisation du travail » par le président sortant. « Je voterai pour Emmanuel Macron », a affirmé Nicolas Sarkozy, qui n’avait jamais apporté son soutien au premier tour à la candidate LR Valérie Pécresse, au grand dam du parti qu’il avait créé.

Quelques minutes plus tard, Lionel Jospin, l’ancien Premier ministre de cohabitation (1997-2002) de Jacques Chirac, apportait lui aussi son soutien au président-candidat : « Le pays étant confronté à deux mouvements de rejet, j’écarterai Marine Le Pen et voterai Emmanuel Macron », a-t-il déclaré.

Pour le premier tour, il avait soutenu la socialiste Anne Hidalgo qui, avec 1,75 %, a fait le pire score de l’histoire de sa famille politique.


lol! lol! lol! lol! lol! lol! lol! lol!


JE SUIS UN TRAITRE ET JE CHANGE DE CAMP

Présidentielle 2022 : Lionel Jospin « votera Emmanuel Macron » au second tour de la présidentielle



ELECTION Lionel Jospin avait apporté le 27 mars son soutien à la candidate socialiste Anne Hidalgo

20 Minutes avec AFP
Publié le 12/04/22 à 10h57 — Mis à jour le 12/04/22 à 10h57



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lol! lol! lol!


JE SUIS UN TRAITRE ET JE CHANGE DE CAMP

Dans une vidéo, Bernard Cazeneuve appelle à voter « sans hésitation » pour Macron





Bernard Cazeneuve, ancien Premier ministre, appelle à voter en faveur d'Emmanuel Macron le dimanche 24 avril 2022, pour le second tour de l'élection présidentielle.

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Bernard Cazeneuve appelle à voter pour Emmanuel Macron. (:copyright:Archives La Presse de la Manche)


lol! lol! lol!


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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeVen 8 Avr - 9:13

JE SUIS UN TRAITRE ET JE CHANGE DE CAMP



Présidentielle 2022 : « La trahison est indissociable de la conquête du pouvoir », estime l'historien Jean Garrigues




INTERVIEW Alors que Marine Le Pen connaît de nombreuses défections dans cette campagne présidentielle, retour sur les célèbres trahisons avec l’historien spécialiste de la Ve République Jean Garrigues

Propos recueillis par Thibaut Le Gal
Publié le 16/02/22 à 18h01 





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Marine Le Pen et Nicolas Bay, illustration.
 — NICOLAS MESSYASZ/SIPA


  • L’eurodéputé RN Nicolas Bay a été démis de toutes ses fonctions au sein du parti mardi soir.

  • Le désormais ex-porte-parole de Marine Le Pen est accusé de « trahison » par les responsables du Rassemblement national, qui le soupçonnent d’avoir transmis « depuis des mois des éléments stratégiques et confidentiels » à Eric Zemmour.

  • De Jacques Chirac à Emmanuel Macron en passant par Edouard Balladur et Eric Besson, la trahison en pleine campagne est « une arme politique » utilisée de longue date, rappelle l’historien Jean Garrigues, auteur de La République des traîtresDe 1958 à nos jours (Tallandier).



Nouvel épisode cette semaine dans la guerre entre Marine Le Pen et  Eric Zemmour. L’eurodéputé Nicolas Bay, porte-parole de la candidate  RN, a été mis au ban du parti mardi soir, accusé  de « trahison » et de « sabotage » au profit de la campagne d’Eric Zemmour. L’intéressé a réfuté ces accusations, indiquant qu’il déposerait plainte pour diffamation contre le RN. Depuis quelques mois,  la présidentielle est jalonnée de trahisons dans les différents camps. Une constante politique, pour l’historien Jean Garrigues, auteur de La République des traîtresDe 1958 à nos jours (Tallandier) et qui publiera en mars La tentation du sauveur, histoire d’une passion française (Payot).
JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC 648x0Jean Garrigues en 2019 (illustration) - Jacques BENAROCH/SIPA

Cette lutte entre Marine Le Pen et Eric Zemmour vous rappelle-t-elle la trahison de Bruno Mégret au détriment du Front national de Jean-Marie Le Pen en 1999 ?

C’est un peu différent, car il y avait une frustration interne : le vizir Mégret voulait prendre la place du calife Le Pen, alors qu’Eric Zemmour est extérieur au RN. Mais ce n’est pas sans lien car il y avait aussi une divergence stratégique. Bruno Mégret souhaitait rapprocher le FN d’une droite populaire, ce qui ressemble à la volonté d’union des droites d’Eric Zemmour. Aujourd’hui, beaucoup de cadres RN le rejoignent car ils sont persuadés de l’échec à venir de Marine Le Pen et dessinent à terme une recomposition politique,  avec l’arrivée probable de Marion Maréchal.

