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  Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)

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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeVen 20 Oct - 10:49

Encore une réalisation mal pensée ( pas de parking )  et couteuse pour les contribuables, faite par Thierry Tassez ex socialiste, parti vers Macron par dépit de n 'avoir pas été élu Président de la CABBALR  et qui rêvait d 'un dojo payé par les contribuables. 
C'est fait... 
A nous de payer... comme nous payons pour la cité des électriciens de Bruay toujours en déficit .  
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeJeu 29 Juin - 7:06

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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeJeu 16 Fév - 7:39

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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeSam 11 Fév - 7:59

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Prix de l’eau : pourquoi il devrait augmenter dans les Hauts-de-France




Ce mois-ci, les budgets seront votés dans les collectivités locales et intercommunalités, où sera fixé le prix de l’eau, scruté de près en ces temps d’inflation, d’autant qu’ailleurs dans le pays sont annoncées localement de fortes hausses...

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Par Christian Canivez
Publié:10 février 2023 à 18h19


Un prix déjà parmi les plus élevés du pays. Les Hauts-de-France figurent avec la Bretagne, la Normandie, le Limousin et l’Aquitaine dans les régions où le prix de l’eau est supérieur au reste du pays (notre carte ci-après). Il s’établit dans le Nord et le Pas-de-Calais à 4,59 € par mètre cube en moyenne (eau potable, assainissement et taxes), au dessus des 4,3 € de moyenne nationale. Près de 80 % de la population régionale paye le mètre cube entre 4 et 4,60 €.


On est ainsi, à titre d’exemple, à 4,02 €/m3 dans la métropole lilloise ; 4,55 € dans la communauté urbaine d’Arras ; 4,50 € à Calais ; 4,82 € dans l’agglo de Saint-Omer ; 4,39 € dans celle de Cambrai. On grimpe à 5,25 € dans le Dunkerquois et jusque 6,16 € dans le Valenciennois. Mais les écarts peuvent être plus importants (lire par ailleurs). La taille de la collectivité a en général un effet vertueux sur le prix : plus la densité de population est forte, plus la rentabilité des équipements est élevée, car plus d’usagers se partagent les coûts.








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Comment est calculé le prix de l’eau ? Ce dernier est composé, en moyenne à 38 % par l’eau potable, 41 % par l’assainissement et 21 % par les taxes et redevances. Un prix qui varie selon les niveaux d’investissements réalisés (entretien des canalisations, stations d’épuration...).






Des choix politiques, actés par les collectivités locales. Ce sont d’ailleurs les élus de ces collectivités qui votent le prix de l’eau. Dans la plupart des cas, ces dernières délèguent la gestion de la distribution et de l’assainissement à des groupes privés (Véolia et Suez se partageant le gros du marché), « le privé a l’expertise et le public la responsabilité », résume Frédéric Leturque, maire d’Arras et président de la communauté urbaine, mais il reste un certain nombre de communes gérant la question en direct, via une régie.




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 À lire aussi Prix de l’eau: «Il faut une tarification sociale et une tarification de loisirs»






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Pourquoi ce prix devrait augmenter. Après des années de relative stabilité, une hausse ne serait déjà pas surprenante. Le maintien d’un prix qui ne bouge pas peut cacher derrière lui un défaut d’investissement. « Il y a eu peu de hausses ces cinq dernières années. Il est probable qu’on assiste à un rattrappage généralisé, amplifié par les effets de l’inflation », estime Bruno Pelisson, économiste à l’Agence de l’eau Artois-Picardie. « Même si depuis 2015 on a plutôt enregistré une baisse des redevances, elle ne devrait pas être suffisant pour compenser les hausses de prix, qui semblent inéluctables, sans être anormales ». Et l’économiste de pointer les effets directs de l’inflation : hausse des salaires, des coûts de production (dont l’énergie nécessaire par exemple au pompage pour amener l’eau dans les châteaux d’eau), des coûts de traitements (entre 10 et 30 % de hausse sur les charbons actifs et chlore), des investissements pour acheminer une eau qui peut venir de plus en plus loin. Les sécheresses à répétition augurent évidemment des jours plus compliqués, avec une disponibilité en baisse et des traitements en hausse (car un volume d’eau plus bas est plus vite pollué).


Pourquoi il pourrait rester stable malgré tout. « Techniquement, il n’est pas exclu que ce prix reste stable, en tout cas à court terme, relativise Bruno Pélisson. Les prix sont déjà élevés dans la région, où l’on a déjà réalisé beaucoup d’investissements et où l’on pourrait encore profiter des effets d’une redevance en baisse, un effort consenti par les Agences de l’eau à la sortie du Covid, pour relancer l’économie. Cela peut contribuer à stabiliser malgré tout le prix, en compensant des hausses sur d’autres postes ».




Des différences de prix du simple au double



Le prix de l’eau, pour 120 m3 consommés par an, peut afficher de grandes variations d’un territoire à l’autre. Fonction des coûts de traitement et d’acheminement, des investissements réalisés dans le réseau et l’assainissement, des taxes et redevances appliquées localement.


Dans le Nord, entre les 4,03 €/m3 payés en 2022 dans la métropole lilloise et les 6,50 €/m3 payés à Vieux-Condé ou Fresnes-sur-Escaut, l’écart atteint plus de 50 %.


Dans le Pas-de-Calais, les écarts sont encore plus marqués entre un Neuchâtel-Hardelot où l’on paie 3,80 €/m3 et des communes comme Leulinghen-Bernes ou Rinxent où la facture atteint jusqu’à 8 €/m3.


Source  : Agence de l’eau et Sispea, observatoire national des services d’eau et d’assainissement



Si loin du coût réel


Les sécheresses à répétition qui ont frappé et frapperont encore le pays et la région imposeront inévitablement un débat sur le coût et le prix réel de l’eau. Une eau, qui, à l’inverse du gaz ou du pétrole, ne coûte rien en tant que ressource naturelle. On ne paie en réalité que la distribution et l’assainissement. Le prix payé par le consommateur final est de fait déjà biaisé, en sa faveur. La fin de l’abondance va forcément questionner, voire remettre en cause cette façon de faire. Dans la région on n’a pas de pétrole... et on aura de moins en moins d’eau. Pour faire face à ces défis, il nous restera toujours à avoir des idées.


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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeJeu 2 Fév - 8:26

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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeVen 13 Jan - 8:01

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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeMer 7 Déc - 7:54

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Béthune-Bruay: d’ici à 2032, un cap «100% durable» pour les 100 communes de l’agglo




Ce mardi soir, les 152 conseillers de la CABBALR (Communauté d’agglomération Béthune-Bruay Artois Lys Romane) ont voté pour le projet de territoire proposé par la majorité. Qu’est-ce que c’est, à quoi ça sert et pourquoi ce projet de territoire a-t-il mis deux ans et demi à être voté ? On répond.


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Ce mardi soir, Olivier Gacquerre a posé le cadre qui a entouré la réflexion d’un projet de territoire sur l’ouvrage depuis plus de deux ans.
 - LOCVDN




Par Stéphane Leulier
Publié: 6 Décembre 2022 




Un projet de territoire, c’est quoi ?



C’est la feuille de route, le cadre, que se donnent les élus de la CABBALR pour travailler. Rien de révolutionnaire : les conseillers communautaires sont à l’œuvre depuis l’été 2020 et l’élection d’Olivier Gacquerre à la présidence de l’intercommunalité. Ils ont déjà voté des mesures impactantes : une nouvelle taxe concernant la prévention contre les inondations – la Gemapi –, gelé certains projets, lancé d’autres. Ce projet de territoire fait état d’un consensus politique autour de l’action de la CABBALR. Quant au choix de le porter jusqu’en 2032… « Ce n’est pas de la prétention mais de l’ambition », sourit Ludovic Idziak, vice-président investi dans l’écriture du document. « C’est l’aboutissement d’une méthode, synthétise Olivier Gacquerre. L’acte 1 de la fondation de cette nouvelle intercommunalité. Ce soir, c’était l’occasion de laisser derrière nous toutes les divergences, pour nous concentrer sur l’avenir. »


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Les élus communautaires ont voté pour ce projet de territoire qui engage l’agglo dans un cadre pendant dix ans. - LOCVDN

Pourquoi le voter maintenant ?



