| | | INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... |  |
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ACARIE
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| Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ...  Ven 1 Déc - 9:25 | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Ven 17 Nov - 11:19 | |
|  Coût des inondations, villes les plus touchées, tout savoir sur les inondations dans le Béthunois-Bruaysis depuis 1982Après la période de l’action de ces derniers jours, voici le temps de la prise de recul sur le sujet des inondations qui touchent les environs de Béthune et Bruay-La-Buissière. Un risque qui sera accru avec le réchauffement climatique et qui a déjà un coût non négligeable pour les collectivités.
Le site internet de l’Observatoire national des risques naturels est une mine d’informations, notamment pour les épisodes d’inondations. Pour toutes les villes de France, et donc celles de l’agglomération de Béthune-Bruay, on trouve quatre indicateurs qui méritent de s’y attarder. Tour d’horizon en quatre chiffres.
[size=78]6 villes ont obtenu onze ou plus reconnaissances de catastrophes naturelles au titre d’inondations sur la période 1982 – mars 2023 : Divion, Fouquereuil, Houdain, Labeuvrière, Lillers et Robecq.À l’échelle nationale, ce sont seulement 2 % des communes qui sont dans le même cas. Sur l’agglomération de Béthune-Bruay (plus Lestrem), c’est 6 % de l’ensemble des communes qui sont donc concernées.[size=78]3[/size] communes de l’agglo ont connu des inondations (1995-2019) qui ont un coût moyen de 20 000 € et plus : Calonne-Ricouart, Marles-les-Mines et Linghem. Quand elles sont touchées, ces trois villes le sont donc fortement.On peut y ajouter douze autres communes (Allouagne, Bruay, Cambrin, Beugin, Fouquières-lès-Béthune, etc.) dont les inondations font en moyenne des dégâts entre 10 000 et 20 000 €.[size=78]5[/size] communes ont un coût cumulé des sinistres inondations, entre 1995 et 2019, qui revient entre 1 000 et 10 000 € par habitant : Allouagne, Bajus, Hermin, Linghem et Rombly. Les plus touchées, par habitant, dans l’agglomération.Un chiffre à rapporter par exemple 8 M € que rapporte par an la taxe GEMAPI à l’agglo. Soit un peu moins de 30 € par an et par habitant afin de lutter contre les inondations. [size=78]4[/size] villes de l’agglo (Billy-Berclau, Richebourg, Vaudricourt et Westrehem) n’ont pas eu de sinistres ou de risque répertorié entre 1995 et 2019. Ce qui ne représente que 4 % des communes à l’échelle de l’agglomération contre 51 % (!) à l’échelle de la France.À l’opposé, il y a 30 communes qui sont concernées par une fréquence de sinistre – le rapport entre le nombre de sinistres et le nombre de risques assurés – élevé (plus de 5 pour 1000), soit 30 % contre 3 % à l’échelle nationale. Une donnée qui paraît un peu absconse, mais qui peut avoir un effet sur le coût des assurances. Ce qui est beaucoup plus concret. [/size] Voix deEnclencher un cercle vertueuxLe vice-président de l’agglomération de Béthune-Bruay Raymond Gaquère le dit assez bien et simplement : « On a oublié la nature, les cours d’eau. On le paie à l’heure actuelle ». Une facture déjà bien salée quand on regarde les chiffres de l’Observatoire national des risques naturels. Et qui sera de plus en plus importante, si rien n’est fait rapidement pour réduire les effets du réchauffement climatique. Une fois que l’on a dit cela, qu’est-ce que l’on fait ? M. Gaquère parle de ces habitudes à changer notamment dans le monde agricole pour replanter des haies et ainsi permettre une meilleure infiltration des eaux. C’est peut-être le moment de revoir les attributions de la Politique agricole commune (PAC) en France qui a longtemps favorisé les "gros". En aidant plutôt les agriculteurs qui protègent la biodiversité grâce, entre autres, à des haies, on diminuera d’autant le coût de futures inondations. C’est ce que l’on appelle un cercle vertueux.+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++Je suis très , très étonné des chiffres donnés par ces 3 cartes ...ca demande des explications | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Mar 14 Nov - 8:11 | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Jeu 9 Nov - 18:01 | |
|  Inondations: meubles surélevés, batardeaux et cellule de crise, le Béthunois en alerteL’alerte rouge pluies inondations a été déclenchée pour le Pas-de-Calais ce jeudi, à 14 heures, tandis que le bassin de la Lawe et de la Canche est en alerte orange depuis 10 heures. Le maire de Saint-Venant André Flajolet prend déjà des dispositions à l’heure où une cellule de crise est activée dans les bureaux de l’agglomération. L’eau du canal a baissé d’une vingtaine de centimètres cette nuit car de l’eau a été rejetée dans la Lys rivière à Aire-sur-la-Lys. Mais il pourrait à nouveau se remplir durant la nuit.Par Reynald ClouetPublié:9 Novembre 2023 à 17h15Des pluies intermittentes mais très soutenues arrosent le Béthunois et le Lillérois ce jeudi alors que les champs sont saturés et les fossés bien remplis dans le secteur de Busnes et Saint-Venant notamment. À Busnes, les champs sont saturés et les fossés sont remplis. Ils commencent à déborder dans certains secteurs à Saint-Venant.Le niveau du canal à grand gabarit d’Aire à La Bassée a dépassé la cote d’alerte. La navigation fluviale y est interrompue. Une partie de l’eau du canal a été pompée dans la nuit pour être rejetée dans la Lys, qui se jette en Belgique. Christophe Blanckaert, dont l’exploitation agricole jouxte le canal à Busnes, en a été le témoin. « Je surveille le niveau du canal. C’est la première chose que je fais le matin en me levant. Ce jeudi matin, le niveau a baissé de vingt centimètres. » André Flajolet a provoqué une réunion de crise ce jeudi à 16 heures. Les services techniques sont sur le qui-vive et les habitants de certaines rues exposées ont été appelés à faire preuve de la plus grande vigilance.Des rondes tous les soirsEt c’est bien tout le problème pour André Flajolet, maire de Saint-Venant, qui constate que cette eau pompée à Aire-sur-la-Lys arrive chez lui. « Je suis très attentif à l’évolution de la situation. J’ai pris des arrêtés municipaux pour baliser certaines routes. Nous faisons des rondes tous les soirs depuis plusieurs jours pour voir comment se comportent la rivière et les cours d’eau. » L’élu redoute des inondations ce vendredi rue d’Aire et du Bas-Hamel. Les riverains ont été prévenus. Des balisages sont en cours. Il envisageait ce jeudi après-midi de solliciter la gendarmerie pour effectuer des rondes.Sous haute surveillanceDu côté des autorités, la situation est sous haute surveillance. Une cellule de crise s’est réunie ce jeudi, à 9 heures, dans les locaux de la CABBALR à Lillers. Une deuxième réunion de suivi est programmée à 16 h 30. Y participent des représentants de l’État, de l’agglomération, des élus et des services techniques des communes exposées, dont Saint-Venant.Plus grande vigilanceDu côté de l’agglomération Béthune-Bruay, le président Olivier Gacquerre exprime sa solidarité envers les victimes du Boulonnais, du Montreuillois et de l’Audomarois et invite à la plus grande vigilance. « Concernant la commune de Béthune et plus largement le bassin versant, les élus et les techniciens sont en lien avec les services de l’État. Nous sommes en situation d’alerte et de surveillance. Nous préviendrons au fur et à mesure de l’évolution de la situation mais appelons chacun à la plus grande vigilance, la situation étant périlleuse. L’évolution des pluies sera un élément déterminant. »Mettre à l’abri objets et mobiliersÀ Calonne-Ricouart, le niveau de la Clarence pourrait atteindre la cote de 2,5 mètres. La municipalité invite la population « à mettre à l’abri les objets et mobiliers susceptibles d’être inondés ou emportés par l’eau. Les services communaux vérifient actuellement qu’aucun obstacle n’empêche le bon écoulement de la rivière. »Mise en place de batardeauxÀ À Bruay, des batardeaux ont été posés par des agents de la ville dans le prolongement de la rue Lamendin.Bruay, les agents de la ville vont procéder à la mise en place des batardeaux. Afin de limiter les risques, la rue Arthur-Lamendin sera barrée dès 16 h ce jeudi 9 novembre.. | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Ven 1 Sep - 10:55 | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Sam 5 Aoû - 12:18 | |
|  Béthune - Bruay: le désherbage de la Lawe se poursuit... la discussion avec l’État aussiC’est un vrai dilemme : d’un côté, lutter contre les risques d’inondations, et de l’autre préserver les frayères pour la reproduction des poissons et des batraciens. Au milieu, l’agglo de Béthune - Bruay poursuit son dialogue avec l’Etat pour assouplir les règles de faucardage l’an prochain Ici à Locon, chaque gros orage provoque une montée des eaux... et de tension pour les riverains de la Lawe!Par Isabelle MastinPublié:4 Août 2023 En juin, Raymond Gaquère poussait un coup de gueule contre l’Etat et lançait en urgence le faucardage (le désherbage) de la Lawe par Busnes, puis Guarbecque en allant vers Beuvry et Verquigneul. Il l’assurait : « En cas d’orage, on sera pris. » L’orage avait bien éclaté, l’eau était montée mais il reste convaincu que cela aurait été pire si le faucardage de ce gros affluent de la Lys n’avait débuté. Le vice-président de la CABBALR en charge de l’assainissement, de l’hydraulique et de la lutte contre les inondations, se disait fatigué d’être pris entre le marteau et l’enclume : la règle exige, au risque d’une amende, un aval du préfet avant tout faucardage, autorisé du 15 juin au 15 juillet certes... mais sur le milieu du lit de la rivière pour ne pas gêner les frayères le long des berges, et seulement plus largement après le 15 juillet.Le recrutement de huit personnes a été lancé pour arriver à un effectif de 25 personnes, permis par le lever de la taxe GEMAPI.