La trahison n’est pas chose nouvelle en politique…

C’est un classique depuis l’Antiquité. La plus célèbre des trahisons remonte à la Rome antique, quand Brutus trahit son père adoptif Jules César et le tue. La trahison est indissociable de la conquête du pouvoir, c’est une arme redoutable. On la voit dans tous les systèmes, tous les régimes. C’est très spectaculaire en France car on a une hyper personnalisation de la Ve République, et donc des combats de personnalités.





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La morte di Cesare. Photomontage assumé. - cc


Même le général de Gaulle a été trahi ?

Pas directement, mais le général de Gaulle a eu ce sentiment de trahison quand Georges Pompidou, son ex-Premier ministre, déclare en janvier 1969 qu’il se verrait bien postuler à la présidence de la République. En vérité, le vrai divorce date d’un an plus tôt, lorsque Georges Pompidou joue le premier rôle dans la gestion de mai 68, qui avait dépassé le général de Gaulle. A ce moment-là, il y a eu une sorte de rivalité entre les deux hommes, et une forme de rancœur du général.

Est-ce qu’on peut gagner la présidentielle sans trahir ?

Ça me paraît impossible. Il n’y a qu’un seul trône pour énormément de prétendants. Ca se vérifie d’ailleurs dans les élections locales mais cela reste plus spectaculaire pour la présidentielle, car les gratifications sont plus hautes. Les postes ministériels peuvent motiver et incitent aussi à ce type de trahison. Le cas le plus frappant, c’est la trahison de Jacques Chirac en plein milieu de la campagne 1974, avec son « appel des 43 », qui torpille la campagne de Jacques Chaban-Delmas, pourtant le candidat de son parti, l’UDR, pour soutenir Valérie Giscard d’Estaing dont il deviendra le Premier ministre.


La trahison politique se double-t-elle parfois de trahison affective ?



Oui, mais il faut se méfier des apparences. Jacques Chirac et Edouard Balladur n’ont en réalité jamais été « des amis de trente ans », comme l’a dit le Chirac. Le prétendu pacte de confiance signé entre les deux et rompu par Balladur pour la campagne de 1995 est beaucoup moins clair que l’a affirmé ensuite Chirac. La question de la trahison repose parfois sur une forme de mythologie, créée après coup – ici, par les chiraquiens, pour réévaluer la performance de l’homme élu à l’Elysée après avoir été abandonné par tous. On remarque que cette stratégie de victimisation, qui a très bien fonctionné par Jacques Chirac, est aujourd’hui reprise par Marine Le Pen.



Certaines trahisons surviennent parfois très tardivement dans la campagne…



La trahison d’Eric Besson est la plus spectaculaire. En 1974, Jacques Chirac ne change pas de camp, contrairement au socialiste, qui après avoir été responsable du chiffrage du projet de Ségolène Royal, rejoint Nicolas Sarkozy après le premier tour [il s’était mis en retrait de la campagne PS en février]. Il finira ministre de son ancien adversaire, mais ce n’était d’ailleurs pas le seul à trahir Ségolène Royal en 2007. Une grande partie des dirigeants critiquait alors la candidate PS, y compris son compagnon de l’époque, François Hollande.


Parfois, certains se refusent à voir la trahison arriver. On se souvient de François Hollande face aux ambitions d’Emmanuel Macron…



Il y avait une forme d’aveuglement et de  péché d’orgueil de la part de François Hollande. Il n’imaginait pas qu’Emmanuel Macron, qu’il avait promu, puisse le trahir. Pourtant Manuel Valls l’avait averti car il sentait le danger venir. Il sera d’ailleurs finalement la principale victime de la candidature d’Emmanuel Macron.
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 Edouard Balladur et Nicolas Sarkozy en janvier 1995 - REUTERS/STR


Est-ce qu’en politique, on peut se remettre de l’image du traître ?



Ca dépend. Jacques Chirac s’en est très vite remis, il était Premier ministre de Giscard, ça l’a installé dans le paysage politique français et il a pris le pouvoir sur sa famille politique. Comme Nicolas Sarkozy. Il était la figure du traître après avoir quitté Chirac pour Balladur en 1995 mais il est ensuite devenu le patron de la droite. C’est plus difficile pour Eric Besson ou Manuel Valls [qui n’a pas soutenu le vainqueur de la primaire PS Benoît Hamon en 2017], mais l’ex Premier ministre avait théorisé les deux gauches irréconciliables et se sentait lui-même trahi par les frondeurs et les hamonistes. Les trahisons sont parfois des révélateurs, des armes dans une compétition politique et révèlent en réalité des divergences de fond.
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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeJeu 7 Avr - 9:59

Encore un traitre qui espère une meilleure gamelle ...