Deux ans et demi pour écrire un projet de territoire  : un aveu de discordes politiques ou de manque de vision ? Pas du tout, selon Olivier Gacquerre. « En 2020, quand nous sommes arrivés, la fusion entre les précédentes intercommunalités n’était pas terminée. Cela a posé la question du pacte de gouvernance, avec aussi 30 % des maires venaient d’être élus pour la première fois… Il a fallu terminer la fusion administrative, harmoniser les services avec une logique : la proximité. Chaque habitant doit avoir le même service au même tarif. Ça paraît simple sur le papier… mais cela ne l’était pas. En parallèle, il fallait aussi gérer l’urgence sanitaire, économique avec le choc Bridgestone. Et puis il fallait aussi faire le diagnostic : regarder où on en était, voir nos capacités financières… »


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Les élus communautaires ont voté pour ce projet de territoire qui engage l’agglo dans un cadre pendant dix ans. - LOCVDN


Quelle est la philosophie de ce projet de territoire ?





« Une agglo 100 % durable, économiquement, écologiquement et socialement » avec « les habitants au centre des préoccupations ». Les 100 communes constituant la CABBALR font le grand écart entre urbain, rural et minier. Il fallait donc faire œuvre de souplesse tout en collant aux préceptes de Carlos Moreno, chercheur universitaire et père du principe de la ville du quart d’heure. Appliqué à la CABBALR, cela donne le territoire des 30 minutes. Le principe ? Que les services publics soient accessibles à n’importe quel habitant au maximum à 30 minutes de son lieu d’habitation. Le conseil de développement, organe consultatif, a été mis dans la boucle dans un but de concertation. Dans cette veine, un parlement du territoire a été créé, à partir de ce conseil, pour faire le suivi et l’évaluation de l’application de ce projet de territoire. « On est désormais organisés pour être une intercommunalité de projet. Sur l’aménagement, on va être offensifs dans une logique collective », assure Olivier Gacquerre.


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Il a fallu deux ans et demi pour écrire le projet de territoire. Mais selon Olivier Gacquerre, président de la CABBALR, beaucoup de travail en amont était à faire. - LOCVDN


Comment se présente ce projet de territoire ?



Il a été construit autour de 530 M € d’investissement prévu sur les 10 ans à venir. Un chiffre qu’il est bien difficile de comparer avec les dix précédentes années : l’intercommunalité n’avait pas la même taille. Ce projet s’articule autour de quatre grands axes. 42 M € seront dédiés au soutien des 100 communes ; 182 M € à l’adaptation aux conséquences du changement climatique et la protection de la nature ; 199 M € seront investis pour garantir le « bien-vivre ensemble » et la proximité sur l’ensemble du territoire ; 57 M € à l’accélération des dynamiques de transition économique. Enfin, 50 M € des 530 M € d’investissement seront dédiés au patrimoine et aux services.



Béthune-Bruay : réactions face au projet de territoire


Après deux ans et demi de travail et de concertation, la majorité espérait un large consensus autour de ce projet de territoire. Ses attentes n’ont pas été déçues : cette feuille de route a été adoptée à l’unanimité moins deux abstentions. Celles de deux anciens députés de la 9e circonscription : André Flajolet (Saint-Venant), absent ce mardi soir, et Stéphane Saint-André (Béthune).



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Serge Marcellak, maire de Nœux-les-Mines, a voté pour mais émis quelques réserves. - LOCVDN

Par Stéphane Leulier

Cette avalanche de « pour » n’a pas empêché des prises de parole. Le maire de Bruay, Ludovic Pajot (RN) tenait « à saluer le travail réalisé. Ce projet de territoire me semble être un juste compromis entre maîtrise des dépenses, protection de la population contre les inondations, soutien aux projets des communes, respect de la parole donnée par le passé, de l’ambition de nos prédécesseurs, la nécessité de faire des choix. (…) (Il) répond aux besoins de nos communes. Je serai vigilant quant à son application. »


Cohérence d’ensemble



Raymond Gaquère, pour le groupe Ruralité, Solidarité, Proximité, également à l’écriture de ce projet, relevait « une cohérence d’ensemble. Aucun grand sujet n’a été oublié » et logiquement, le soutenait.


Le soutien était beaucoup plus timide du côté du maire de Nœux-les-Mines Serge Marcellak (PS). « Il est difficile d’être contre tant les intentions sont louables. Ceci dit, nous le faisons avec un enthousiasme mesuré. Beaucoup se sont exclamés : "Tout ça pour ça !" même si certains peuvent considérer qu’il manque un peu d’ambition, un peu d’âme sur des sujets qui leur sont chers. Il y a beaucoup de mesures consensuelles que l’on ne peut qu’adopter. Le plus important, c’est s’engager dans la concrétisation, la réalisation de ces objectifs. Nous ne devons pas seulement être à la hauteur, nous devons nous élever à un degré d’exigence qui dépasse la somme des intérêts particuliers. Nous partageons désormais un destin. »



Un destin qu’Emmanuelle Leveugle, présidente d’Eden 62 souhaiterait plus... vert. L’élue beuvrygeoise a déploré que la nature et la protection de la bio-diversité ne soient pas plus au centre du projet. Fort de son écrasante majorité, le président Olivier Gacquerre pouvait conclure : « On passe au territoire de projets en action. »




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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeVen 7 Oct - 9:24

QUAND L 'AGGLOMERATION SUBVENTIONNE LE BAR A BIERES de LA COUTURE ! !!!!!!!! lol!



 Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Logo183

L’agglo met 1,2 M€ sur la table pour financer 22 projets de ses communes 


PAR RUBEN MULLERbethune@lavoixdunord.fr

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Lors du dernier conseil, les élus de la communauté d’agglomération Béthune-Bruay ont voté près d’1,2 M€ de fonds de concours. Ces coups de pouce aideront à financer 22 projets communaux, d’un montant total de près de 6 M€.  

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BÉTHUNOIS-BRUAYSIS.
L’agglo a aussi répondu favorablement à des requêtes sur la mobilité, la randonnée, l’accessibilité… 

Lors du dernier conseil communautaire, les élus de la communauté d’agglomération Béthune-Bruay ont voté les fonds de concours du troisième trimestre 2022. Après avoir octroyé 1,5 M€ lors des deux premiers trimestres, ils ont approuvé une enveloppe d’1,18 M€ pour financer 22 projets communaux, pour un montant total de 5,94 M€ hors taxes (HT). Ces opérations génèrent également 5 153 heures d’insertion.

LECTURE PUBLIQUE, ACCESSIBILITÉ, MOBILITÉ…


Les plus gros coups de pouce abonderont la création de terrains de sport au pôle Léo-Lagrange de Beuvry (245 000 € sur un total de 1,34 M€) ; la création d’une maison des associations à Saint-Venant (192 500 € sur 1,24 M€) ; la phase 3 de l’aménagement du centre-bourg de Chocques (186 000 € sur 713 000 €) ; les travaux de rénovation lourde de l’école du Rietz à La Couture (135 000 € sur 838 000 €) et de la maternelle de Labeuvrière (135 000 € sur 592 000 €) ; et l’installation d’un bar à bières à La Couture (113 000 € sur 282 000 €).

L’agglo mettra également au pot pour une opération en faveur de la cohabitation des modes de circulation à Saint-Venant (50 000 € sur 455 000 €), la rénovation de la chapelle Saint-Élie à Haisnes (20 000 € sur 57 000 €) et le changement de la toiture et l’isolation de la mairie de Linghem (14 000 € sur 48 000 €).

Au rayon développement de la lecture publique, elle financera l’aménagement de la médiathèque de Gonnehem (21 000 € sur 164 000 €) et l’informatique et le mobilier de celle de Burbure (19 000 € sur 38 000 €). Elle consacrera aussi des sommes plus modestes (de 2 000 € à 10 000 €) pour renouveler les fonds documentaires à Lillers, Houdain, Billy-Berclau et Lapugnoy.

L’agglo a aussi répondu favorablement à des requêtes sur la mobilité – création d’un cheminement doux rues Blum et De-Gaulle à Beuvry –, la randonnée – réfection du chemin du Halage à Beuvry et du chemin rural de Bours à Camblain-Châtelain –, l’accessibilité – mise aux normes des sanitaires d’un restaurant à Lorgies et de passages piétons à Beuvry. Enfin, elle apporte son aide pour deux interventions d’urgence dans des mairies : le remplacement du serveur informatique de à Auchy-au-Bois et des radiateurs à Blessy.



L’agglo participera également à hauteur de 250 000 € à la redynamisation urbaine et économique de l’îlot Doyelle. Cette opération de 3,86 M€ HT menée dans le cadre du Nouveau programme de renouvellement urbain (NPRU) générera 5 958 heures d’insertion.

 Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   25548410    Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Cest-p11    Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Adiand10
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La Couture: fini le suspense, le Point Saint-Pierre sera un bar à bières




Les rumeurs allaient bon train. Tout le monde se demandait ce qu’allait accueillir le Point Saint-Pierre, d’autant qu’on parlait aussi de le détruire, tout simplement.


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Stéphanie Tancrez va créer un bar à bières. - VDN

Par Isabelle Lecomte (CLP)
Publié: 21 Septembre 2022 à 17h17





Probablement en février 2023, la nouvelle locataire, une Richebourgeoise, ouvrira un bar à bières. Stéphanie Tancrez à tout lâché pour mener à bien ce projet. Elle a décidé de se poser après 18 ans d’activité dans les arts de la table, jusqu’à devenir cadre et responsable d’un vaste secteur géographique allant jusqu’à la Belgique et au Luxembourg.


L’idée de créer ce type d’établissement lui trotte dans la tête depuis des années. Les parents de Stéphanie Tancrez étaient restaurateurs et brasseurs dans la région lilloise. Elle a baigné dans cette ambiance pendant toute son enfance.


Un endroit familial

En 2018, enfin, elle prend sa décision. Elle part en formation pendant trois ans. Elle est diplômée en 2021 et passe sa licence 3 pour tenir des bars à bière, à vins, à champagne dont la teneur en alcool ne dépasse pas 18º. D’autres formations avec la chambre de commerce et d’industrie, et des contacts avec Artois Initiatives bouclent la boucle. Elle ne veut pas faire un bar comme les autres. « Je veux un endroit familial, convivial ou l’on se retrouve en famille avec les enfants », dit-elle.



Il y aura un coin jeu pour les enfants avec bibliothèque et ludothèque pour les petits et les plus grands. « Je veux travailler uniquement au niveau local ou régional, ce serait dommage avec tout ce qui se fait dans le Pas-de-Calais », indique Stéphanie Tancrez, qui a déjà trouvé les négociants avec qui elle va travailler. Le bar comptera trois pompes et une sélection d’une vingtaine de bières, blanche, brune, blonde… en pression. Il y aura aussi du café, du thé, du chocolat.

Tout le monde y sera bienvenu, « les personnes âgées qui voudront prendre leur café en lisant le journal, je veux de la convivialité, un retour aux sources, des choses simples ». En plus de la bière, Stéphanie servira à ses clients du petit snacking. Il y aura également une étagère avec des produits du cru… et quelques événements.

Pour la petite histoire, le Point Saint-Pierre a été créé pour remplacer l’église en ruines. Bombardée par les Allemands lors de la Première Guerre mondiale, elle n’a pas résisté aux canons. Dès le retour des premiers habitants, comme le raconte l’abbé Dron, par l’intermédiaire de M. Corbeille, les offices ont repris dans différents lieux d’habitation, puis dans un baraquement édifié sur un terrain paroissial.


 Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   B9732139645Z.1_20220921171752_000%2BGKUL9D7JD.1-0Le Point Saint-Pierre lors de son inauguration. - VDN


Le 19 octobre 1919, le conseil municipal octroie la somme de 20 000 francs pour l’édification d’une église provisoire, le baraquement devant servir à abriter les habitants qui réintègrent la commune. Le 17 octobre 1920, on constate que la construction de l’église provisoire est terminée. L’opération aura coûté 43 112,21 francs. Toutes les cérémonies et offices religieux s’y sont tenus jusqu’à l’inauguration de la nouvelle église le dimanche 13 mars 1932.




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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeDim 19 Juin - 7:52

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Béthune-Bruay : la chambre régionale des comptes trouve l’agglo trop timide



La chambre régionale des comptes (CRC) s’est penchée sur le cas de la communauté d’agglomération Béthune-Bruay entre 2017 et 2021. Si elle salue ses finances saines, elle pointe un manque d’intégration et un investissement timide.
 Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   B9731239030Z.1_20220618132511_000%2BGQNKN5B4R.2-0
La chambre régionale des comptes a rendu son rapport d’observations sur la communauté d’agglomération Béthune-Bruay. PHOTO ARCHIVES PASCAL BONNIÈRE - VDNPQR

Ruben Muller – Photo archives Pascal Bonnière
Publié: 18 Juin 2022 à 13h25
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  1. Une agglo « peu intégrée »

La communauté d’agglomération Béthune-Bruay exerce des compétences obligatoires – développement économique, aménagement, déchets, eau… –, ainsi que des compétences supplémentaires dont elle a déterminé l’intérêt communautaire – voiries, équipements culturels et sportifs, action sociale…


Dans son dernier rapport d’observations, la chambre régionale des comptes (CRC) déplore toutefois la restitution de compétences facultatives, comme le relais d’assistantes maternelles, l’éclairage public ou l’entretien de voiries, aux communes des anciennes communautés de communes Artois-Lys et Artois Flandres, qui les exerçaient auparavant : « Cela ne contribue pas à renforcer l’intégration de l’intercommunalité et favorise une répartition des compétences "à la carte". »


De même, la concurrence des SIVOM de l’Artois, du Bruaysis et du Béthunois sur certaines compétences – petite enfance, séniors, santé, ingénierie… – a aussi « comme conséquence de limiter la mutualisation » entre l’agglo et les communes et « ne va pas dans le sens de la simplification administrative ». La CRC note ainsi l’existence de doublons en matière d’action sociale, de petite enfance, d’ingénierie ou d’aide technique aux communes.


Trop de redistribution, pas assez de projets


Sur le plan fiscal, la CRC estime que l’agglo « intervient de manière significative dans la redistribution au profit de ses communes, ce qui limite sa vocation première à porter des projets d’investissement intercommunaux ». Elle constate aussi de « faibles économies d’échelle », les dépenses de fonctionnement des communes étant en augmentation constante – 245,6 M€ en 2019 contre 240,1 M€ en 2017.
La chambre recommande donc de renforcer la mutualisation en actualisant le schéma existant, qui date de 2016, et appelle l’agglo à « finaliser son projet de territoire en vue de formaliser sa stratégie de développement ». Celui-ci est en cours d’élaboration, affirme Olivier Gacquerre, président de l’agglo.


Une situation financière « satisfaisante » mais…


Sur le plan budgétaire, la CRC salue une situation financière satisfaisante, « avec un ratio bas de désendettement » – moins de 3 ans, largement inférieur au plafond de 12 ans admis – et « un impact contenu de la crise sanitaire ». Les charges courantes ont augmenté de 12 M€ de 2017 (91,4 M€) à 2020 (103,1 M€), dont la moitié pour les charges de personnel (34,2 M€ en 2017 contre 40,5 M€ en 2020) mais « cette évolution est liée avant tout à la hausse d’effectif résultant des transferts de compétences ».
La CRC pointe toutefois « des investissements relativement limités, reflet d’une intercommunalité encore trop peu intégrée ». Les dépenses d’équipement par habitant sont certes passées de 113 € par habitant en 2017 à 142 € par habitant en 2020 mais ce montant reste inférieur à la moyenne de la strate (150 €). Elle s’inquiète en outre d’une baisse tendancielle de la capacité d’autofinancement, les dépenses de fonctionnement augmentant plus vite que les recettes. Elle invite donc l’agglo à maîtriser davantage ses charges.


La CRC veut que les agents de l’agglo travaillent plus


Comme dans de nombreuses autres collectivités –  Auchel ou Marles-les-Mines, par exemple –, la chambre régionale des comptes (CRC) note qu’en pratique, les agents de la communauté d’agglomération Béthune-Bruay n’effectuent pas les 1 607 heures de travail annuelles légales, « en raison de l’octroi de huit jours d’autorisation exceptionnelle d’absence ».

Ces jours extralégaux représentent 33 équivalents temps plein et un coût total d’1,4 M€ par an. Parallèlement, le recours aux heures supplémentaires augmente – 23 127 heures supp’ pour 0,46 M€ en 2020 contre 19 457 heures et 0,38 M€ en 2017.

Plan d’actions


La CRC demande donc à l’agglo de respecter les 1 607 heures. « La communauté a engagé dès 2021 un audit organisationnel avec un focus particulier sur les ressources humaines et financières, répond le président de l’agglo, Olivier Gacquerre. Le diagnostic publié en juin a permis d’établir un plan d’actions. La mise en conformité du temps de travail s’inscrit dans une démarche globale de transformation de l’administration pour répondre au projet de territoire en cours d’élaboration. » Elle passera par une négociation avec les syndicats.
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeJeu 31 Mar - 8:13

LES DELIRES DE CERTAINS ELUS QUI NOUS FONT LES POCHES POUR SE METTRE EN VALEUR.