Problème, soupire l’élu : la réponse peut mettre plusieurs semaines à tomber, et en cas d’inondations c’est aux élus locaux que les habitants demandent des comptes. Et depuis ? Sur un fond qu’on devine apaisé, « le faucardage a été fait là où c’était nécessaire », assure Raymond Gaquère, là où le risque de débordement des cours d’eau était le plus élevé. Des points ciblés mais pas faciles d’accès pour ces bateaux à lame. « La difficulté, c’est qu’il faut un bateau plus petit, que parfois il y a trop de retenues... »« Un sacré chantier »Par delà ces points cruciaux, le faucardage est loin d’être fini. Reste à reprendre les opérations pour l’étendre aux 41 km de la Lawe. Le calendrier va se mettre doucement en place, la préfecture en est avisée... Mais ce n’est pas simple. « Il faut coordonner l’ensemble. Avant, dans les communes, chacun faisait comme il voulait – et le faisait bien. » Mais l’agglo, dans ses plans de lutte contre les inondations (bassins de rétention, PAPI...) veut harmoniser les pratiques. Depuis juin, il a bouclé son tour des communes concernées, et lancé un recrutement de huit personnes pour arriver à un effectif idéal de 25 personnes permis par la levée de la taxe GEMAPI. « C’est un nouveau défi, on ne connaissait pas le territoire, c’est fait et il faut organiser les équipes. Et même avec nos équipes il faut faire appel à des entreprises : notre territoire est un des plus vastes. C’est un sacré chantier ! »Et puis, « on va bientôt se réunir avec le préfet et le procureur. Le préfet a compris ce que je souhaitais. » Une certaine souplesse pour l’an prochain afin de mener à bien les opérations sur le terrain. « On doit apprendre à se connaître. On ne travaille pas les uns contre les autres. »++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++Quant on apprend que les élus ne connaissent pas le territoire  Qu' il y a un problème d'organisation des équipes ... On se moque de qui ??????????????????????? | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Jeu 22 Juin - 18:52 | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Jeu 22 Juin - 8:28 | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Jeu 22 Juin - 8:14 | |
| ENFIN ...Raymond Gaquere retrouve ses cou..... ! https://journal.lavoix.com/lavoixdunord#VDN/VDN/web,2023-06-22,19BETHUNE|VDN,2023-06-22,19BETHUNE,1|10 La Lawe monte : le désherbage est lancé, l’agglo n’attendra pas l’avis du préfet PAR ISABELLE MASTINbethune@lavoixdunord.fr La Lawe avant la pluie: déjà bien haut, le lit du cours d’eau est envahi par les herbes. Puis la Lawe après l’orage. 
Dernière édition par ACARIE le Jeu 22 Juin - 8:39, édité 1 fois | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Mar 20 Juin - 21:11 | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Dim 18 Juin - 13:16 | |
| Faucardage ok il y a un soucis et l'entretien des berges ? rejets des particuliers ? rien n'avance entre Béthune et Vieille chapelle sauf l'urbanisation.
Il ne fait pas bon être une rivière déclassée, on ne ressort dans aucune priorité au SAGE.
Au passage chapeau pour refaire un doc pendant 5ans pour un outil qui a tourné 5 ans, résultat des cartes de 2016 voir 2013 : ce n'est pas opérationnel comme outil. |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Ven 16 Juin - 8:11 | |
| A QUOI SERVENT TOUTES CES ORGANISATIONS si elles sont incapables de rendre service a la population ? Actuellement la LAWE est prête a déborder au premier orage .Le faucardage n 'est pas fait et les élus de Locon se disent impuissants ...Que fait RAYMOND GACQUERRE Vice president de la CABBALR et president du "papi'' ? Que fait OLIVIER GAQUERRE président de la CABBALR ? Pourtant nous payons une taxe pour éviter les inondations ...la fameuse taxe GEMEPI: Taxe Gemapi : pourquoi elle apparaît sur votre avis de taxe foncière
[size=11]La RédactionJDN
[/size]  TAXE GEMAPI. Egalement appelée taxe inondation, la taxe Gemapi est un impôt local facultatif. Elle permet aux collectivités locales de financer la prévention des risques d'inondation. La facture sera très salée pour les propriétaires immobiliers cette année. Outre la hausse de la taxe foncière, résultant de la hausse des taux votés par les communes et de la revalorisation des bases locatives cadastrales, certains contribuables vont avoir une mauvaise surprise en consultant leur avis d'impôt de taxe foncière. En effet, certaines communes prélèvent une taxe dite Gemapi, également connue sous le nom de "taxe inondation". Facultatif, cet impôt local s'applique aux personnes redevables de la taxe foncière, de la taxe d'habitation et de la cotisation foncière des entreprises, dans les communes qui le mettent en place. Instaurée en 2018, cette taxe est destinée à financer les dépenses liées à la gestion des cours d'eau et aux risques de crue. Plus de 16 000 communes prélèvent la taxe Gemapi. Or, de plus en plus de communes la mettent en place en raison des aléas climatiques. C'est le cas de Toulouse Métropole cette année. Au total, ce sont donc les habitants des 37 communes du groupement qui sont concernés. Pour rappel, le plafond maximal de la taxe Gemapi est fixé à 40 euros par habitant. Plus récemment, la Métropole du Grand Paris a fait savoir que la taxe Gemapi pourrait bel et bien être multipliée par dix afin d'indemniser les agriculteurs victimes des récentes inondations, rapporte Le Parisien. A titre indicatif, les contribuables franciliens s'acquittent en moyenne d'une taxe inondation de 0,76 euro. Outre l'augmentation des dépenses en lien avec les inondations, résultant du changement climatique, les collectivités territoriales font face à un problème de taille : la baisse de leurs recettes et la hausse de leurs dépenses. Celles-ci s'expliquent notamment par la disparition de la taxe d'habitation sur la résidence principale en 2023, tandis que la crise énergétique provoque une hausse des coûts. Il n'est donc pas à exclure que la taxe inondation apparaissent de plus en plus sur les avis d'impôts locaux dans les années à venir. Locataire ou propriétaire, qui doit s'acquitter de la taxe Gemapi ?La taxe Gemapi s'applique aux contribuables qui sont déjà redevables de certains impôts locaux : la taxe foncière, la taxe d'habitation et la cotisation foncière des entreprises. De facto, la taxe Gemapi concerne les propriétaires. A noter : la taxe d'habitation, portant sur la résidence principale, est vouée à disparaître définitivement à compter de 2023.Les locataires peuvent donc échapper à la taxe d'habitation en 2022, à condition que leur revenu fiscal de référence ne dépasse pas un certain seuil. A compter de 2023, ils n'en seront plus redevables. Le paiement intervient en même temps que la taxe foncière ou la taxe d'habitation, en fonction de votre situation, donc à l'automne. Qui bénéficie d'une exonération de la taxe Gemapi ?Le droit fiscal consent à une exonération de la taxe Gemapi aux organismes HLM, aux sociétés d'économie mixte et à leurs locataires. Si vous résidez en HLM, et que votre commune prélève la taxe inondation, vous bénéficiez donc d'une exonération. Comment la taxe Geampi est-elle calculée ?Le produit de la taxe Gemapi est arrêté avant le 1er octobre chaque année, pour l'année suivante, par la collectivité locale. Cette dernière établit une projection des dépenses à effectuer en matière de gestion des cours d'eau et de prévention des crues, pour déterminer le montant à prélever. La loi MAPTAM a fixé un montant plafond de 40 euros par an et par habitant pour la taxe Gemapi. Ce seuil pourrait toutefois être dépassé dans les années à venir, compte tenu de la disparition de la taxe d'habitation en 2023, note le Parisien. Le quotidien francilien rappelle qu'un article de la loi 3DS prévoit la mise en place d'un prélèvement additionnel pour la prévention des inondations. Une expérimentation doit durer cinq ans, à compter de 2023. AQUOI SERT LE SYMSAGEL ?Le SYMSAGEL (SYndicat Mixte pour le Schéma d'Aménagement et de Gestion des Eaux de la Lys)
L’EPTB-Lys (SYMSAGEL) Pendant de la Commission Locale de l’Eau (CLE), le Syndicat Mixte pour le SAGE de la Lys (SYMSAGEL) est l’outil opérationnel du SAGE. A ce titre, il dispose de la capacité juridique qui fait défaut à la CLE, ce qui lui permet de se doter d’un budget, de moyens en personnel et d’assurer la maîtrise d’ouvrage des études du SAGE. Il a été créé par arrêté préfectoral du 22 Décembre 2000 et ses statuts ont été actualisés par arrêtés inter préfectoraux intervenus les 29 Décembre 2006, 16 avril 2009 et 5 Octobre 2010 pour tenir compte de l’évolution de ses missions ainsi que de la transformation ou de la disparition des Etablissements Publics de Coopération Intercommunale (EPCI) qui le composaient. Par arrêté préfectoral du 28 Décembre 2009, le SYMSAGEL a été reconnu en qualité d' Etablissement Public Territorial de Bassin devenant ainsi l’EPTB-Lys. Ce label lui confère notamment la légitimité requise par l’article L213-2 du Code de l’Environnement pour organiser en son nom propre et à l’échelle du bassin hydrographique de la Lys, la prévention des inondations, la gestion équilibrée de la ressource en eau ainsi que la préservation et la gestion des zones humides. L’objet du SYMSAGEL Les statuts du SYMSAGEL stipulent que le Syndicat Mixte a pour objet de mener à bien : - les études nécessaires à l’élaboration du SAGE de la Lys ;
- l’aide à la diffusion et à la sensibilisation des enjeux du SAGE par des actions d’information et de communication appropriées ;
- la coordination et le suivi du programme pluriannuel élaboré en liaison avec la CLE pour atteindre les objectifs du SAGE ;
- par délégation des communes ou EPCI qui l’auront expressément demandé par délibération et après accord du Comité Syndical, le portage financier et/ou technique ainsi que la réalisation proprement dite des actions inscrites au programme pluriannuel dont le SYMSAGEL n’assure pas directement la maîtrise d’ouvrage ;
- la mise en œuvre du document SAGE (actualisation, coordination et suivi du programme d’actions, des mesures et des préconisations du document, instruction des avis consultatifs demandés à la CLE du SAGE, organisation et mise en œuvre d’un système de surveillance de crues sur le territoire du SAGE, relations inter-SAGE…) ;
Son ressort territorialIl s'agit du bassin versant de la Lys. Le SYMSAGEL regroupe donc, à travers 15 Etablissements Publics de Coopération Intercommunale et 1 commune isolée, les 225 communes du bassin versant de la Lys (175 du Pas-de-Calais et 50 du Nord). Pour voir la liste, cliquez ici. Sa superficie totale est de 1 837 km² et sa population de 550 000 habitants.A QUOI SERT LE SAGE ?La révision du Schéma d'Aménagement et de Gestion des Eaux de la Lys a été approuvée par arrêté inter-préfectoral le 20 septembre 2019. Le SAGE du 20 septembre 2019 remplace le SAGE du 6 août 2010. mot de passe : sage
Le SAGE est un document de planification dans le domaine de l'eauProcédure d’élaborationTrois étapes constituent la mise en place d’un SAGE :- la phase d’émergence (arrêtés de périmètre et de composition de la Commission Locale de l’Eau).