Présidentielle 2022 : Éric Woerth fera campagne pour Emmanuel Macron et ne soutiendra pas Valérie Pécresse

SOUTIEN Le président (LR) de la Commission des finances de l’Assemblée nationale ne soutiendra pas la candidate de son parti politique

M.F
Publié le 09/02/22 à 15h22 — Mis à jour le 09/02/22 à 19h29



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Éric Woerth, le président de la Commission des finances de l'Assemblée et chef de la fédération LR de l'Oise.

 Louise MERESSE/SIPA
« J’ai décidé de soutenir Emmanuel Macron », lance Éric Woerth dès le début de son  entretien dans Le Parisien paru ce mercredi. Une annonce qui sonne comme une trahison venant du chef de la fédération Les Républicains de l’Oise. Mais celui qui fut l’ancien ministre sous Nicolas Sarkozy et actuellement président de la Commission des finances de l’Assemblée nationale assure avoir mûrement réfléchi son choix.
S’il ne soutient pas la candidate LR Valérie Pécresse c’est parce que selon lui, Emmanuel Macron « est le mieux à même de défendre l’intérêt de la France et des Français ». Éric Woerth met notamment en avant son expérience de cinq ans comme président et sa capacité à gérer « les crises les plus graves ».



« J’ai du respect et de l’amitié pour Valérie Pécresse », assure dans son interview Éric Woerth. Il assure que sa décision n’a rien de personnel, mais qu’il « n’adhère pas au discours de LR, qui décrit une France qui n’est pas tout à fait la mienne, une France nostalgique, recroquevillée sur elle-même ». Il dépeint ensuite une campagne LR « obnubilé par l’islamisme radical ».


lol! lol! lol!
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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeJeu 7 Avr - 9:47

Déçu et frustré TASSEZ maire de Verquin entre dans le hit parade des traitres 


En 2020 il espère devenir President de la CABBALR et n 'est pas élu ...


SELON LA VOIX DU NORD : " C’est par une lettre envoyée aux maires que Thierry Tassez a officialisé sa candidature à la présidence de la Communauté d’Agglomération Béthune-Bruay Artois Lys Romane (CABBALR). Le maire de Verquin, élu depuis 2001, et vice-président en exercice à l’agglomération, a reçu le soutien de poids d’Alain Wacheux, le président sortant et figure historique de l’intercommunalité qu’il gouverne depuis 2002.
À côté du nom de Thierry Tassez, on peut lire également ceux d Deux « proches » de Thierry Tassez puisque faisant partie du même groupe Socialiste, Républicain et Citoyen, majoritaire à l’agglomération."


En 2022, frustré, pour se venger, il quitte son parti et ses amis Nadine Lefebvre, maire de Beuvry, ou encore Serge Marcellak, maire de Nœux-les-Mines, également vice-présidents à l’agglo pour rallier Macron 




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Présidentielle : les soutiens du président-candidat Macron se sont réunis à Verquin avec Tassez,Maire et ex socialiste

La ministre de l’Industrie et d’autres soutiens d’Emmanuel Macron, élus
du Béthunois-Bruaysis, étaient rassemblés pour un débat public à Verquin vendredi soir.


lol! lol! lol!
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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeJeu 7 Avr - 9:04

PAS FIER BORLOO ...encore un traitre a son parti depuis le 6-04-2022...

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Humilié par Macron en 2018 :



Macron-Borloo : histoire d’une humiliation

Lors du dernier remaniement, le président de la République a tenté de renouer avec l’ancien ministre centriste. Mais Jean-Louis Borloo n’est pas prêt d’oublier la manière dont il a été traité par le chef de l’Etat lorsqu’il a présenté, en mai dernier, son plan banlieue. MARIE-FRANCE ETCHEGOIN a reconstitué cet épisode secret du quinquennat, qui précédait la chute dans les sondages de Macron mais aussi les démissions de Hulot et de Collomb.

24 OCTOBRE 2018





JOËL SAGET / AFP




Jusqu’ici, il a toujours refusé de s’étendre sur la question. Il faut dire qu’elle n’a rien d’agréable. On pourrait la lui poser ainsi : « Racontez-nous, M. Borloo, comment et pourquoi Emmanuel Macron vous a humilié en public. » Mais on a en tête quelques recomman­da­tions égrenées par les proches de l’offensé : « Jean-Louis est un affectif. S’il accepte de revenir sur cet épisode, allez-y dou­cement. » Ce vendredi 7 septembre, il marche en long et en travers dans son bureau parisien proche de l’Étoile : « Faut venir avec moi, dans la rue, dans les cafés. Les gens m’arrêtent – “Jean-Louis, qu’est ce qui s’est passé ?” Ils n’ont pas plus compris que moi. » Long silence. Puis, à nouveau, les mots qui se bousculent, dans ce style inimitable, à la fois familier et lyrique : « On avait une chance extraordinaire. Un truc très sain, très républicain. Avec tous les élus, les grands, les petits. Les syndicats étaient d’accord. Berger [de la CFDT] dealait avec Martinez [de la CGT]. Gattaz, le Medef...» On dirait un mécanicien qui, après avoir tripatouillé dans le moteur, vous annonce qu’il a trouvé la panne et qu’il sait comment réparer la France. « Moi, ce pays je le connais par cœur. » Il allume une clope. « Ce pays, il peut faire de grandes choses. Y a juste un moment où celui qui l’incarne doit dire : “Bon, vous êtes OK, les gars ? Eh ben, on y va !” Cette histoire, c’était ça. Elle était faite pour lui. Vraiment pour lui. » Lui ? Emmanuel Macron. L’histoire ? Celle d’un mirobolant programme pour les villes en déshérence, tué dans l’œuf.