Vous avez aimé le gouffre de la cité des électriciens a Bruay ??? 
Vous aimerez le Dojo de Verquin !


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Le dojo si décrié devrait (enfin) ouvrir ses portes en septembre 

PAR STÉPHANE LEULIERbethune@lavoixdunord.fr

 Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   High_d-20210205-GL4UPM.jpg?crop_x1=0.0212&crop_y1=0.0318&crop_x2=0.9084&crop_y2=0.9764&widthPct=0.53928554&heightPct=0
Avant le début des travaux, qui seront achevés d’ici quelques mois, le CRAM faisait déjà l’objet de bien des débats.

Il en a été question mardi soir, en conseil communautaire. La CABBALR va payer 6,5 M€   cette année pour la fin du chantier. Le dojo qui fait tant débat devrait ouvrir   ses portes en septembre, à Verquin. 




VERQUIN.
Il a fait son retour dans les débats d’une manière plutôt… inattendue. Mardi soir, Jean-Pierre Sansen, au nom du groupe d’opposition la Gauche citoyenne, critiquait le budget primitif, déplorant un manque d’ambition et de prévoyance. De quoi provoquer une montée de sang chez Pierre-Emmanuel Gibson. L’image de la semaine dernière où les deux hommes se présentaient tout sourire, bras dessus, bras dessous, sur le site de la déchetterie de Ruitz, où ont lieu d’importants travaux de rénovation, semblait bien loin… « Tu parlais de choses peu ambitieuses et peu prévoyantes. La vérité, c’est que ceux qui ont voté un dojo sans prévoir son fonctionnement, eux, ils nous ont mis dans la merde. Effectivement, il va falloir ramer pour trouver une solution pour le gérer et le financer », torpillait le conseiller communautaire délégué en charge de la collecte et de la valorisation des déchets. Applaudissements des élus de la majorité.
PAS D’INAUGURATION
« Il nous reste 6,5 M€ à donner, cette année, pour le CRAM sur un budget initial de 25 M€ TTC », expliquait Hervé Deroubaix, vice-président de la CABBALR en charge des finances. L’ouverture des portes du centre régional d’arts martiaux est désormais prévue pour septembre 2022. « Une inauguration ? Je ne sais pas s’il y en aura une », soupire Olivier Gacquerre, qui décrit l’équipement comme « un boulet aux pieds ». « Le fonctionnement n’a jamais été estimé. Dans toutes les projections que nous avons demandées, on n’arrive pas en dessous d’1 M€ par an… » De fait, une ligne a été ajoutée au budget 2022, de quelques centaines de milliers d’euros pour le fonctionnement. En prévision…




FERMETURE SAISONNIÈRE ?




Parmi les scénarios, le président de la CABBALR rappelle la possibilité de le fermer six mois par an. « On ne sait pas ce que ça va pouvoir générer comme recettes… On ne va pas demander aux agents de faire des efforts pour chauffer un bâtiment vide. »




Quant au fait qu’une équipe de sport du secteur élise domicile dans cette salle… « Ça ne changera rien sur le coût du fonctionnement, balaie Olivier Gacquerre. Quand le Béthune futsal ou une équipe de hand va vouloir jouer, il faudra aménager la salle, bouger les tapis. Cela prend une semaine… »




Les pistes s’orientent vers de l’événementiel sportif, le bâtiment n’ayant pas vocation à accueillir des spectacles (trois concerts seront exceptionnellement autorisés par an). La dernière remarque concerne l’équipement du lieu : 4G, 5G, éclairage… aux dires de la nouvelle majorité, rien n’a été prévu.








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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeMer 30 Mar - 7:29

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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeJeu 3 Fév - 12:36

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lol! lol! lol!
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeJeu 25 Nov - 17:48

Quatre rendez-vous pour imaginer l’agglo Béthune-Bruay de demain

À Auchel, Isbergues, Houdain et Beuvry, du 29 novembre au 10 décembre, les habitants de la CABBALR sont invités à donner leurs idées dans le cadre de l’écriture du projet de territoire qui sera voté en juin 2022.

St. L. | Publié le25/11/2021


 Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   B9729111271Z.1_20211125111135_000%2BGKAJDF2T0.2-0
Les habitants de l’agglo sont appelés à donner leurs idées pour le projet de territoire qui sera voté en juin prochain. - 

VDNPQR




C’est l’un des grands chantiers mis en œuvre par le nouveau président Olivier Gacquerre et la nouvelle majorité de l’agglo. L’écriture d’un projet de territoire. Autant une feuille de route qu’un moyen de marquer le début d’un nouveau chapitre politique à la tête de la CABBALR dont la majorité, depuis 2001, était socialiste. Ce projet doit être adopté en juin 2022. Après avoir élaboré un diagnostic (de février à avril 2021) puis avoir identifié les enjeux stratégiques (de mai à octobre 2021) qui ont été votés dans le contrat de relance et de transition écologique, vient le temps de définir les actions à mener.
Comme pour Béthune, dont il est maire, Olivier Gacquerre et sa majorité entendent concerter les habitants pour les inclure dans le projet. Quatre réunions de concertation sont ainsi organisées : le lundi 29 novembre à Auchel, le jeudi 2 décembre à Isbergues, le vendredi 3 décembre à Houdain et le vendredi 10 décembre à Beuvry. Au programme des discussions : déplacements, logement, économie, formation, alimentation, santé et loisirs.




Les rendez-vous :
 à Auchel, le 29 novembre à 18 h, salle du Marché couvert, place Jules-Guesde ;
 à Isbergues le 2 décembre à 18 h, salle Lamendin, rue Lamendin ;
 à Houdain le 3 décembre à 18 h, salle polyvalente, 8 rue Roger-Salengro ;
 à Beuvry le 10 décembre à 18 h, salle des Fêtes, rue J.-M. Leclercq.


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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeMar 23 Nov - 18:45

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Agglo Béthune-Bruay: vers la fin du ramassage des déchets verts?


Et si l’agglomération décidait de ne plus assurer de collecte en porte à porte ? C’est un scénario qui n’est pas à exclure


ParStéphanie Hameaux | Publié le26/05/2021



 Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   B9727158614Z.1_20210526153825_000%2BGBEI6NGM6.1-0
25000 bacs verts ont été distribués dès janvier 2016 dans 35 communes de l’agglomération afin de remplacer les fagots ou les sacs posés sur le trotto

Des propos qui ne sont pas tombés dans l’oreille d’un sourd. Lors d’une présentation du rapport sur la situation en matière de développement durable de la communauté d’agglomération, Ludovic Idziak en a profité pour glisser un mot sur le ramassage des déchets verts. Un service offert à la population, en porte à porte ou en levée de bac vert. Se dirige-t-on vers la fin de ce service ?


« C’est un vrai sujet, c’est 3 millions d’euros par an », lâche le maire de Calonne-Ricouart et vice-président en charge de l’environnement et du Plan Climat air énergie territorial à la Communauté d’agglomération Béthune-Bruay Artois Lys Romane. Un sujet à traiter dans le projet de territoire dont il faudra déterminer le squelette de façon collective, avec les élus communautaires. « Il faut un vrai débat au niveau des déchets en général. On a un centre de valorisation énergétique, un centre de tri inadapté, on a un plan déchetterie à mettre en place. On est dans le siècle de l’économie sociale et solidaire, on se questionne sur le réemploi, etc. Pour les déchets verts, j’ai un avis assez tranché. Comment on a fait depuis des siècles ? »

Miser sur le compost



Le vice-président amène des réponses, « il y a le compost au fond de son jardin. Rien ne se perd, tout se transforme. » Et pour ceux qui n’auraient pas la place d’installer un composteur, un aller-retour à la déchetterie est toujours envisageable. Ludovic Idziak pense également ville et non agglomération, « on peut aussi imaginer des composteurs de quartier, c’est du circuit court. »


Pour Pierre-Emmanuel Gibson, premier adjoint à Béthune et conseiller délégué en charge de la collecte et de la valorisation des déchets et des équipements communautaires, l’arrêt du ramassage des déchets verts se fera naturellement« C’est quand même bien dommage de mettre de l’herbe dans des sacs-poubelles. Idem pour les déchets de repas, alors que le compostage est possible tout en réduisant les déchets. Et si demain, on n’a plus besoin du ramassage, c’est que l’on aura bien avancé. La dynamique est déjà bien enclenchée, on n’a jamais vendu autant de composteurs à l’agglomération. »


Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) :Traitement des déchets|


lol! lol! lol! C ' EST VRAI CA ...COMMENT ON FAISAIT DEPUIS DES SIECLES ??? 