Le périmètre du SAGE de la Lys est fixé par arrêté interpréfectoral du 29 mai 1995. La composition de la Commission Locale de l’Eau est définie par arrêté interpréfectoral du 10 janvier 1996 et renouvelée le 21 mars 2002.
Le SYMSAGEL est créé par arrêté interpréfectoral du 22 décembre 2000.
- la phase d’élaboration (réalisation du Plan d’Aménagement et de Gestion Durable de la ressource en eau et du Règlement du SAGE).
La clôture de la phase d’élaboration et l’adoption du règlement du S.A.G.E. avant consultation ont lieu le 3 mars 2008. Le S.A.G.E. de la Lys est approuvé par arrêté inter-préfectoral du 6 août 2010.
- la phase de mise en œuvre.
- la révision : le SAGE a été révisé par arrêté inter-préfectoral du 20 septembre 2019.
Présentation du bassin versant de la Lys (périmètre du SAGE)
Le périmètre du SAGE de la Lys regroupe 225 communes réparties en 30 cantons et dont 175 sont situées dans le Pas-de-Calais et 50 dans le Nord. Jusqu’à sa confluence avec la Deûle, le bassin versant de la Lys occupe une superficie de 1 834 km2.
Un territoire vaste aux usages nombreuxLes usages de l’eau sont nombreux et variés. Qu’ils relèvent de l’alimentation en eau potable, industrielle, agricole ou encore des pratiques de loisir, les usages liés à l’eau, engendrent des exigences en termes de qualité, de disponibilité et de préservation des milieux. Il apparaît ainsi nécessaire de préserver la ressource tout en veillant à minimiser les possibles conflits d’usages.Le bassin versant de la Lys se compose à la fois de territoires ruraux à faible densité de population (vallée de la Lys rivière) et de territoires très urbanisés (ex-bassin minier). Le territoire du S.A.G.E. compte 4 communes de plus de 20 000 habitants (Béthune, Armentières, Bruay la Buissière et Hazebrouck).Le principal usage de la ressource souterraine est l’Alimentation en eau potable. L’usine de potabilisation de Moulin-le-Comte constitue le seul prélèvement en eau de surface destiné à l’Alimentation en eau potable.Les régions agricoles du Béthunois, du Pays d'Aire et de la Plaine de la Lys sont entièrement intégrées dans le périmètre du S.A.G.E. de la Lys. Le territoire compte également pour partie 5 autres régions agricoles (Haut pays d'Artois, Ternois, Artois, région de Lille, Flandre intérieure). L’élevage est dominant dans le Haut Pays et le Ternois alors que le Pays d’Aire, la Plaine de la Lys et la Flandre Intérieure sont, traditionnellement, des zones de polyculture élevage. La filière légumes, céréales et cultures industrielles sont particulièrement bien développées. Il est également à noter que 28 industries agroalimentaires animales (viande, lait…) sont implantées sur le périmètre.L’activité industrielle du bassin de la Lys est marquée par un mélange entre industries traditionnelles et industries de pointe (textile, métallurgie, chimie, agroalimentaire, …).La diversité de son patrimoine naturel, historique et architectural concourt à faire du bassin de la Lys une région dynamique en termes de tourisme. L’ouverture des frontières, la mise en service du tunnel sous la Manche et sa situation privilégiée contribuent à renforcer le potentiel du territoire.ET MAINTENANT LE "PAPI " .Contre les inondations, Raymond Gaquère peut compter sur son « PAPI »La « bonne nouvelle » est tombée le 20 octobre : le programme d’actions de prévention des inondations, PAPI pour les intimes, a été validé au niveau national pour le bassin versant de la Lys. Ça veut dire quoi ? Fin mai 2016, la rue Wéry, à Bruay, avait été durement touchée par les inondations. PHOTO SEVERINE COURBE - VDNPQRPar Isabelle Mastin1
Et de 3 PAPI !
Raymond Gaquère est fier de son PAPI, troisième du nom. Le vice-président de la communauté d’agglomération Béthune Bruay Artois Lys romane, en charge de l’environnement, est allé défendre au niveau national cet ensemble d’actions dont le but avoué est de réduire les conséquences des inondations sur un territoire donné.Un combat de haute lutte, a-t-on pu comprendre mercredi soir au conseil communautaire. Président du Symsagel depuis 2014, l’élu explique « qu’il a fallu trois ans pour voir comment affronter les difficultés qui se présentent » dans un contexte où « les événements climatiques sont de plus en plus violents ».2 Une grosse enveloppeEn pratique, ce PAPI 3 (le premier est né en 2003) représente une enveloppe de 24,6 millions d’euros, dont 17 de l’État et de l’Agence de l’eau, à utiliser dans les six ans. L’équivalent de « 38 ouvrages et actions à réaliser ». Du concret mais aussi de l’informatif « pour que la population se sente moins démunie ». Les deux premiers PAPI n’ont pas vu aboutir toutes les actions, au PAPI 3 de les racheter.3 Deux bassins de stockage, mais pas queParmi les projets de travaux, deux bassins de stockage des eaux pluviales à Bruay, d’un volume total de 10 000 m3. Un écho direct aux orages de mai et juin 2016 et de mai 2017, au cours desquels la rue Wéry avait été très impactée. Une opération à 1,360 M € HT qui devrait démarrer au premier semestre 2019 pour une durée de 18 mois.Sur la liste aussi, la ZEC de la forêt de Nieppe, la ZEC de Saint-Hilaire-Cottes, celle de Gosnay-Fouquières, celle de Verquin (bassin en amont du cimetière), la ZEC du Marais à Noyelles-lès-Vermelles, la ZEC de la Comté, à Beugin, celle de Gauchin-le-Gal, le recalibrage du Grand-Nocq…4 Les satisfactions aussi pleuventDans l’assistance, des élus ne cachent pas leur satisfaction. Voyez Thierry Tassez, son « HNS, haut niveau de satisfaction » et ses souvenirs « de nuits debout, à court d’argument face aux habitants ». Raymond Gaquère tempère : « Le deuxième défi maintenant, c’est la concrétisation. »Fin des échanges avec le Herminois Franck Gluszak : « Je félicite le président et Rayond Gaquère. Une question néanmoins. Est-ce que les actions non prévues dans le PAPI 3 ne seront pas réalisées. J’ai demandé une étude sur les raisons des inondations à Hermin, mais hors du PAPI 3, pas de salut ? » Le président Alain Wacheux l’a assuré du contraire. | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Jeu 1 Juin - 17:19 | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Mar 11 Avr - 13:43 | |
| La France, interdite d'exportations de céréales à partir du 25 avrilPar [size=16]Keren LentschnerPublié hier à 16:51 , mis à jour il y a 7 heures[/size] Un peu plus de 11,5 millions de tonnes de céréales sont concernées par une décision administrative.C'est une situation ubuesque pour l'une des principales puissances agricoles mondiales. À partir du 25 avril, la France ne pourra plus exporter sa production céréalière en dehors d'Europe. À cette date, l'utilisation de phosphine, un insecticide, sera, en effet, interdite en France pour traiter les cargaisons de céréales dans les cales des bateaux. Or la fumigation de ce produit, utilisé en tablettes, est obligatoire dans de nombreux pays clients de l'Hexagone, à commencer par l'Afrique du nord, pour pouvoir débarquer la marchandise.