Souvenez-vous, c’était il y a à peine quelque mois : le jeune président demande au vétéran de la politique de lui concocter un « plan de bataille » pour les banlieues. Cette mission, dit encore le chef de l’État, est si importante qu’elle doit conduire à une véritable « mobilisation nationale ».
Borloo s’attelle à la tâche. Durant sept mois. Mais lorsqu’il présente le fruit de son labeur, le 22 mai 2018 dans la salle des fêtes de l’Élysée, Macron le crucifie : les plans, c’est « vieux » ; les plans, « ça ne marche pas » ; les plans, c’est une idée de « mâle blanc ». Avant même la démission de Hulot et le scandale Benalla, cette journée du 22 mai est l’un des « tournants » qui précède le dévissage du chef de l’État dans les sondages. C’est aussi l’une des « séquences » les plus étranges qui soient depuis le début du quinquennat. Une cruelle partie de poker menteur, au cours de laquelle est apparu un étonnant croupier, humoriste de son état : Yassine Belattar, trentenaire mordant, issu de l’immigration, qui surfe sur le débat identitaire tout en se prévalant de l’amitié du président. C’est enfin un affrontement entre le monde dit « nouveau » et le monde étiqueté « ancien », où les plus roués et les plus « jeunes » ne sont pas toujours ceux que l’on pense.



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FRANCOIS LO PRESTI/POOL AFP




Jean-Louis Borloo continue à piétiner la moquette de son bureau. Il en arriverait presque à vous faire croire qu’il réfléchit avec vous. Pourquoi « Emmanuel » a-t-il fait « ça » ? Qu’est ce qui a déraillé ? En réalité, tout commence quelques mois avant la présidentielle de mai 2017. L’ex-ministre – de la ville puis du travail sous Chirac, des finances puis de l’écologie sous Sarkozy – est alors un retraité de la politique. Enfin, en théorie. Après son hospitalisation pour une pneumonie aiguë, il a renoncé, en avril 2014, à ses derniers mandats, la députation du Nord, et à la présidence de son parti, l’UDI. Mais quelques mois plus tard, le voici reparti sur les chapeaux de roues, bataillant à la tête d’une fondation pour développer l’électricité en Afrique, puis retournant, dès la campagne de 2017, humer les effluves de la politique hexagonale. D’abord, il semble soutenir François ­Fillon. Puis, au plus fort du « Penelopegate », appelé à la rescousse par une partie de la droite, il caresse l’idée de se présenter lui-même, avant de se désister. Enfin, entre les deux tours, à grand renfort de tambours médiatiques, il s’engage « à fond » derrière le candidat d’En marche !, « prêt, claironne-t-il, à se retrousser les manches pendant deux ou trois ans pour donner un coup de main ». Parmi les prétendants à un poste de ministre, il n’est pas des moins « Macron-compatibles ». Il a gagné des fortunes dans le privé (comme avocat d’affaires). Il fait preuve d’une grande souplesse idéologique, au point qu’on ne sait même plus à quel parti il est affilié. Il a de l’énergie à revendre, un talent certain pour bousculer les administrations, une capacité à mettre autour de la table toutes sortes de gens et il n’a pas à rougir de ses réalisations municipales à Valenciennes, ni de ses actions ministérielles. Une loi, votée en 2003, porte son nom : elle a permis de raser des centaines de HLM pourris, d’en construire d’autres, de créer une Agence de rénovation urbaine (Anru)...