On brulait ... Monsieur Ludovic Idziak  lol! lol! lol!


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Dernière édition par ACARIE le Jeu 31 Mar - 8:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeMar 23 Nov - 18:35

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https://www.terresdunordmatin.com/post/pouvoir-d-achat-ultime-tentative-pour-annuler-la-nouvelle-taxe-de-l-agglo-béthune-bruay


POUVOIR D'ACHAT : ULTIME TENTATIVE POUR ANNULER LA NOUVELLE TAXE DE L'AGGLO BÉTHUNE-BRUAY ?
Dernière mise à jour : oct. 19

[size=18] Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   7dd3e6_b87fd4e3cd1f465ab02e6f6a747be6b3~mv2
[/size]NEUTRALISER LA NOUVELLE TAXE PAR LE VOTE D'UN TAUX ZÉRO ?



[ltr]Thierry Tassez maire de Verquin ne fait pas de la politique spectacle. Le développemnet réussi de sa commune, notamment dans le domaine économique, en témoigne. Les préoccupations des citoyens du territoire, il en connaît un bout, et c'est au nom de la préservation de leur pouvoir d'achat, qu'il a combattu l'instauration d'une nouvelle taxe par l'agglo Béthune-Bruay, qui va alourdir inutilement la fiscalité du territoire déjà peu attractive, et qui va pénaliser lourdement les classes moyennes, déjà fortement sollictées par ailleurs.[/ltr]

[ltr]La fin ne justifie pas les moyens (lire ici)[/ltr]

[ltr]C'est pourquoi, il a tenté d'expliquer au président de l'agglo, l'investigateur de cette taxe, par un bilan avantages-inconvénients, la nécessité de la neutrtaliser par le vote d'un taux zéro, le principe en ayant été voté, dans la précipitation et sans réelle réflexion globale.[/ltr]
Sans trop d'illusion .


Son instauration a sans doute d'autres motivations que la lutte contre les inondations et serait, soupçonne-t-on, plus de nature budgétaire.

Personne n'est dupe, mais les délégués communautaires protégés par le bouclier de l'anonymat (c'est la faute à l'agglo), se complaisent, au mieux (1), en absurdité, et font "comme si" dirait Camus.

Pour équilibrer un budget, il faut avoir le courage de réduire certains dépenses de fonctionnement : "réduire leur voilure". D'autres péfèrent la facilité et choisissent d'augmenter les recettes fiscales par une nouvelle taxe...

En ce qui concerne les dépenses d'investissement, pour lutter contre les innondations, faisons appel à l'emprunt, les taux avoisinent zéro, au lieu de taxer aveuglement !

(1) Par charité chrétienne, nous tairons les noms, certains délégués qui justifient la taxe pour combattre la montée des eaux des océans, et protéger, entre autres, par solidarité Boulogne-sur-mer ! On attend aussi avec beaucoup d'impatience les explications que s'est engagé à fournir le maire de Labourse à ses concitoyens... Lui qui a besoin de mobiliser, et cela a un coût certain, les services communautaires pour expliquer comment composter ses déchets verts. Une formation sur les économies des dépenses de fonctionnement serait une initiative souhaitable, nous semble-t-il !.

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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeLun 26 Avr - 9:46

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L’Agglo ne veut plus « tout payer » à la Cité des Électriciens  





LUCAS GELLÉ  lgelle@lavenirdelartois.fr

 Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   High_d-20190430-3TNFEU.jpg?crop_x1=-0.0&crop_y1=0.0025&crop_x2=1.0&crop_y2=1.0&widthPct=0.7249972&heightPct=0
La participation 2021 de l’Agglomération de Béthune-Bruay à la Cité des Électriciens n’a pas encore pu être votée.

Le budget 2021 de la cité des Électriciens n’a pas encore pu être voté. En cause, une rupture des discussions sur le montant alloué par l’Agglomération de Béthune-Bruay à l’équipement culturel 

 

Ça coince sérieusement du côté de la Cité des Électriciens. Une situation inédite depuis l’inauguration de l’équipement culturel en 2019. En cause, la volonté de l’Agglomération de revoir sa participation à la baisse. Un sujet qui a été évoqué lors du dernier conseil communautaire du 13 avril dernier. La collectivité souhaite diminuer sa contribution annuelle de 900 000 à 700 000 euros. « Il s’agissait d’une proposition de transition pour l’année 2021, le temps de trouver d’autres moyens de financement. Cela n’a aucune conséquence sur l’emploi ou sur le fonctionnement de la structure pour cette année », présente Julien Dagbert, président de l’établissement public de coopération culturelle (EPCC), la structure juridique de la Cité des Électriciens. Sauf que lors du dernier conseil d’administration le président « a été mis en minorité » , dixit Olivier Gacquerre, président de l’agglomération. Car la majorité des membres du conseil s’est opposée à la révision des statuts permettant à l’Agglomération de baisser sa participation. « C’est quand même extraordinaire, s’insurge Olivier Gacquerre. Ce sont ceux qui payent le plus qui ne peuvent pas être décideurs. »


PLUSIEURS RÉUNIONS


La situation est donc en pause, le temps de trouver un terrain d’entente. Ce qui n’a pas forcément de grande conséquence pour le moment, puisque les salaires des 17 employés de la structure sont versés et que la Cité des Électriciens est actuellement fermée à cause de la crise sanitaire. Mais les discussions s’annoncent particulièrement délicates. « On a rencontré trois fois la direction de la Cité, pour voir ce qu’on pouvait faire, pour trouver de nouvelles solutions de recettes, mais dans notre dos on envoie des scenarii qui expliquent que la baisse serait synonyme de suppression d’emplois, de fermeture partielle du site… »


UN MANQUE DE PROJET ?


Mais la position de l’Agglomération n’évoluera pas : 700 000 euros, pas plus. Et d’ailleurs, le président Gacquerre souhaite davantage de projection sur l’avenir de la part de l’EPCC. « On nous demande de mettre de l’argent sur la table alors que l’activité n’est pas posée. Je ne dis pas que l’outil n’a pas d’utilité, il est très intéressant. Mais on ne peut pas continuer comme ça. On ne peut pas tout payer ! » Pour étayer son propos, Olivier Gacquerre assure même qu’il a refusé de signer la convention liant l’Agglomération à la Cité des Électriciens. « Dans cette convention, on devait tout payer. Les salaires, les travaux de la maison des Ingénieurs, les espaces verts… Ce n’était même plus 900 000 euros, mais plus d’un million ! Comment voulez-vous qu’on demande au maire d’une petite commune de faire des efforts pour boucler son budget d’un côté et que, de l’autre, on sorte autant d’argent pour une structure où les choses ne sont pas claires ? »
Olivier Gacquerre a donc voulu mettre le holà en attendant que la situation se décante.
Julien Dagbert, également à la culture à l’Agglomération de Béthune-Bruay va donc s’employer à retravailler le projet d’équipement, en collaboration avec le conseil d’administration. « C’est un projet qui est à réécrire pour pérenniser l’équipement » , précise-t-il. Même si les positions divergent, tous souhaitent faire rayonner cet équipement unique dont la création a nécessité 18 millions d’euros d’investissement.




La crainte d’une « friche culturelle »  


Lors du conseil d’agglomération, Robert Mille, adjoint à la culture de Bruay-la-Buissière et membre du conseil d’administration de la Cité des Électriciens a pu préciser sa position concernant son vote contre la baisse de participer de l’Agglomération. « Ce n’est pas un équipement qui est destiné à devenir une friche culturelle. L’EPCC n’a pas eu le temps de prouver sa rentabilité », présente-t-il, en qualifiant la décision de l’Agglomération de prématurée. Même position du côté de Ludovic Pajot, maire de Bruay, qui s’est également opposé au changement des statuts. « Je ne suis pas contre des économies évidemment. Sauf que quand je demande à l’EPCC son projet pour les années à venir, on me répond que l’Agglomération a demandé de baisser les financements et c’est tout. »



La Cité des Électriciens est financée à hauteur de 900 000 euros par l’Agglo Béthune-Bruay, 200 000 euros par le Département, 50 000 par la Région et 25 000 par la Drac.


+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Cette cité est un gouffre financier 


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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeJeu 15 Avr - 9:00

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15/04/2021

Le centre de supervision urbain est dans les tuyaux mais il sera communautaire

 

PAR STÉPHANE LEULIERbethune@lavoixdunord.fr


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Pour Olivier Gacquerre, maire de Béthune et président de l’agglo, 
ce centre de supervision urbain doit être doit être communautaire.