Elle permet d'empêcher la propagation d'insectes d'un pays à l'autre. Sans cela, pas de certificat de traitement à l'arrivée au port. Et les grains risquent de repartir vers l'expéditeur... À la clef, 11,5 millions de tonnes de céréales sont concernées, [size=18]selon L'Opinion qui a enquêté sur les coulisses de l'affaire. Les céréaliers sont vent debout. « Ces pays-là vont être en manque crucial d'alimentation», a réagi dimanche sur Sud Radio Éric Thirouin, président des producteurs de blé et céréaliers français, qui redoute le risque d'émeutes. «Dans le meilleur des cas, si je puis dire, c'est la Russie qui est le premier exportateur mondial qui les fournira ».[/size] La décision remonte à fin octobre 2022. Elle a été prise par l'Agence nationale de sécurité sanitaire alimentaire française (Anses) qui a renouvelé l'autorisation de mise sur le marché du produit sauf au «contact direct avec les céréales». En cas d'inhalation d'une dose importante, ce gaz à base de phosphure d'aluminium peut provoquer des troubles neurologiques ou respiratoires.Spécificité françaiseIl n'empêche, cette décision de l'Anses est une spécificité française, l'autorisation d'utilisation de la phosphine ayant été renouvelée ces derniers mois dans la plupart des pays européens voisins. « C'est une situation absurde alors même que l'utilisation de cet insecticide figure dans le cahier des charges des pays à qui la France vend ses céréales, déplore Guillaume Kasbarian, député Renaissance, président de la commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale, qui a saisi l'Anses sur ce sujet. Cela interroge aussi sur la capacité de l'Anses à prendre une décision de cette importance sans concertation avec le gouvernement et sans tenir compte du contexte européen ».Il semblerait, en effet, que le gouvernement et l'Anses divergent sur ce sujet, les ministères de l'Agriculture et des Affaires étrangères plaidant pour l'application du règlement européen, qui autorise l'utilisation de phosphine. «Le risque est immédiat pour notre commerce extérieur et notre filière céréalière, une des filières agricoles excédentaires majeures à l'export (14,5 milliards d'euros en 2022), commente une source gouvernementale. C'est une menace aussi pour la sécurité alimentaire de ces pays dans le contexte international actuel».Dans L'Opinion, l'Anses rejette la responsabilité sur le principal fabricant de phosphine, le Néerlandais UPL Holdings, qui ne lui aurait pas transmis le dossier complet car il aurait lui-même renoncé à l'homologation du produit... Ce que le fabricant dément. À l'Anses, personne n'était disponible ce lundi 10 avril pour répondre au Figaro.Filière stratégique« Ce serait un coup d'arrêt à l'export d'une filière stratégique pour la France, insiste le député qui rappelle que l'import dans l'Hexagone de céréales ayant été traitées par fumigation de phosphine est autorisé. On ne peut laisser les céréaliers sans solution.» Pour contourner cette interdiction, certains industriels pourraient être tentés de s'orienter vers des ports européens tels que Gênes ou Anvers pour expédier leurs céréales. Ce qui représenterait un coût supplémentaire et un impact carbone supérieur, déplore un proche du dossier. Une nouvelle audition pourrait être organisée à la Commission des affaires économiques de l'Assemblée dans les prochaines semaines. Les céréaliers, eux, appellent le gouvernement à « se saisir du sujet ». À VOIR AUSSI – Russie: Sergueï Lavrov menace de mettre fin à l'accord sur les céréales ukrainiennes | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Mar 11 Avr - 10:12 | |
| L ' agriculture française est exportatrice depuis de très nombreuses dizaines d 'année ..hélas depuis 3 a 4 ans nous exportons moins ... nous diminuons de 3 % par an ... Il faut savoir que les rendements explosèrent après 1945, moment où elle utilisa les produits chimiques comme engrais ou protections contre les maladies et insectes .Les remembrements rendirent plus facile et rapide l'exploitation des terres avec des engins plus puissants donc plus performants . Les cultivateurs y furent obligés pour rivaliser avec les cultivateurs des pays étrangers .Question de survie .. Nous étions nourris mais peut être pas en qualité car les produits chimiques ont indéniablement une repercussion sur notre santé et aussi sur celle des agriculteurs qui sont les premiers victimes  ( En 2019, avec 77,0 milliards d’euros (soit environ 18% du total de l’UE), la France affichait la plus forte production agricole totale parmi les États membres,suivie de l’Allemagne (58,2milliards d’euros, soit 14%),de l’Italie (57,8mrds, soit 14% également) et de l’Espagne (51,7mrds, soit 12%), des Pays-Bas (29,1mrds, soit 7%), de la Pologne (26,4 mrds, soit 6%) et de la Roumanie(19,0 mrds, soit 5%). )Concernant les fossés ...il est evident que les fossés gênaient pour une bonne utilisation des terres cultivables et ils furent remblayés lors des remembrements officiels ou non ..Lorsque je suis arrivé a Locon il y avait en 1980, 45 km de fossés il n 'en restait plus que 4 km il y a 5 ans ...Les remembrements ne concernent que les propriétaires et agriculteurs ..il est donc normal que le reste de la population n'y soit pas intéressée ..c 'est ce que vous appelez opacité . Rien n 'est opaque ...il y a un president , un bureau et une assemblée qui fait appel a un geometre expert qui mesure les parcelles en determine la qualité ( T1 T2 T3 Pâture ..ou a bâtir ..etc. ) et un nombre de points ... Chaque parcelle obtient donc un nombre de point en fonction de la qualité des terres et de sa surface . ensuite le géomètre regroupe les terres selon les désirs de agriculteurs qui récupèreront ainsi leur nombre de points ... un agriculteur peut donc perdre des hectares de mauvaise terre contrebalancés par une meilleure qualité et valeur de terre ...Concernant les nouvelles constructions ...si la population augmente il faut construire ... deux solutions : on construit des habitats collectifs en élévation ou en maisons individuelles ...En collectif dans les villes en individuels le plus souvent dans des terrains de cultures si possible de mauvaies qualité mais avec un accès aux routes donc aux réseaux ...c 'est un choix de vie pour les acquéreurs.On peut très bien construire en zone inondable a conditions de construire plus haut que les niveaux maximums en cas d 'inondation . C'est le cas des villages jouxtant la Lawe . il y a un niveau a respecter depuis quelques années pour construire sur Locon . Concernant les routes ...Tout est question de budget mais sachez qu'on peut tout faire des chaussées drainantes , des chaussées reservoirs je n'ai pas bien compris votre question sur les terrains pres des autoroutes . | |
| | | | ced62840
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Lun 10 Avr - 13:07 | |
| Plein de limites dans votre raisonnement :
- on a une agriculture exportatrice pour des raisons économiques, on n'est pas obligé d'avoir des centaines d'hectares de vignes pour vendre aux USA ou au moyen-orient par ex.
- pourquoi effacer des fossés qui sont fonctionnels pour du bêton ou des chemins piétonniers en pleine campagne si ce n'est pour faire tourner l'économie ?
-les associations de remembrement, parlons en : c'est globalement opaque, ficellés par quelques personnes ou élus et sans aucun contrôle.
- pour la diminution des espaces naturels, il y a tout un arsenal juridique ( scot, rnr, natura 2000...) non respecté pour faire de nouvelles maisons ou de nouvelles zones d'activités.
Qui n'a pas constaté des zones commerciales à l'abandon mais d'autres qui poussent dans le même territoire ? Allez voir à la rotonde 2 la tristesse mais on développe à fouquières. Allez voir les nouvelles constructions au bord du marais de Bellenville en zone inondable.
- pourquoi aussi attribuer des marchés à des entreprises de btp pour refaire des routes en bitume à l'identique des anciennes, ayons un peu d'ambition sur des matériaux moins impactants.
Pourquoi aussi l'Etat ne surveille pas actuellement les zones dispos aux alentours des autoroutes ( A26 par ex) qui ont concédées à des privés au moment de la construction et qui retombent juridiquement ces années ci en dispo : on laisse ces sociétés privées les céder au plus offrant pour n'importe quel usage. |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Ven 31 Mar - 10:44 | |
| Donc d 'apres vous il faudrait revenir aux mares , fossés et marais d 'antan ?
Ca n 'est pas possible pour la simple raison que la population française est passée de 42 millions en 1950 a 67 millions en 2023 . il a fallu construire pour abriter, faire circuler et nourrir cette population ...ce qui engendre la bétonisation et les remembrements.