« Borloo fait chier tout le monde, mais il a raison »


Borloo a aussi la réputation d’être « ingérable ». Tout entier dévoré par ses « foucades », capable de jouer des tours pendables à ses plus fervents partisans, alternant des phases de frénésie et des périodes d’abattement. Fillon, dont il voulait la place à Matignon sous Sarkozy, l’a qualifié de « zozo ». Chez lui, disent ceux qui l’aiment comme ceux qui le détestent, on ne sait jamais ce qui l’emporte de l’émotif ou du stratège, du défenseur des classes populaires ou du conseil de Bernard Tapie (l’un de ses principaux clients pendant sa période « business »), du missionnaire électricien en Afrique ou du lobbyiste au service des multinationales de l’énergie. Bref, sa personnalité est, comme on dit en Macronie, on ne peut plus « disruptive ». Trop peut-être. Borloo ne se cache pas de fréquenter et d’apprécier l’écrivain Alexandre Jardin. Or, aux yeux du président nouvellement élu, le romancier à succès doublé d’un infatigable militant associatif – lutte contre l’illettrisme, promotion du livre et de la lecture – constitue le summum de la « zozoïtude ». On a peut-être oublié cet épisode de la campagne, essentiel pour comprendre ce qui va suivre, où l’écrivain s’est rapproché du candidat d’En marche ! avant de dire tout le mal qu’il pensait de lui. Été 2016, Macron invite Jardin à participer à un événement qui sera scruté sinon par la France entière au moins par tous les médias : le meeting de lancement de son tout nouveau parti, à la Mutualité. À l’époque, le ministre de l’économie, qui n’a pas encore rompu avec Hollande, mais dont les prétentions à l’Élysée ne sont plus un secret pour personne, cherche des soutiens et ne jure que par la « démarche participative ». Jardin, pense-t-il, qui fait partie de ses visiteurs du samedi après-midi à Bercy, ne peut que se rallier à lui. Contempteur du système politique français et de ses blocages, traumatisé par la montée du Front national (son grand-père, Jean Jardin, était le directeur de cabinet de Pierre Laval pendant la rafle du Vél’ d’Hiv’), Alexandre le malheureux a fondé un mouvement « collaboratif » dont le nom, les Zèbres, est inspiré de l’un de ses plus fameux romans – l’animal étant selon lui symbole de courage et de fantaisie – et qui vise à fédérer des « citoyens engagés » rebaptisés pour l’occasion les « faizeux » par opposition aux « dizeux » dont les belles paroles, dit Jardin, ne brassent que du vent. « Pourquoi suis-je ici, ce soir ? » lance-t-il à peine monté à la tribune de la Mutualité le 12 juillet 2016. Son hôte assis au premier rang savoure l’instant, sourire approbateur, regard confiant. « Pour me rallier à Emmanuel Macron ? poursuit Jardin. Non ! » Stupeur dans la salle. Le héros de la soirée, accompagné de son épouse Brigitte, rit nerveusement, puis son visage se fige : un zèbre fou est en train de détourner son meeting. L’écrivain aux allures d’ado attardé, refusant de rendre le micro à une pauvre animatrice qui tente de le faire taire, déroule un interminable laïus, exhortant les participants à le rejoindre, lui, Alexandre Jardin, dans une « nouvelle alliance » avec « ­Emmanuel Macron, bien sûr », mais aussi ­Nicolas Hulot et surtout « Jean-Louis Borloo, ce faizeux hors-norme, ce faizeux par nature, qui se bat contre tout le monde, qui fait chier tout le monde, mais qui a raison ». Inutile de dire, qu’à la suite de ce happening, l’impudent romancier – qui a fini par se lancer lui-même dans une vaine tentative de candidature à la présidence tout en étrillant Emmanuel Macron, « technocrate, banquier, nouveau visage du système » – deviendra persona non grata à l’Élysée dès la victoire du 14 mai 2017 proclamée. Son copain Jean-Louis qui, circonstance aggravante, parraine en juin un rassemblement des Zèbres, n’est pas plus en cour. Six mois plus tard, pourtant, Borloo revient par la fenêtre avec, si l’on peut dire, Jardin dans les parages.








Automne 2017. Une fronde sans précédent agite les villes et les campagnes : celle des maires, présidents de régions ou de départements, de toutes couleurs politiques, ulcérés par les 13 milliards d’euros d’économie (et non plus 10 milliards comme annoncé avant la présidentielle) que le gouvernement veut imposer aux collectivités locales. C’est la jacquerie du « vieux monde », juge l’Élysée, celle des accros aux mandats électifs, cumulards, « clientélistes », « assoiffés de subventions ». « Des médiocres », dit souvent Emmanuel Macron, qui tire une certaine fierté de ne s’être frotté au suffrage universel que pour la plus haute des fonctions. N’empêche, le Château est inquiet. Certains rebelles menacent de décrocher, de leurs mairies, les portraits du nouveau président. D’autres envisagent d’entamer une grève de la faim ou de vendre des bâtiments publics sur Le Bon Coin. À la pointe du mouvement, les élus de banlieues et les associations des zones les plus sinistrées par le chômage. La baisse drastique des emplois aidés – subventionnés par l’État – qui, disent-ils, ont jusqu’ici peu ou prou contenu la colère sociale, met leurs communes « au bord de l’épuisement ». Le 1er août, ils écrivent au président de la République. Pas de réponse. Une semaine plus tard, ils proclament l’« état d’urgence » dans Le Journal du dimanche. ­Borloo a lu leur tribune avant parution. Il connaît bien le rédacteur du texte, un ancien joueur, puis entraîneur de football amateur, Jean-Philippe Acensi qui, après avoir longtemps été éducateur à Longjumeau dans l’Essonne, dirige l’Agence pour l’éducation par le sport, un réseau de mille clubs préparant des jeunes sans diplômes au monde du travail. Acensi préside aussi aux destinées... des Zèbres. Alexandre Jardin lui a confié les rênes du mouvement dont lui-même reste le plus célèbre adhérent.