 PHOTO illustration PIERRE ROUANET

Quelle place et quel avenir pour la police municipale ? À l’heure des débats sur la loi de sécurité globale, il est question de l’installation d’un centre de supervision urbain à Béthune. Il sera communautaire ou ne sera pas, pour Olivier Gacquerre.  



BÉTHUNE.
La question est naturellement venue de l’élu d’opposition RN. Avec 200 caméras de vidéo-surveillance dans la commune, lorsque la majorité municipale évoque la création d’un centre de supervision urbain (CSU), Alexandre Maeseele a demandé des précisions sur le calendrier. « Pourquoi ne pas aller plus loin ? Quid de l’armement des policiers municipaux ? "


J’ai du mal quand on voit se substituer une police municipale à la une police régalienne qui diminue en effectifs. OLIVIER GACQUERRE 


« Le partage des missions entre police nationale et municipale n’est pas clair, argumentait Olivier Gacquerre. De plus en plus, on amène la police municipale à avoir des missions de police nationale. Aujourd’hui, c’est à l’appréciation du maire, pas du conseil municipal. Si on veut faire une brigade de nuit qui intervient à la fermeture des bars tous les samedis, on expose plus nos polices… » Mais l’élu ne voit pas l’évolution de sa police dans ce sens. L’édile attend une position des parlementaires, qui étudient le projet de loi sur la sécurité globale, tout en estimant que la police nationale manque d’effectifs et donc de moyens sur le territoire. « J’ai du mal quand on voit se substituer une police municipale à la une police régalienne (nationale, ndlr) qui diminue en effectifs. »


LE CENTRE DE SUPERVISION
SERA COMMUNAUTAIRE



Stéphane Saint-André (Radicaux de gauche) se dit « fermement contre un centre de supervision » et craint « l’effet Big brother ». Olivier Gacquerre lui répond sur la possibilité d’anticiper et d’intervenir « pour éviter qu’il y ait une problématique. Les caméras permettent de piloter la ville, d’avoir des statistiques, une réalité, une image de ce qui se passe dans la ville. »


Béthune ne mettra pas de centre de supervision urbain en place seule. Le maire va saisir l’agglo, dont il est le président. « C’est un sujet qui doit se traiter à cette échelle sans tomber dans la doctrine tout sécuritaire. » 


Une portée communautaire qui n’a pas manqué de faire sourire Alexandre Maeseele. « Je me souviens, lors du seul débat qui nous a opposés, que vous demandiez comment il était possible de mettre en place un CSU intercommunal… » « J’aurais été prétentieux à l’époque de dire que c’était possible », répondait le maire qui souhaite « garder une relation de confiance avec les habitants » sur ce sujet.


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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeMar 22 Déc - 8:15

Cité des Électriciens en questions ...



par Anne-Claire Guilain... la  voix du nord


Ou comment dilapider l'argent des contribuables et des entreprises comme Bridgestone 


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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeVen 27 Nov - 8:41

ENFIN UN PEU DE SERIEUX DANS LA GESTION FINANCIERE DE L 'AGGLOMERATION 


Je dénoncais  ici le cout de la renovation des taudis de la cité des électriciens de Bruay qui se montait a 14 ou 15 millions d 'euros ...on apprend maintenant que les pertes de gestion annuelles sont aussi exorbitantes et se montent a 980 0000 euros par an ! ! ! 




Idem pour les installations de loisirs et sportives  de Noeux les mines 




LA VOIX DU NORD 

Délégations de service public et investissements sur pause à l’agglo  


PAR STÉPHANE LEULIER  bethune@lavoixdunord.fr




 Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   High_d-20200707-GGX4F8.jpg?crop_x1=-0.0&crop_y1=0.0199&crop_x2=0.9207&crop_y2=0.968&widthPct=0.5392852&heightPct=0
Le changement de gouvernance va s’accompagner de choix différents quant aux équilibres budgétaires du territoire.


Il manque 6,5 M€ pour équilibrer le budget. Le président de l’agglo Olivier Gacquerre a appuyé sur la touche « pause » pour les grands investissements prévus sur le territoire.   Il pose aussi la question des délégations de service public. 




BÉTHUNE.
Dans l’idée du président de l’agglo Olivier Gacquerre, il s’agit avant tout d’assurer le développement économique d’un territoire morcelé qui doit construire une histoire commune. Ou, formulé en ses termes : « Comment peut-on réduire notre fonctionnement pour dégager une capacité d’investissement ? »


Comment  peut-on réduire notre fonctionnement pour dégager une capacité d’investissement? 


La réponse se trouve du côté « des grands équipements structurels que nous avions prévus : les conservatoires de musique, le plan piscine, le centre régional des arts martiaux. Cela pose la question des investissements et du fonctionnement. »


FAIRE VENIR LE PRIVÉ


Le président de l’agglo pointe son index sur un équipement bruaysien. « La Cité des électriciens, c’est 980 000 € de fonctionnement par an. C’est juste plus possible. Surtout que nos équipements ne sont pas mis en réseaux : il n’y a pas de pass culture, pas de pass sport. » Il veut en revoir la programmation, qu’il juge aujourd’hui trop tournée vers la médiation sociale.


Olivier Gacquerre préside aux destinées de l’intercommunalité avec le style qu’il a imprimé à Béthune, consistant à mettre en place des délégations de service public pour gérer des infrastructures communales dès que cela était possible tout en vendant le patrimoine dès lors qu’il était jugé difficilement exploitable. « Loisinord, c’est un outil audacieux, qui a marqué le territoire. Mais ce n’est pas un outil que l’on va massifier. Est-ce qu’il répond à un usage local populaire ? Plus vraiment. On n’arrive pas à en faire un outil performant sur le territoire. Ce site a besoin d’un second souffle. Chaque jour qui passe, il coûte 5 000 € à l’exploitation quand il ramène à peine 1 000 € de recettes. On perd beaucoup d’argent. Je l’ai dit au maire de Nœux qui contribue à hauteur de 1,3 M€ par an. Qu’est-ce qu’on fait de ces équipements ? Qu’est-ce qu’on garde en gestion directe, qu’est-ce qu’on passe en délégation de service public ? »


LES GROS PROJETS GELÉS


Le plan piscine – « sept à mettre à jour et deux constructions » – et le projet des deux conservatoires – l’un à Béthune, l’autre à Bruay pour 30 M€ – sont donc mis sur pause. « Pour la piscine de Bruay, on cherche un plan B. J’ai lancé trois ou quatre pistes dont une qui est assez mûre mais qu’il faut présenter à l’exécutif. L’autre projet, à Cambrin, doit se faire sur un terrain dont on n’a pas encore la maîtrise foncière. Je ne sais pas quand on sera capable de la sortir de terre. » Pour les conservatoires, le président dit également être sur un plan B. « On ne peut pas les financer », rappelant qu’à ce jour, il manque 6,5 M€ pour équilibrer le budget de l’interco.


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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeDim 1 Nov - 8:57

LA VOIX DU NORD du 01-11-2020

ÉCHOS DE CONFINEMENT 


 
 
 

BÉTHUNOIS – BRUAYSIS.


« Être proche de ses habitants et de ses élus », c’est le souhait que vient d’émettre Olivier Gacquerre, président de la CABBALR, Commmunauté d’agglomération de Béthune-Bruay Artois Lys romane.
En temps de Covid-19, cela se traduit, explique l’élu, par « la création d’une cellule de crise qui va nous permettre de faire un point journalier, de prévenir des risques et de prendre les décisions face à la situation impactant le fonctionnement des activités ».
 Les élus disposeront à compter de demain d’une ligne téléphonique dédiée pour répondre à leurs questions, doublée d’un mail. Un groupe WhatsApp rassemble par ailleurs 60 élus à ce jour, un lieu virtuel « d’échange de bonnes pratiques ».

D’autres initiatives pourront être prises en fonction de l’évolution de la situation sanitaire, notamment à destination des plus fragiles.


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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeMar 6 Oct - 8:11

LA VOIX DU NORD  06-10-2020


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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeSam 11 Juil - 8:24

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AGGLO BETHUNE-BRUAY : UN PRESIDENT OTAGE SANS MAJORITÉ



juillet 10, 2020

« Gauche trahie », peut-on lire sur les réseaux sociaux (et sur le site des Hauts de France Médias également), en ce qui concerne l’élection du maire de Béthune à la présidence de l’agglo. Le maire de La Couture est pointé du doigt par les derniers séides locaux de la Rose et du Point, ainsi que son soi-disant mentor, ex-ministre, élevé au rang de Grand Marionnettiste.