Donc pour compenser il faut pour eviter les inondations creer des bassins de retention pour eviter les afflux d 'eau de pluie en cas d 'orage .on pourrait aussi utiliser cette eau pour des tas d 'autres choses avant de la rejeter a la mer inutilement | |
| | | | ced62840
Invité
| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Ven 31 Mar - 10:20 | |
| Une catastrophe ce bassin d'orage sur la photo : quand va t on comprendre que le bêton et le bitume même avec quelques arbres plantés autour ne vont rien résoudre
Rendons aux cours d'eau, fossés et autres mares et marais leurs rôles tampons qu'ils ont joué depuis des siècles. |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Jeu 30 Mar - 8:28 | |
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| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Ven 2 Déc - 11:15 | |
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| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Mar 30 Aoû - 9:00 | |
|  Béthune: le bassin d’orage sera opérationnel pour le premier trimestre 2023Le bassin d’orage de 10 000 m3, creusé à côté du stade Léo-Lagrange de Béthune, sera opérationnel début 2023. Il permettra d’améliorer la qualité de la Lawe et de lutter contre les inondations. À fin des travaux, le bassin sera recouvert d’une toîture végétalisée.Par Loïc CostetPublié: 30 Août 2022 
1 Un projet de longue datePar temps de pluie et en particulier pendant les gros orages, les eaux usées et pluviales d’une partie du Béthunois (Douvrin-le-Marais, Fouquières-lès-Béthune, Vaudricourt, Fouquereuil et Béthune) – qui passent par la même canalisation – finissent par se déverser dans la Lawe. Alors depuis au moins dix ans, l’intercommunalité (Artois Comm à l’époque) a pour projet de construire un bassin d’orage (ou bassin de rétention). Le projet a enfin été acté en mars 2021 par l’agglo Béthune-Bruay et les travaux ont commencé en septembre 2021, à Béthune, rue Fernand-Bar (juste à côté du stade Léo-Lagrange).2Un bassin de 10 000 m3Un an après le début des travaux, où en est-on ? Visuellement, le plus gros du travail est fait. Car le bassin de 10 000 m3 est maintenant entièrement creusé. De quoi avoir le vertige avec ses seize mètres de profondeur. Les fondations du bassin sont désormais terminées. C’est d’ailleurs encore plus profond qu’on ne l’imagine puisque les soixante-dix pieux qui maintiennent la construction sont plantés à trente-cinq mètres dans le sol.Actuellement, des grands tuyaux permettent de pomper la nappe phréatique. Prochaine étape : couler la dalle béton pour que le bassin soit étanche. Le bassin sera ensuite recouvert d’une toiture végétalisée et deux locaux techniques seront construits. Le bassin devrait être terminé et opérationnel pour le premier trimestre 2023.3 Pour lutter contre les inondations mais pas seulementUne fois le bassin opérationnel, par temps de pluie, l’eau transitera désormais jusqu’à ce stockage géant. Une sorte de gros peigne permettra de bloquer les objets qu’on retrouve encore trop souvent dans les eaux usées (serviettes, plastiques…). Le surplus d’eau sera stocké pendant la crue et renvoyé plus tard vers la station d’épuration pour y être traité. « Ça permettra une amélioration de la qualité de l’eau et aussi de trouver un fonctionnement normal du réseau », explique Raymond Gaquère, vice-président en charge de l’assainissement et de l’hydraulique. Et donc de lutter contre les inondations en stockant l’eau qui jusqu’ici était directement déversée dans la Lawe. La CABBALR estime que l’aménagement devrait permettre de ne plus dépasser les vingt déversements par an dans la rivière, comme l’exige la réglementation.Le coût total des travaux, financés par la CABBALR, s’élève à 9 950 000 euros HT. Avec un peu plus de 2 millions d’euros de subventions par l’Agence de l’eau Artois Picardie.
https://www.lavoixdunord.fr/1221707/article/2022-08-30/bethune-le-bassin-d-orage-sera-operationnel-pour-le-premier-trimestre-2023
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| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Dim 26 Juin - 8:33 | |
| http://espaces-lawe.hautetfort.com/ Inondations dans le bassin de Lys : envoyez vos photos et témoignagesPour comprendre les inondations et se préparer à y faire face, le SYMSAGEL fait appel aux habitants pour récupérer des photos d’anciennes catastrophes entre 1993 et 2021. Fin 2021, le niveau de la Lys avait été particulièrement haut, notamment à Merville. PHOTO ARCHIVES SEBASTIEN JARRY - VDNPQRPar Loïc CostetPublié: 25 Juin 2022 à 20h00Il y a à peine plus de six mois, le Nord et le Pas-de-Calais étaient encore fortement touchés par les inondations. La Lys, notamment, avait atteint des niveaux importants. Un phénomène de plus en plus récurrent qui pousse aujourd’hui le SYMSAGEL (syndicat mixte pour le schéma d’aménagement et de gestion des eaux de la Lys) à réaliser un observatoire des inondations sur le bassin versant de la Lys.Pour se préparerLes habitants qui posséderaient des photos d’anciens épisodes d’inondation (décembre 1993, décembre 1999, juillet 2005, mai 2016, janvier 2021, novembre 2021 etc.) peuvent les transmettre au SYMSAGEL. Ils peuvent aussi apporter leur témoignage.« Ces éléments seront mis à disposition de nos partenaires mais également du grand public via une cartographie interactive qui sera développée sur l’outil collaboratif du CEREMA », précise le SYMSAGEL. L’objectif étant de « mieux comprendre ces épisodes (d’inondations) » et « mieux nous préparer à faire face aux inondations futures ».Les photos sont à envoyer avant le 31 juillet à l’adresse suivante : lys.inondation@gmail.com | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Ven 3 Déc - 8:24 | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Lun 29 Nov - 7:38 | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Sam 23 Oct - 8:14 | |
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| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Mar 3 Aoû - 17:25 | |
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Mer 16 Juin - 16:21 | |
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| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Dim 28 Mar - 11:12 | |
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| | | | ced62840
Invité
| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Sam 27 Fév - 13:13 | |
| Article trés interessant.
En espérant que les élus loconois aille au devant de l'élu en charge du dossier pour faire le point pour la commune.
Un peu inquiétant d'entendre on accélère car après les subventions seront perdues et en espérant que la démarche sera bien multi acteurs car historiquement ce n'est pas la pratique de notre com de com de dialoguer avec des acteurs type Agence de l'eau, DREAL ou associations liées à l'environnement. |
| | | | Admin
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Jeu 25 Fév - 16:47 | |
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Inondations : l’Agglo accélère les chantiers  À Allouagne, chantier de création d’un ouvrage de lutte contre les inondations.Ce début d’année a été marqué par une montée des eaux en raison de fortes précipitations. La Communauté d’Agglomération de Béthune-Bruay, Artois Lys Romane (CABBALR) agit au quotidien pour prévenir et lutter efficacement contre les inondations. Ses deux leviers : l’entretien des cours d’eau et la création de zones d’expansion de crues, qui permettent aux eaux de débordement de se répandre dans un espace naturel aménagé, et de protéger les habitants Des pluies abondantes, des sols inondés, des cours d’eau qui montent. Et, sur le territoire de la Communauté d’Agglomération de Béthune-Bruay, Artois Lys Romane, une rivière majeure, la Lawe et ses affluents menacent les habitations. Ce scénario que nous venons de vivre est devenu une menace permanente. La raison : la multiplication d’épisodes de précipitations violentes sur des territoires urbanisés.GESTION DES MILIEUX AQUATIQUESDes outils de prévention et de lutte contre les inondations existent. Le premier réside dans la compétence acquise par l’Agglo depuis 2018 : la Gestion des milieux aquatiques et la prévention des inondations(GEMAPI). Maire de Fouquereuil,Gérard Ogiez est, au sein de la CABBALR, conseiller délégué à l’aménagement et à l’entretien des 440 km de cours d’eau du territoire. Il travaille de concert avec Raymond Gaquère, vice-président en charge de ce volet. « L’entretien des cours d’eau est un travail permanent pour que l’eau s’écoule du mieux possible. » Ainsi, élagage, désherbage, nettoyage des berges sur lesquelles on trouve pierres, branchages, qui ne demandent qu’à partir dans le lit d’une rivière, constituent des missions régulières. Curage de la Busnes à Saint-Venant ou encore renforcement de berges à Calonne-Ricouart feront partie des prochains chantiers.ZONES D’EXPANSION DES CRUESDeuxième outil de lutte contre les inondations, le Programme d’action pour la prévention des inondations (PAPI). Il vise à mettre en place des dispositifs pour réguler les cours d’eau en cas de crues.« La finalité, explique RaymondGaquère, est de gérer ces épisodes. » Comment ? En construisant des zones d’expansion de crues et des bassins de rétention. Autant de zones tampons permettant de délester une rivière d’une partie de sa surcharge. « Grâce à nos moyens de mesure, on sait qu’à tel moment, un pic de crue va se former. Donc le but est de soulager un cours d’eau avant. D’ici 2023, une vingtaine de ces ouvrages vont apparaître (lire par ailleurs) », résume le vice-président en charge des questions hydrauliques. Il termine : « Nous travaillons finement pour que les habitants de nos communes ne revivent pas le traumatisme de 2016. »« Une équipe dédiée à la mise en œuvre de la stratégie »  Comment les chantiers de prévention des crues sont-ils pilotés ?Une équipe projet est dédiée à la mise en œuvre du Programme d’Action pour la Prévention des Inondations, le PAPI. Cette équipe comprend un chef de projet, des chargés de mission spécialisés en études, travaux et environnement, un responsable du service archéologie et une personne chargée du foncier. La direction des marchés publics y est associée. Cette transversalité doit faciliter la réalisation des chantiers.Quelle a été la méthode pour définir les vingt chantiers en cours et à venir ? Un calendrier a été établi pour chaque ouvrage. Au préalable, nous avons fait le diagnostic de tout le bassin versant de la Lys, pour voir comment on devait prévenir des crues dites vingtennales, c’est-à-dire qui ont lieu tous les vingt ans. Le traitement des cours d’eau, mais aussi des fossés, doit être mené à une échelle globale. Si chaque commune continue de travailler à l’intérieur de ses limites, on ne résoudra rien. C’est pour cela que sur le dossier des inondations, la CABBALR est aussi en lien avec l’ensemble des intercommunalités de notre bassin versant.En moyenne, combien de temps faut-il pour boucler un chantier ? Deux ans. Une fois que les diagnostics de terrains sont bouclés, que les études environnementales sont menées, qu’on a procédé à la définition des ouvrages, que les acquisitions foncières sont faites, vient le temps des fouilles archéologiques préventives. Puis celui des appels d’offres. Les travaux arrivent ensuite.« Je prépare un état des lieux »  gérard ogiezDélégué à l’ Aménagement et à l’ entretien des cours d’eau« JE PRÉPARE UN ÉTAT DES LIEUX »