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MessageSujet: Re: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeLun 4 Avr - 16:15

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NICOLAS BAYS ...ANCIEN DEPUTE PS DU PAS DE CALAIS PASSE CHEZ LREM POUR UNE MEILLEURE GAMELLE 


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Le député  PS Nicolas Bays accusé d’avoir réclamé de l’argent et des avantages en nature au Qatar
Au terme d’une enquête de deux ans, les journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot ont publié un livre, « Nos très chers émirs », décryptant les relations entre la France et le Qatar. Ils accusent plusieurs élus de la République française d’avoir tenté de soutirer de l’argent ou des avantages en nature à l’ambassade du Qatar. Parmi les élus mis en cause, le député socialiste du Pas-de-Calais Nicolas Bays.
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MessageSujet: PAM   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeLun 4 Avr - 15:30

LES TRAITRES en politique



Charles de Gaulle et Georges Pompidou face à l'affaire Marković
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Les Faits. On retrouve à l'automne 1968, quelques mois après les événements de mai, un cadavre dans une décharge des Yvelines. Ce cadavre est celui d'un proche d'Alain Delon, qui passait pour son garde du corps : Stevan Marković, un Yougoslave vivant à Paris. À partir de l'enquête criminelle éclate un double scandale, parce que l'on soupçonne d'abord Alain Delon d'y être impliqué, mais aussi parce qu'une rumeur s'empare de Paris, puis bientôt de la France entière à travers la presse, soutenant que Stephan Marković prenait des photos lors de soirées libertines auxquelles participaient des personnalités politiques. Le nom de Claude Pompidou, l'épouse de Geroges Pompidou, qui vient de quitter Matignon, est cité. Georges Pompidou, déjà limogé par Charles de Gaulle après 1968, se sent humilié. Il espère être défendu par le pouvoir gaulliste. Non seulement il ne l'est pas, mais il découvre que toute cette affaire lui a un temps été cachée : les barons gaullistes s'en sont servi pour comploter contre lui et aggraver sa disgrâce.
JE SUIS UN TRAITRE ET JE CHANGE DE CAMP

Jacques Chirac et Edouard Balladur, le pacte brisé

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Les faits. Après la victoire de la droite aux législatives de 1993, Edouard Balladur est proposé par son camp pour devenir le chef de gouvernement de François Mitterrand. Ainsi s'ouvre la deuxième cohabitation. Il est convenu que Jacques Chirac, qui a déjà été le Premier ministre du socialiste entre 1986 et 1988, se consacre à la direction du RPR en vue de présenter sa candidature à la présidentielle de 1995. Mais Edouard Balladur, estimant que ses idées son plus aptes à répondre aux angoisses du pays, annonce finalement sa propre candidature à la magistrature suprême en janvier 1995. D'abord lâché dans les sondages, Jacques Chirac réussit pourtant, au fil des mois, à inverser la vapeur jusqu'à se qualifier pour le second tour face à Lionel Jospin, et à s'imposer sur la ligne d'arrivée

JE SUIS UN TRAITRE ET JE CHANGE DE CAMP

Ségolène Royal et François Hollande, une trahison "à la Shakespeare"

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Les faits. En novembre 2006, Ségolène Royal est désignée dès le premier tour d'une primaire, face à Dominique Strauss-Kahn et Laurent Fabius, comme candidate officielle du Parti socialiste pour l’élection présidentielle de 2007. Mais très vite, sa campagne prend des allures de chemin de croix. Sa candidature est critiquée jusqu'au sein de sa propre famille politique, et la voix des ténors socialistes devient rapidement inaudible lorsqu'il s'agit de la défendre. Ségolène Royal est finalement battue au second tour, le 6 mai 2007, par Nicolas Sarkozy. Sa rupture avec François Hollande, alors Premier secrétaire du parti, est annoncée le soir même.
Quatre ans plus tard, elle retente sa chance lors de la primaire de 2011, en vue de l'élection présidentielle de 2012. Pendant la campagne, Ségolène Royal n’hésite pas a critiquer "l’inaction" de François Hollande, qui remporte pourtant l'investiture quand elle est contrainte de s'incliner dès le premier tour, sans même dépasser les 7%.
....
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Chirac-Sarkozy, le parrain trahi et l’héritier rebelle