Nous assistons à vrai dire à une séance collective de défoulement thérapeutique par la désignation de boucs émissaires.



Qui a trahi la Gauche ? Le maire de Verquin qui s’est associé à André Flajolet, maire Les Républicains de Saint Venant, ou le maire de La Couture qui s’est associé au maire de Béthune, président départemental de l’UDI ?



Cette fausse querelle masque en fait une réalité encore plus décevante : une carence totale en propositions de projet de territoire. Les délégués élus se sont prononcés, uniquement, en fonction de marchandages plus ou moins politiciens et honteux, et non en fonction d’orientation de développement du territoire.



L’abandon du projet du centre Régional d’Arts Martiaux, n’est qu’un cache sexe du vide programmatique, d’autant plus qu’il serait ruineux pour les finances de l’agglo. Encore qu’Olivier Gacquerre est connu pour jeter l’argent public par les fenêtres, comme il l’a fait avec une ardoise de 1 800 000€ pour l’abandon du projet béthunois de son prédécesseur, du pôle de loisirs de la gare et de sa patinoire. Il est fort probable qu’il négocirera le maintien du Centre Régional contre le financement de sa patinoire…



La réalité du suffrage, au-delà de son score trompeur est que le président n’a pas de majorité, et l’agglo va devenir un bateau ivre gouverné en fonction de majorité de circonstance. Toute chose  égale par ailleurs, on va se trouver dans un contexte rappelant la III eme République.



La gouvernance par l’immobilisme  sera la seule solution pour rester au pouvoir et une neutalité politique lors des prochaines échéances électorales…



Pourquoi ce fiasco ?

Parce que les délégués ont élu un président qui comme eux, du moins ceux qui ont voté pour lui, n’ont rien compris à la coopération intercommunale de développement. Celle que devrait incarner la communauté d’agglomération. Ils n’ont pas compris qu’ils ne sont pas les représentants de leurs communes venus cherché des financements pour leurs projets communaux, mais les représentants d’un territoire global avec des choix structurants pour son développement.



« Chaque commune aura sa part du gâteau » déclare explicitement le nouveau président. C’est la négation même d’un projet de territoire. Ce sont les conservateurs frileux et rétrogrades qui ont gagné, avec leurs modes de pensée dépassée, pas ceux qui pensent territoire et développement comme le maire de Verquin !



COMBIEN À L’AGGLO ?

Encore une arnaque que masquera dans  les semaines qui  viennent une communication musclée qui tiendra lieu de projet de territoire.



Une fois encore ce sont les habitants du territoire qui seront les dindons de cette triste mascarade.



 Front Populaire du béthunois

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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeSam 11 Juil - 7:50

LA VOIX DU NORD


Raymond Gaquère assure n’avoir donné aucune consigne de vote 




PAR ISABELLE MASTIN bethune@lavoixdunord.fr


 Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   High_d-20141211-36TDPA.jpg?crop_x1=0.1283&crop_y1=-0.0&crop_x2=0.8717&crop_y2=1.0&widthPct=0.53928554&heightPct=0
Raymond Gaquère était vice-président sous la précédente mandature,
 il le restera sous l’actuelle.
 PHOTO PASCAL BONNIèRE


À la tête d’un groupe d’élus ruraux, Raymond Gaquère, maire de La Couture, affirme n’avoir donné aucune consigne de vote pour l’élection du nouveau président de la CABBALR, communauté d’agglomération de Béthune Bruay Artois Lys romane. 



BÉTHUNE – BRUAY.
Raymond Gaquère et son groupe d’élus ruraux, Ruralité, Solidarité, Proximité, ont-ils été les faiseurs de roi de l’élection du nouveau président de la communauté d’agglomération de Béthune Bruay Artois Lys romane, mercredi soir ? On n’emmènera pas le maire de La Couture sur le terrain du pourquoi du basculement de l’assemblée dans les bras du challenger du dauphin d’Alain Wacheux.


Malgré tout, l’élu socialiste admet « qu’on le sentait arriver, mais pas de cette ampleur. On avait alerté à travers nos discussions ». Défiant les statistiques, son presque homologue béthunois, le centre-droit Olivier Gacquerre a devancé sans appel son challenger de gauche Thierry Tassez : 96 voix contre 53.


S’il refuse d’avancer trop sur le terrain du pourquoi, il assure « n’avoir donné aucune consigne de vote aux autres maires. Je n’ai pas à leur dire quoi faire ». Tandis que le 2 juillet, Thierry Tassez revendiquait un soutien garanti dudit groupe, Raymond Gaquère avait aussitôt nuancé : non, rien n’était fait. Le lundi suivant, 6 juillet, « nous avons reçu les deux candidats au nom du groupe.
 Nous avons défendu notre projet de territoire » et mis en avant les valeurs chères au collectif : la ruralité et la représentativité des petites communes dans la grande masse de l’agglo. « Thierry Tassez et Olivier Gacquerre se sont exprimés, puis chacun de nous s’est décidé en son âme et conscience », sur le fond plus que « sur la couleur politique ».


« DERRIÈRE LE CANDIDATEN TÊTE »


Raymond Gaquère assure que « nous aurions voulu qu’ils s’unissent dans la gouvernance ». Manqué. Alors les urnes ont parlé mercredi soir et le candidat porté par le président sortant Alain Wacheux a été battu dans un aréopage pourtant resté ancré à gauche après les municipales. « Ils se sont bien battus. On avait dit qu’on se mettrait derrière le candidat en tête. »


Vice-président sous la précédente mandature, Raymond Gaquère le restera sous l’actuelle, candidat réélu face à Catherine Decourcelle (Drouvin-le-Marais) qui a attiré 53 (aussi) des 152 voix. Mais hier, on devinait à sa voix qu’il est éprouvé. Cible de critiques et de rancœurs, il ne veut pas en dire plus et préfère laisser du temps au temps « pour apaiser » le climat ambiant.
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeJeu 9 Juil - 17:50

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QUAND RAYMOND GACQUERRE FAIT ÉLIRE OLIVIER GACQUERRE À LA PRÉSIDENCE DE L’AGGLOMÉRATION BÉTHUNE-BRUAY



juillet 8, 2020



Ce mercredi au conseil communautaire, les délégués de l’agglomération Béthune-Bruay ont élu Olivier Gacquerre à sa présidence.

 Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   B9723963229Z.1_20200708194053_000%2BG7KGA6R4Q.3-0
Olivier Gacquerre a obtenu une large majorité : 96 voix contre 53 à son challenger, Thierry Tassez. PHOTO LUDOVIC MAILLARD – VDN
 

Pas de surprise en début de séance, à l’appel des candidats. « Je présente la candidature d’Olivier Gacquerre, annonce Maurice Leconte (Houchin). Faites attention, il y a deux homonymes : celui pour lequel je vous demande de voter s’écrit avec un «Q». » Pour l’exécutif sortant, Serge Marcellak (Nœux-les-Mines) présente Thierry Tassez


Les délégués communautaires ne se sont pas trompé d’orthographe : à l’issue du vote, Olivier Gacquerre recueille 96 voix contre 53 à Thierry Tassez.


Visiblement le groupe des pseudo-maires ruraux, sous à houlette de Raymond Gacquerre a voté pour le maire de Béthune.  On sait à qui obéit le maire de Lacouture….Comme le maire de Barlin Dagbert, fils du sénateur.

 Les masquent tombent .




lol! lol! lol!
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeJeu 9 Juil - 10:16

nous l avons écrit, réécrit et re réécrit, la droite et le centre droit loconois en présentant 2 listes aux municipales a marginalisé l influence du maire Rose à l agglo !

résultat : Hinges et La Couture ont un VP: bingo les subventions pour leurs communes !

merci aussi à mr Acarie d avoir tout fait pour avoir 2 listes !
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeJeu 9 Juil - 9:19

une fois de plus,  Raymond Gacquere, le véritable leader des communes du bas pays, a donné une leçon de politiques à nos élus ados...

lui et sa suppléante conseillere générale de Beuvry, ont réussi à se faire élire vice président ..

Après l abandon du dojo, va t on abandonner la rénovation XXL du centre bourg de Locon?
...depuis très longtemps le véritable centre des 2 communes est sur La Couture et il est réaménagé depuis fort longtemps !