« Au titre de ma délégation au sein de l’Agglo, je mène un état des lieux sur ce qui a été fait et ce qui reste à faire sur l’entretien et l’aménagement de nos 440 km de cours d’eau. J’ai déjà vu une trentaine de communes. Par exemple Labeuvrière, Fouquières, Ligny-lès-Aire, Saint-Venant… On m’alerte sur des problèmes, j’informe sur ce qui a été fait, sur ce qui est ou non du ressort de l’Agglo. Cet état des lieux va déboucher sur un rapport destiné au bureau exécutif de l’Agglo. Il servira pour les prochaines orientations. Sur le terrain, nous poursuivons les actions d’entretien. Soit avec notre équipe en régie, soit avec des organismes d’insertion. Entretenir un cours d’eau passe par le maintien en état des berges, le retrait des arbres, branchages qui ralentissent l’eau. C’est aussi le fauchage, le nettoyage du lit de la rivière… Nous intervenons également sur les situations d’urgence. Tout cela est très concret. Récemment nous sommes intervenus à Isbergues, Annequin, Cambrin… En 2020, nous avons consacré 3 millions d’euros à l’aménagement et l’entretien des berges et cours d’eau. »« Nous mettre au sec, préserver l’eau et préparer demain »  La CABBALR a la compétence de la Gestion des milieux aquatiques (GEMAPI) et de la prévention depuis 2018. Pourquoi accélérer la cadence des chantiers aujourd’hui ?Avec l’installation de la nouvelle équipe en 2020, la lutte contre les inondations s’est imposée comme un axe fort. Ce dossier n’était pas suffisamment porté. Or, les événements de 2016 restent un traumatisme. Nous devons mettre les habitants de nos communes à l’abri.Mais pourquoi programmer vingt-et-un chantiers en deux ans ? L’enjeu est d’être au rendez-vous pour les habitants en cas de nouvelles crues, et nous venons d’en vivre. Ce qui signifie que nous devons rapidement lancer les ouvrages de zones d’expansion de crues. Mais aussi nous attaquer à un programme régulier d’entretien des cours d’eau et des fossés. Deuxième point : nous avons un délai, qui est octobre 2023. Si on n’y est pas, nous perdons les subventions.Pourra-t-on lutter totalement contre les phénomènes de crues et d’inondations uniquement avec ce dispositif ? Pas complètement. En 2017, l’Agglomération n’a pas pris toute la compétence GEMAPI (Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations). Pour l’instant, nous n’intervenons pas sur l’érosion des sols et les ruissellements. Il faudrait aller jusqu’au bout. Et associer plus le monde agricole.C’est-à-dire ? Quand vous transformez des pâtures en cultures et qu’en plus vous êtes en côte, il se passe la chose suivante : l’eau n’est plus retenue. Donc elle ne pénètre plus dans les sols. Tout ruisselle vers le fond d’une vallée. En cas de fortes précipitations et de crues, vous accélérez le phénomène d’érosion des terres. Il y a donc un vrai enjeu à pousser la réflexion sur le type de cultures, en fonction des terrains. Ce qui signifie qu’il nous faut aussi penser à modifier nos modes de production et de consommation.N’est-ce pas un peu éloigné de la lutte contre les inondations ? Nous ne sommes pas juste en train de nous demander comment nous mettre les pieds au sec. Au-delà de la lutte contre les inondations, il y a la question de la préservation de l’eau potable. N’oublions pas que retenir l’eau, c’est permettre son infiltration dans nos sols pour remplir les nappes phréatiques. Tout ceci touche au monde agricole, au circuit alimentaire. Voilà pourquoi nous devrons avoir un débat politique et sociétal au sein de l’intercommunalité, afin de savoir si nous prolongeons la compétence au regard des enjeux.Les cent communes de l’Agglo se sentiront-elles concernées ? Ceux qui ne sont pas concernés par les inondations le sont par la question de l’eau potable. Tout est lié. Le rapport que Gérard Ogiez prépare va nous amener un élément du débat. Tout repose sur notre capacité à faire de la coopération intercommunale. Notre Agglo a signé un Plan climat air énergie territorial. On vient de signer un contrat d’objectif sur la troisième Révolution industrielle, ainsi qu’un Contrat de transition énergétique. Nous avons la conviction que la réussite du territoire passera par des transitions qu’il faut accélérer. Nous devons réfléchir à un autre mode de vie. Car nous préparons le monde de demain pour nos enfants.LES CHIFFRES CLÉS 440 : en kilomètres, le linéaire des cours d’eau (à majorité non domaniaux), entretenus par la CABBALR. Ces 440 km comportent environ 40 km de digues à gérer.21 : dans le cadre du PAPI de la Lys, approuvé en 2017 pour 6 ans,la Communauté d’agglomération doit réaliser 18 ouvrages comprenant :zones d’expansion de crues ou bassins de rétention. Le volume total destockage d’eau ainsi dégagé sera de 750 000 m 3 . Autre type d’intervention dans ce cadre : la requalification de cours d’eau. Enfin, 3 confortements de digues sont programmés.12 650 000 : en euros, le montant du PAPI, financé à hauteur de4,8 millions par l’État et 3,75 millions par l’Agence de l’Eau Artois Picardie.19 : nombre d’ouvrages existants à gérer, entre zones d’expansion de crues et bassins de rétention d’eau. Mais aussi : 7 grilles de siphons ; 3 systèmes de pompages et 1 système de vis sans fin ; 2 systèmes de vannages automatisés, ainsi que des petites vannes manuelles.25 : nombre d’agents de la CABBALR travaillant sur la compétence GEMAPI. Ils sont répartis sur deux sites, entre un service opérationnel et un service études.. | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Jeu 5 Nov - 11:26 | |
| Il est vrai que Lestrem Nature n 'est pas sensibilisé par la Lawe qu 'ils considèrent comme une rivière morte sans vie aquatique ...bref un égout. Ce qui n 'est pas faux ...les berges seules peuvent être intéressantes pour eux avec leurs corridors verts ou trame verte ... a un moment j 'avais essayé de sensibiliser les gens en créant mon association ESPACES LAWE http://espaces-lawe.hautetfort.com/ ..mais les gens avec qui j'avais créé cette association ont quitté Locon ou ce bas monde ... De plus on se fait des ennemis lorsqu 'on dénonce certains produits utilisés par les agriculteurs qui polluent cette rivière ...ce qui m 'a valu d 'être trainé au tribunal par un cultivateur de Essars qui se croyait visé alors que je pointais du doigt que les pratiques et les produits ...ca s 'est terminé par un non lieu...il en fut pour ses frais ... J 'avais aussi imaginé que l 'gglo pourrait faire un jour un chemin de transport doux http://espaces-lawe.hautetfort.com/index-19.html...pietons et velos sur le chemin de halage ..ca a commencé l 'année derniere entre Essars et Locon ..esperons que ca continue  | |
| | | | ced62840
Invité
| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Jeu 5 Nov - 9:07 | |
| Bonjour,
A l'heure de la réélection du SYMSAGEL, quelqu'un sait il y a une association dans le secteur de Locon qui oeuvre pour la préservation ou l'amélioration de la faune-flore de la Lawe entre Béthune et la Lys ?
Je pensais à Lestrem Nature mais ils n'ont pas l'air de s'interesser particulièrement à la Lawe ? |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Ven 16 Oct - 11:06 | |
|  https://www.amf.asso.fr/Risque inondation : le gouvernement annonce plusieurs mesures pour « réduire la vulnérabilité » des territoires menacés Hasard du calendrier, la journée nationale de prévention des risques d’inondation a eu lieu hier, une dizaine de jours après les dramatiques crues qui ont dévasté l’arrière-pays niçois. La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a présenté hier les mesures prévues par le gouvernement pour « renforcer la coopération entre l’État et les collectivités », en vue de « mieux réduire la vulnérabilité de certains territoires ».
Il s’agit notamment de répondre à la demande exprimée par le président de la République après cet épisode : « Il ne sera pas possible de rebâtir à l'identique, il faudra reconstruire de manière résiliente et durable. » Mais aussi faire face à un risque qui ne fait que s’accroître en raison du changement climatique : la fréquence des « fortes pluies » s’est accrue en France « de 22 % » durant les dernières décennies, a souligné hier Barbara Pompili. « Nous devons avoir une culture du risque qui nous permette de prendre des précautions préalables et d’être prêts à résister à des événements climatiques extrêmes. »
Le ministère entend agir sur plusieurs fronts, d’abord en améliorant les capacités d’anticipation mais aussi de communication envers la population. Quelque 144 millions d’euros vont être consacrés au renouvellement des « supercalculateurs » de Météo France, ce qui permettra à terme d’avoir des prévisions plus précises, avec « un gain d’une à deux heures d’échéance des phénomènes dangereux ». Le site Vigicrues va également être davantage ouvert au public, pour fournir aux habitants « des prévisions de crues à très courte échéance », y compris sur les « petits cours d’eau ».PPRI et Papi
Mais le gouvernement entend surtout « améliorer et renforcer » les PPRI (plans de prévention des risques d’inondation) et les Papi (programmes d’action pour la prévention des inondations).
En février dernier, déjà, le gouvernement a engagé un « plan d’action » pour « accélérer la mise en œuvre des Papi » qui, rappelons-le, permettent aux collectivités d’élaborer une stratégie contre les inondations, sous forme d’une contractualisation avec l’État. Objectifs du plan d’action : diviser par deux la durée d’élaboration et de mise en œuvre des Papi, prévoir un référent de l’État dans chaque préfecture, déconcentrer la labellisation des Papi pour ceux dont le budget est inférieur à 20 millions d’euros. Le gouvernement mise également sur le partage des bonnes pratiques, avec la création « sous six mois » d’une plateforme publique permettant de « capitaliser tous les Papi labellisés et permettre aux collectivités locales de s’appuyer sur les programmes antérieurs ».
Une « procédure accélérée d’autorisation » va être créée pour « l’implantation de systèmes d’endiguement justifiant d’un caractère d’urgence civile ».