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« Je sais désormais à quoi m’en tenir. » Telle est la formule sans appel avec laquelle, au soir de sa vie, Jacques Chirac clôt trois décennies de compagnonnage tumultueux avec Nicolas Sarkozy.
Chirac-Sarkozy, c’est l’une de ces aventures humaines dont raffole la droite française, une histoire de coups bas et de tapes dans le dos, de ruptures et de réconciliations, de petites mesquineries et de grands pardons, bref, la tumultueuse saga d’une filiation qui a viré à la trahison. Les deux hommes se sont croisés pour la première fois en 1975, à Nice, lors des assises de l’UDR organisées cette année-là sur la Côte d’Azur. Ils se sont quittés trente-deux ans plus tard, en mai 2007, sur le g
ravier de l’Élysée, lorsque l’héritier putatif devenu renégat succéda au pouvoir suprême à son aîné. 


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Dernière édition par ACARIE le Jeu 7 Avr - 9:13, édité 1 fois
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MessageSujet: JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC   JE TRAHIS TOUT LE MONDE POUR DU FRIC Icon_minitimeLun 4 Avr - 9:45

Qui sont les plus grands traîtres politiques de la Ve République ?
par Julien Rebucci
Mis à jour le 16 mars 2021 à 20h26



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Le Président de la République François Mitterrand assiste à la finale de la coupe de France de football PSG / Saint-Etienne, aux côtés du maire de Paris Jacques Chirac, le 15 mai 1982 au Parc des Princes à Paris. (AFP PHOTO)



Faut-il trahir pour accéder au pouvoir ? A la lecture de « La République des traîtres », le réponse est clairement oui.
De l’assassinat de Jules César par Brutus en 44 avant JC à Ganelon qui ourdit le piège dans lequel tomba l’arrière-garde de Charlemagne à Roncevaux en 778, la trahison fait partie intégrante de la grande histoire. Douze siècles plus tard, rien n’a vraiment changé comme le décrit le livre La République des traîtres, de 1958 à nos jours. Sous la direction de l’historien spécialiste de l’histoire politique Jean Garrigues, sept éditorialistes politiques entreprennent de nous enseigner, par l’exemple, la conquête du pouvoir. Avec, en préambule, cette mise en garde à la fois terrible et lucide : Sous la Ve République, celui qui aspire à devenir président est presque condamné à trahir un jour pour accéder à ce trône unique, tant convoité. »

« Le général est mort »


Les premiers chapitres du livre sont consacrés aux trahisons successives au sein de la droite gaulliste. La première identifiée est l’œuvre de Georges Pompidou sur le général De Gaulle en personne. Ébranlé après l’élection présidentielle de 1965 (où il est contraint à un second tour face à François Mitterrand), touché par les événements de Mai 68 (et sa fuite à Baden Baden), le père de la France libre est contraint à la démission après le « non » des Français à son référendum de 1969 concernant « le projet de loi relatif à la création de régions et à la rénovation du Sénat ». Si les livres d’histoires contemporaines ne font pas l’impasse sur ces événements majeurs, ils omettent de les corréler aux déclarations de l’époque de Georges Pompidou. Au pic des événements de Mai, le Premier ministre de l’époque lâche notamment à son ministre de l’intérieur Louis Joxe : « Le général est mort ! De Gaulle n’existe plus. »

Quand une trahison en entraîne une autre
Cette trahison originelle sert en quelque sorte de point de départ : élu en 1969, Georges Pompidou ne préside que cinq ans, emporté par la maladie en 1974. Ses obsèques ont lieu au mois d’avril mais Jacques Chaban-Delmas annonce maladroitement sa candidature alors même que le président n’est pas encore enterré. Est-ce cette marque d’indélicatesse qui précipite alors la décision de Jacques Chirac d’enclencher le fameux « Appel des 43 » ? Condamné à l’échec, Chirac se lance à la présidentielle, pour saborder Chaban-Delmas. « Cet appel des 43 restera durant des années pour Chirac comme le sang sur les mains de Lady Macbeth », écrit à ce son propos la journaliste Christine Clerc. Résultat : Valéry Giscard d’Estaing est élu face à François Mitterrand ; quant à Chirac, il s’installe à Matignon.