Sur l’accélération des PPRI, le gouvernement se montre moins disert : aucun détail n’est donné dans le dossier de presse publié par le ministère hier. On peut se demander si, dans ses réflexions, le gouvernement envisage de modifier la disposition particulièrement injuste qui permet de moduler (à la hausse) la franchise des assurances dans les communes qui ne sont pas couvertes par un PPRI. Ce qui est tout de même un comble, dans la mesure où c’est l’État qui est chargé de la mise en œuvre de ces derniers : les habitants frappés par des catastrophes sont donc punis… pour un manquement dont ils ne sont nullement responsables.
Pour mémoire, si l’on regarde l’arrêté du 7 octobre reconnaissant l’état de catastrophe naturelle dans les communes des Alpes-Maritimes dévastées par les crues, on s’aperçoit que sur les 55 communes concernées, plus de la moitié (33) n’étaient pas couvertes par un PPRI… alors que certaines en sont déjà à leur troisième reconnaissance en état de catastrophe naturelle !
Enfin, le gouvernement a confirmé hier que le Fonds de prévention des risques naturels majeurs (FPRNM, dit Fonds Barnier) va être augmenté : il sera porté dans le projet de loi de finances pour 2021 à 205 millions d’euros, contre 131 millions aujourd’hui. L'AMF, l'an dernier, s'était vivement inquiétée du plafonnement du Fonds Barnier à 131 millions d'euros.Il s’agit d’une « augmentation nette de 55 % des moyens consacrés à la prévention des risques naturels », se félicite la ministre. Reste néanmoins un problème, sur lequel l'AMF a estime qu'il faut être vigilant : c'est que le Fonds Barnier, qui était auparavant alimenté par un prélèvement sur les contrats d'assurance, va désormais être intégré au budget de l'Etat. Dans ses réflexions sur le PLF 2021, l'AMF s'interroge donc sur « l’éventuelle pérennité d’une telle mesure ». L'association dit craindre, en outre, « par la fongibilité de ce fonds au sein du budget général de l’État, une perte de dialogue sur ces questions du financement du risque inondation financé à plus de 50% par les budgets des collectivités territoriales et 40% par le fonds Barnier ». | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Lun 5 Oct - 8:22 | |
| la voix du nordUne rallonge de 9 M€ pour lutter contre les inondations dans le bassin de la Lys PAR RUBEN MULLER bethune@lavoixdunord.fr
 Le programme d’action pour la prévention des inondations (PAPI) du bassin de la Lys est doté de 9M€ supplémentaires. PHOTO ARCHIVES SÉVERINE COURBEMardi, la commission mixte inondations réunie à Paris a accordé 9 M€ supplémentaires au programme d’action pour la prévention des inondations (PAPI) du bassin de la Lys. Au total, 36 M€ sont donc mobilisés pour la lutte contre les inondations sur ce territoire. BÉTHUNOIS – BRUAYSIS.Le chantier de rénovation des digues de la Biette et de la Lawe à Bruay-La-Buissière sera ainsi lancé au premier semestre 2021. Mardi au conseil communautaire de l’agglomération Béthune-Bruay, le président Olivier Gacquerre a rendu compte de la commission mixte inondations à laquelle il s’est rendu le matin même avec son vice-président chargé de la lutte contre les inondations, Raymond Gaquère. Celui-ci est aussi président du syndicat mixte pour le schéma d’aménagement et de gestion des eaux de la Lys (SYMSAGEL).« L’enjeu : 9 M€ qui viennent s’ajouter aux 24 M€ mobilisés en 2017 dans le cadre du programme d’action pour la prévention des inondations (PAPI) et aux 3 M€ obtenus en juillet pour financer les travaux sur les digues à Bruay-La-Buissière , résume Olivier Gacquerre. 95 % des 122 actions du PAPI (dont la phase opérationnelle court de 2017 à 2023) sont engagées à ce jour et d’autres vont pouvoir être lancées rapidement. »TRENTE-NEUF OUVRAGES EN TROIS ANSL’enveloppe ne concerne pas que l’agglo – le SYMSAGEL et sept autres intercommunalités sont impliqués dans le PAPI – mais elle est intéressée au premier chef puisque 18 des 39 ouvrages de rétention à réaliser d’ici trois ans sur le bassin se situent sur son territoire. Toutes ces opérations doivent être amorcées avant octobre 2023 sous peine de perdre les subventions – et de les faire perdre aux autres intercommunalités.Le chantier de rénovation des digues de la Biette et de la Lawe à Bruay-La-Buissière sera ainsi lancé au premier semestre 2021. D’autres ouvrages, comme des zones d’expansion de crue (ZEC) à Ourton et La Comté, en amont, et à Gosnay, en aval, concourront à protéger Bruay et Béthune des crues de la Lawe. D’autres ZEC, des retenues collinaires ou le recalibrage du Grand-Nocq – un affluent de la Clarence – figurent également au PAPI.Au-delà de la réalisation de ces ouvrages, cette rallonge permettra d’« accompagner les victimes d’inondations sur des territoires à risque connu », promet Olivier Gacquerre. L’enquête publique préalable à l’approbation du plan de prévention des risques d’inondation (PPRI) de la Lawe vient de commencer, la Clarence et la Lys suivront : « Nous pourrons réaliser des diagnostics de vulnérabilité des habitations concernées, intégralement pris en charge par le SYMSAGEL. »
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ REMARQUE ....ON PEUT FAIRE DES DIGUES DANS LA PARTIE AMONT MAIS PAS DANS LA PARTIE AVAL DE LA LAWE NOUS N'AVONS DONC PAS LES MEMES DROITS ...L’email a bien été copié | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Ven 2 Oct - 10:18 | |
| la voix du nordPlus de 5 M€ pour que les riverains de la Lawe aient les pieds au sec .... (SUR BRUAY MAIS PAS SUR LOCON) PAR RUBEN MULLERbethune@lavoixdunord.fr
Les inondations dues aux crues de la Lawe sont récurrentes dans le bas de Bruay-La-Buissière. La communauté d’agglomération et l’État mettent 5,2 M€ sur la table pour rénover les digues de la Biette et de la Lawe, et créer deux bassins de retenue des eaux de ruissellement, rue Wéry. 
BRUAY-LA-BUISSIÈRE.1 LE CONSTATConséquence de l’exploitation minière – les compagnies ont détourné la Lawe de son lit naturel et relevé son niveau de 7 mètres –, le vieux Bruay et la rue Ernest-Wéry sont régulièrement exposés aux inondations. Lors de la dernière crue vicennale de la Lawe, fin mai 2016, l’eau est ainsi montée jusqu’à deux mètres, rue Wéry et cours Kennedy. Les batardeaux posés en travers du pont de la rue Arthur-Lamendin en cas de forte pluie ne suffisent pas à garder les riverains au sec.L’ensemble du système d’endiguement doit être revu. En décembre 2018, la communauté d’agglomération Béthune-Bruay a approuvé un programme de réhabilitation du vannage d’Hulluch et des digues de la Biette et de la Lawe, pour près de 3 M€. L’enveloppe a été accordée en juillet et un arrêté préfectoral en date du 27 août 2020 a autorisé le début des travaux, qui concernent près de 1 500 riverains.2 LES TRAVAUX PRÉVUSL’agglo va donc pouvoir donner les premiers coups de pioche dès le premier semestre 2021. La digue de la Biette sera renforcée – installation d’un rideau de palplanches et d’un dispositif de tirants – et le vannage d’Hulluch, rénové – remplacement du moteur, automatisation, traitement anticorrosion et réfection du génie civil. Ces travaux dureront six mois et coûteront quelque 600 000 € TTC, dont 390 000 € à 470 000 € de l’État.Fin 2021, l’État s’attaquera à la consolidation et à l’étanchement de la rive gauche de la Lawe, dont il est propriétaire en tant qu’héritier des Charbonnages de France, entre le pont d’Hulluch et la rue Cail. Ces travaux sont chiffrés à 1,35 M€. Enfin, l’agglo reprendra la main pour rehausser la rive droite et y poser un rideau de palplanches métalliques. Ce dernier chantier, estimé à près de 900 000 €, dont 350 000 € de l’État, ne devrait pas commencer avant septembre 2022.3 DEUX BASSINS DE RÉTENTIONParallèlement, l’agglo va créer deux bassins de rétention des eaux de ruissellement. Situés sur la rive droite de la Lawe, le long de la rue Wéry, entre les rues Cail et Lamendin, ils auront une capacité totale de 10 000 m 3 . Le coût est de 2,4 M€, dont une subvention de 750 000 € de l’agence de l’Eau Artois-Picardie. Les travaux commenceront au premier semestre 2021 et dureront huit mois.« Le visage du quartier sera profondément transformé, prévient le président de l’agglo, Olivier Gacquerre. Rive gauche, 110 arbres devront être abattus et rive droite, on va raser les buttes pour creuser les bassins. Ça pose la question de l’apaisement urbain et des espaces verts, crucial pour les villes moyennes. »Hier, lui et son vice-président en charge de la lutte contre les inondations, Raymond Gaquère, ont rencontré le maire de Bruay-La-Buissière, Ludovic Pajot, qui doit délivrer le permis d’aménagement. « On aura aussi besoin de l’accord de l’architecte des Bâtiments de France, précise Olivier Gacquerre. Et on veut associer tout le monde », notamment l’association de riverains Wéry-Té, qui monte régulièrement au créneau au sujet des inondations.+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++PENDANT CE TEMPS A LOCON ...ON LAISSE DEBORDER LA RIVIERE ET ON ABANDONNE LES TUYAUX MUNIS DE CLAPETS QUI REJETTENT LES EAUX PLUVIALES DE LOCON | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Jeu 1 Oct - 17:11 | |
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| | | | ACARIE
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Date d'inscription : 14/06/2019
| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Mar 10 Déc - 11:12 | |
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| | | | ACARIE
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Date d'inscription : 14/06/2019
| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Mar 10 Déc - 10:36 | |
| Le Maire est responsable sur le territoire communal de l’information des populations aux risques majeurs auxquels elles sont exposées. Il élabore le Document d’information communal sur les risques majeurs (Dicrim), organise l’affichage des consignes de sécurité et la pose des repère de crue.
Le Maire est responsable sur le territoire communal de la gestion de crise. Il définit les règles de gestion de crise dans le Plan communal de sauvegarde (PCS).
Les intercommunalités et les communes sont responsable de la prise en compte du risque dans l’urbanisme (application des PPR) soit dans les documents d’urbanisme et dans l’instruction des actes d’application du droit des sols.
Les intercommunalités peuvent candidater à l’appel à projet du Ministère de la Transition écologique et solidaire des programmes d’actions de prévention des inondations (PAPI) permettant de réaliser des actions de gestion intégrée du risque et mobiliser des cofinancements et notamment du Fonds de prévention des risques naturels majeurs (Fonds Barnier). Afin de réaliser un programme d’actions à une échelle de bassin de risque cohérente, les PAPI sont élaboré par à un syndicat mixte.
Le conseil régional, en tant qu’autorité de gestion FEDER (fonds européen) est également impliqué dans le volet financier des PAPI. | |
| | | | ACARIE
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Date d'inscription : 14/06/2019
| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Mar 10 Déc - 9:44 | |
| Obligation dans les zones a risques élevé , dans les 4 ans ( après signature du PPRI) pour les plain pieds, de prévoir un accès dans les combles ou d aménager le grenier pour se réfugier. Obligation de tenir compte d 'une altitude supérieure au niveau des crues pour rehausser le sol de la maison. Cette altitude est donnée par la préfecture et en mairie. c 'est indispensable pour toute demande de permis de construire. il est possible d 'obtenir des subventions pour les emménagements jusqu' a 80 % du montant des travaux en demandant au PAPI sur les fonds BARNIER L’inondation est une submersion, rapide ou lente d’une zone habituellement hors d’eau. Dans le département du Pas-de-Calais, les inondations se produisent par débordement des cours d’eau, lors de ruissellement ou par remontée de la nappe phréatique.
Pour protéger les populations :
- l’État met en place des outils réglementaires, les plans de prévention des risques (PPR)
- L’État accompagne et finance les collectivités dans la gestion des risques inondation sur leur territoire, les Programmes d’Actions de Prévention contre les Inondations (PAPI),
- L’État participe à l’élaboration des Stratégies Locales de Gestion des Risques Inondations, aboutissement de la mise en œuvre de la directive inondation 2007/60/CE du 23 octobre 2007 relative à l’évaluation et la gestion des risques d’inondation (DI )
- L’État participe à la mise en place des secours en cas de crise via le Service Interministériel de la Défense et de la Protection Civile (SIDPC) de la préfecture. Un dispositif d’alerte Vigicrue permet d’informer les acteurs de la gestion de crise et le public en cas de risque de crues sur certains cours d’eau surveillés.
Programme d’actions de prévention des inondations (PAPI)Lancés en 2002, les Programmes d’Actions de Prévention des Inondations (PAPI) visent à promouvoir une gestion intégrée des risques d’inondation en vue de réduire les conséquences dommageables sur la santé humaine, les biens, les activités économiques et l’environnement. Outil de contractualisation entre l’État et les collectivités, le dispositif PAPI permet la mise en œuvre d’une politique globale des inondations, pensée à l’échelle du bassin de risque. Ce dispositif PAPI a été initié pour traiter le risque inondation de manière globale, à travers des actions combinant gestion de l’aléa (réhabilitation de zones d’expansion de crues, ralentissement dynamique, ouvrages de protection…) et réduction de la vulnérabilité des personnes, des biens et des territoires (limitation de l’urbanisation des zones inondables, réduction de la vulnérabilité des constructions, amélioration de la prévision et de la gestion des crises…) mais aussi la culture du risque (information préventive, pose de repères de crue, démarches de mise en sûreté et de sauvegarde…). .
| |
| | | | habitante
Invité
| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Mar 10 Déc - 8:13 | |
| bonjour président Acarie,
avez vous des informations sur les aménagements dans les maisons?
quid de la zone refuge pour les plain-pieds ?
ces travaux seront-ils obligatoires avant toute vente de maisons?
merci d avance |
| | | | ACARIE
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Date d'inscription : 14/06/2019
| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Lun 9 Déc - 22:17 | |
| Vous avez raison CED62840 ..ces cartes ne sont pas à jour .
Mais ça n’est pas le plus important.
Ils n’ont pas tenu compte des zones souvent inondées soit par débordement des rivières, des fossés et courants . Ni des remontées de nappes phréatiques ou des terrains inondés par eaux de pluies dans des bas fonds comme la rue Lefranc ...
Ils ont tout minimisé comme si ils ne voulaient pas pénaliser les gens habitants de ces zones à risques . | |
| | | | ced62840
Invité
| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Lun 9 Déc - 21:27 | |
| du beau travail fait avec des couches cartographiques pas à jour : il n'y a pas toute la résidence cassez ni la marpa et les maisons autour.
Les données doivent dater d'il y a au moins 5ans ? |
| | | | ACARIE
Messages : 4014
Date d'inscription : 14/06/2019
| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Lun 9 Déc - 9:46 | |
|  le 9/12/2019La cartographie des zones inondables change dans la vallée de la Lawe PAR MÉLANIE BARBOTIN bethune@lavoixdunord.fr Les habitants ont pu examiner les cartes du plan de prévention des risques d’inondation et chercher leur maison.Cinquante-trois communes sont concernées par le plan de prévention des risques d’inondation (PPRI) dans la vallée de la Lawe. Ces zones classées rouges, vertes ou encore bleues bouleversent le plan d’urbanisme local (PLU) et inquiètent les habitants. 
BÉTHUNOIS-BRUAYSIS.« C’est quand même difficile aujourd’hui d’accepter ces cartes comme ça et de découvrir qu’on est en zone inondable », s’exclame un habitant. Mardi dernier à 20 h, une soixantaine de riverains, inquiets, sont venus se renseigner sur le plan de prévention des risques d’inondation (PPRI) de la vallée de la Lawe à l’espace Avenir à Vieille-Chapelle. Quelques-unes des cartes des 53 communes concernées – La Gorgue a été retirée du PPRI – sont accrochées au mur. Chacun cherche du doigt sa maison en priant pour qu’elle n’apparaisse pas en zone rouge ou vert foncé, les secteurs les plus à risque en cas de crue centennale.SE PRÉPARER AU PIRECe phénomène exceptionnel, que « de mémoire d’hommes » nous n’avons jamais connu, a servi de référence au nouveau zonage. « Plus on avance dans le temps, plus on a de chance d’en connaître une », souligne Pierre-Yves Geslot, adjoint au service environnement de la direction départementale des Territoires et de la Mer (DDTM). Il faut donc se préparer au pire. Pour les municipalités, cela signifie par exemple la mise en place d’un système d’alarme et d’une liste des personnes vulnérables.DES TRAVAUX POUR LES PARTICULIERSMais pour les propriétaires de maisons, désormais classées en risque inondation, le discours passe mal. « Quand on a fait construire il y a dix ou quinze ans, les zones inondables n’étaient pas les mêmes, s’insurge Sandra Poiret, une Lacouturoise qui a découvert ce soir-là qu’une partie de son jardin était désormais en zone bleue inondation. O n s’était pourtant assuré auprès de la commune qu’on n’était pas en zone inondable. Je ne comprends pas qu’aujourd’hui on nous dise que tout a changé. »En plus de la crainte de voir leur bien dévalué ou de connaître des difficultés avec leur assurance, les habitants en zone rouge ou vert foncé auront l’obligation de réaliser certains aménagements dans leur logement. Ils auront cinq ans pour installer des détecteurs d’inondation mais aussi aménager une « zone refuge » pour les maisons de plain-pied. Le risque en cas de manquement ? Ne plus se faire rembourser par les assurances en cas d’inondation.Retrouvez la carte du PPRI
de votre commune sur le site
de la préfecture du Pas-de-Calais.
 Chaque propriétaire d’une maison classée en zone à risque inondation devra se soumettre à un ensemble d’obligations. Il devra par exemple installer un détecteur de montée des eaux dans sa maison ou encore aménager un espace refuge pour les habitations de plain-pied. Ces aménagements peuvent être onéreux.Les habitants de la vallée de la Lawe pourront bénéficier des aides du fonds de prévention des risques naturels majeurs, le fonds Barnier. Le taux de subvention s’élève à 40 % du montant des travaux pour les particuliers et 20 % pour les entreprises.Quant aux travaux, ils devront être réalisés dans les cinq ans, sous peine d’être pénalisé par son assurance en cas d’inondation.Les mots pour comprendre
Le plan de prévention des risques d’inondation (PPRI) a pour rôle d’identifier les zones à risque et d’en informer les communes, les collectivités, les entreprises ou encore les particuliers. Il est inscrit dans le plan local d’urbanisme (PLU) et sert notamment lors de l’instruction des permis de construire.. | |
| | | | ACARIE
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Date d'inscription : 14/06/2019
| | Sujet: Re: INONDATIONS -BASSIN DE LA LYS ( LYS-LOISNE-LAWE) ... Mer 4 Déc - 14:56 | |
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