« Faut-il réduire la trahison politique au parricide ou à la volonté de prendre la place de son mentor ? », fait mine de s’interroger Jean Garrigues en épilogue d’un livre plaisant à lire, tant il est bien documenté. Un bémol tout de même : les 280 pages très justement noircies par Hervé Gattegno, Christophe Barbier, Michèle Cotta ou Catherine Nay ne risquent pas de réconcilier les déçus de la politique, tant la tactique politicienne (plus que les convictions) semble guider cette course effrénée vers la plus haute marche du pouvoir. « On s’est aperçu au fil des pages de ce livre que la plupart des prétendues ‘trahisons’, dénoncées comme telles, n’étaient que les effets naturels de la ‘compétition' », complète Jean Garrigues.
D’ailleurs, Jacques Chirac ne s’arrêta pas à Chaban-Delmas. A l’élection présidentielle de 1981, affaibli politiquement dans son propre camp, il juge  que son salut n’interviendra qu’en devenant le candidat de l’alternance. Alors, à la veille du second tour entre Valéry Giscard d’Estaing et François Mitterrand, bien qu’il se rallie au président sortant, il fait en sorte qu’une circulaire soit envoyée aux « chers compagnons » par un ancien ministre gaulliste de gauche (Philippe Dechartre) pour les inciter à voter « contre M. Giscard d’Estaing, qui a voté ‘non’ au référendum du Général. » Il dîne même avec François Mitterrand, aux côtés de la socialiste Edith Cresson, quelques jours avant le scrutin. Christine Clerc se souvient: « Vingt ans plus tard (…), l’ancien président (VGE, ndlr) racontera comment François Mitterrand lui-même relata, un mois avant sa mort, la scène du fameux dîner des complices : ‘Quand nous sommes entrés dans la salle à manger, Chirac m’a dit : « Il faut nous débarrasser de Giscard. »‘ En 1995 alors au plus bas dans les sondages, Chirac sera trahi à son tour par ses plus fidèles amis partis rallier Édouard Balladur dont Nicolas Sarkozy.

On trahit autant à droite qu’à gauche

Il ne faudrait pas croire que la trahison soit l’apanage de la droite française. Le livre détaille en effet la conquête minutieuse et scrupuleuse du pouvoir par François Mitterrand. Même s’il est plus question de stratégie que de trahison à proprement parler. Comme l’introduit Christophe Barbier : « Mitterrand s’estime trop supérieur pour trahir. En effet, trahir, c’est avouer qu’on est moins intelligent que l’adversaire – cas de figure assez rare dans la carrière de Mitterrand. » Le président socialiste, de 1981 à 1995 apparaît comme l’un des politiciens les plus rusés de la Ve République.

Son hégémonie sur la gauche française et sur la pouvoir politique français en général est remarquablement détaillé en trois étapes : le congrès de Metz en 1979 qualifié « d’Austerlitz de Mitterrand » où il se débarrasse de Michel Rocard ; le congrès de Rennes en 1990 où il matte la rébellion des futurs « éléphants » du PS et enfin l’université d’été de La Rochelle, moment le plus douloureux où l’humain rencontre le politique. Déjà condamné par la maladie et acculée par la sortie du livre Une jeunesse française de Pierre Péan mettant en lumière ses amitiés avec des membres du régime de Vichy comme René Bousquet, il va mettre en scène sa double vie avec Anne et Mazarine Pingeot pour renverser l’opinion publique. « En quelques jours, l’opinion ne voit plus en lui que le papa gâteau, l’homme privé à la fois malade et aimant, mourant et aux multiples vies », relate Christophe Barbier.

« La trahison relève tout simplement du registre de l’émancipation »

Les autres partis ne sont pas en reste : comme le suggère Jean Garrigues : « On pourrait considérer que la trahison relève tout simplement du registre de l’émancipation ».Pour illustrer, comment ne pas citer l’exemple du Front national : un parti fondé sur une trahison de son cofondateur Jean-Marie Le Pen à l’égard des dirigeants d’Ordre Nouveau venus le trouver, comme le rappelle Renaud Dély, qui sera victime, 40 ans plus tard, d’un parricide commis par sa fille Marine Le Pen. Les exemples sont tout aussi nombreux autour du parti centriste de l’UDF, devenu plus tard MoDem et bousculé par les dissidences venues tantôt du Nouveau Centre et tantôt de l’UDI. Sans oublier aussi la relation de trente ans entre Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, ou celle, bien plus explosive, entre Ségolène Royal et François Hollande, le dernier des trahis en date, par l’un de ses protégés, Emmanuel Macron.
Tous ces exemples font conclure Jean Garrigues de manière lucide : « Qu’elle soit parricide ou adultère, qu’elle soit de succession, de compétition, d’émancipation ou d’ambition, et le plus souvent tout à la fois, la trahison est donc le fil conducteur de la vie politique sous la Ve République parce qu’elle est un marchepied indispensable pour l’ascension vers les hauteurs élyséennes. » D’autant que, comme le dit l’adage : « Sur le chemin de la trahison, il n’y a que le fleuve de la honte à traverser. »

Jean Garrigues, La République des traîtres, de 1958 à nos jours, Édition Tallandier, 2018.


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