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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeJeu 9 Juil - 9:06

LA VOIX DU NORD


Olivier Gacquerre est le nouveau président de l’agglomération 


PAR RUBEN MULLER ET ISABELLE MASTINbethune@lavoixdunord.fr

 Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   High_d-20200708-GGY27D.jpg?crop_x1=0.1139&crop_y1=0.0281&crop_x2=0.8404&crop_y2=0.9781&widthPct=0.53928554&heightPct=0
Olivier Gacquerre a obtenu une large majorité: 96voix contre 53 à Thierry Tassez. 
PHOTO LUDOVIC MAILLARD


Hier au conseil communautaire, les délégués de l’agglomération Béthune-Bruay ont élu Olivier Gacquerre à sa présidence. Le maire de Béthune a battu son homologue verquinois Thierry Tassez, pourtant soutenu par le président sortant, Alain Wacheux. 

 


BÉTHUNE-BRUAY.
Pas de surprise en début de séance : comme ils l’ont annoncé, Olivier Gacquerre et Thierry Tassez sont candidats à la présidence de l’agglo. Le premier recueille 96 voix, le second, 53.


Nous devrons faire le grand écart entre les services du quotidien et les projets structurants. OLIVIER GACQUERRE 


« Je serai au service du territoire, promet le vainqueur. Nous avons une feuille de route, il faudra des actes pour nous engager sur un chemin commun, en oubliant les péripéties d’une campagne qui n’a pas toujours été amicale. Notre challenge sera de faire le grand écart entre les services du quotidien et les projets structurants. »


THIERRY TASSEZ BEAU JOUEUR


« Le combat fut rude, pas toujours courtois, convient Thierry Tassez. Ce temps passé, voici venu celui de la construction. Bon vent à vous et à vos vice-présidents. Je termine sur un clin d’œil à mes filles qui ne voulaient pas que je me présente : au moins deux personnes sont contentes ce soir ! »


Au tour de Ludovic Pajot (Bruay-La-Buissière) de féliciter le président au nom des élus du Rassemblement national : « Les défis sont grands : il faudra définir un projet de territoire lisible et en adéquation avec les aspirations de nos populations. Il faudra accentuer les politiques publiques de lutte contre les inondations, s’abstenir de toute hausse d’impôts, faire du développement économique une priorité, de la proximité une réalité. La sécurité et la santé seront des enjeux majeurs du mandat. Vous me trouverez à vos côtés quand vos décisions iront dans le sens de l’intérêt général. »


Yvon Massart (Chocques) plaide pour un exécutif large : « Vos programmes n’étaient pas très distincts, nous sommes capables d’assumer ces tâches ensemble, entre républicains. Je vous demande de faire en sorte que l’exécutif prenne en compte toutes les sensibilités qui se sont exprimées ce soir, pour qu’on travaille ensemble et que le populisme disparaisse de notre agglomération. »


Première décision du nouveau président : la suspension des travaux du centre régional d’arts martiaux de Verquin. Comme le coup de grâce à Thierry Tassez.



Toujours 15 vice-présidents 



Après le président, les délégués doivent élire 15 vice-présidents, autant que lors du mandat précédent. Malgré un large consensus pour voter à main levée pour les postes n’attirant qu’un candidat, ils sont partis pour se plier au code des collectivités : autant de scrutins à bulletins secrets que de postes à pourvoir.



Après les élections de Maurice Leconte (Houchin), Steve Bossart (Billy-Berclau) et Corinne Laversin (Hinges), Ludovic Pajot propose de passer à un vote de liste. La suggestion est approuvée à l’unanimité.

Vers 23 h, Olivier Gacquerre présente l’exécutif complet : Jacky Lemoine (Divion), Raymond Gaquère (La Couture), Philippe Scaillierez (Labourse), Philibert Berrier (Auchel), Bernard Delelis (Gonnehem), Julien Dagbert (Barlin), David Thellier (Isbergues), Hervé Deroubaix (Robecq), Virginie Souilliart (Gosnay), Alain de Carrion (Vermelles), Ludovic Idziak (Calonne-Ricouart) et Lélio Pédrini (Camblain-Châtelain) intègrent la gouvernance.



OÙ SONT LES FEMMES ?



Deux femmes sur quinze vice-présidents, compte Emmanuelle Leveugle (Beuvry) : « Nous sommes 47 femmes, soit 31 % de l’assemblée. Il aurait fallu cinq vice-présidentes pour respecter cette proportion. Lors de ses derniers vœux, Alain Wacheux s’y était engagé. Ce soir, mon espoir s’éteint. »

Les délégations des vice-présidents, « en réflexion », seront attribuées par arrêté « dans les jours qui viennent. Des engagements ont été pris ». Maurice Leconte sera ainsi chargé de l’agriculture et de la ruralité. Quatre autres postes seront dédiés à la gestion des quatre territoires dont la création a été promise par le candidat Gacquerre. Cette semaine, le président nommera également des conseillers délégués « avec de vraies missions structurantes ».
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Je félicite Olivier Gacquerre pour son élection , avec qui j 'ai toujours entretenu de bonnes relations ...nous nous étions connus dans ses tous débuts dans des réunions "café philo" où nous nous battions contre J.Mellick  ...aux temps heureux de l ' UDF...  c 'était  vers 2005-2007 ...


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Dernière édition par ACARIE le Jeu 9 Juil - 9:25, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeMer 8 Juil - 9:28

Quel sera le choix de Monsieur Leleu , le représentant des habitants de Locon a la CABBALR ?   A t 'il reçu des instructions du conseil municipal ? 
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeMer 8 Juil - 9:08

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CUMMUNAUTÉ D’AGGLOMERATION BETHUNE BRUAY LYS ROMANE : CERTAINS DES QUELQUES SOUTIENS DU MAIRE DE BETHUNE ONT COMME UNE ODEUR DE DALLAS !

juillet 8, 2020
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C

Ce soir, les délégués communautaires vont élire leur exécutuif? Deux candidats déclarés le maire de Verquin, à la t^te d’un vaste rassemblement animé de la volonté de doter notre territoire d’un projet ambitieux  , sans combines politiciennes, de développement






De l’autre une pseudo liste faite de bric et de broc, issue de marchandages nauséabonds, qui a pour objectif unique de financer en catimini les équiprement de la ville de Béthune, le fameux projet de Grand Béthune du maire et de son projet pôle gare avec sa patinoire. Et accessoirement d’obtenir de juteuses indemnités



Certains des rares soutiens chifonnent le nez comme qui est  celui devenu  maire de Barlin, par la volonté de son pére : le sénateur Dagbert… Qui, chacun s’en souvient, avait eu des vélléités de devenir maire de la cité de Buridan. Dont les qualificatifs concernant Olivier Gacquerre résonnent encore dans les chaumières et que nous tairons par charité chrétienne. Un incompétent pour le père que le fiston aurait décidé de soutenir :

Dallas on vous dit !



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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeMar 7 Juil - 21:54

Quel sera le choix de Monsieur Leleu , le représentant des habitants de Locon a la CABBALR ?
A t 'il reçu des instructions du conseil municipal ? 



Quels enjeux et personnalités pour la nouvelle gouvernance à l’agglo de Béthune-Bruay?

Mercredi à 18 h 30, le nouveau visage politique de la communauté d’agglomération de Béthune-Bruay sera installé dans ses fonctions, à Verquigneul. Les nouveaux élus communautaires devront désigner dans la foulée la nouvelle gouvernance qui pilotera un gros bateau embarquant 280 000 passagers.


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Benoît Fauconnier, Avec Ru. Mu. – Photos Archives Pascal Bonnière, Matthieu Botte Et Ludovic Maillard – Infographies Sarah Binet | 07/07/2020


L’hôtel communautaire, dans le quartier du Mont-Liébaut à Béthune. PHOTO ARCHIVES PASCAL BONNIÈRE


1 La fin d’une ère
Ce n’est plus une page qui se tourne. C’est un nouveau chapitre, voire un nouveau tome qui s’écrit dans l’histoire de l’arrondissement. Changement d’époque, même. Depuis 2002 et la création de la communauté d’agglomération, la crise de croissance a guetté, avec deux fusions successives avec d’autres intercommunalités, jusqu’à présenter au 1er janvier 2017 un ensemble hétéroclite de 100 communes et 280 000 habitants, une immense zone rurale traversée par un chapelet urbain en partie lié à l’histoire minière.
Le chef d’orchestre pendant près de vingt ans ? Un « historique » : Alain Wacheux, ex-maire de Bruay-La-Buissière, entouré d’une majorité de gauche. Homme reconnu pour sa rondeur et son sens du consensus, il a tenté de cimenter un territoire aux indicateurs économiques, sociaux et de santé plutôt fragiles. Comme sa santé, chancelante, précipitant sa retraite politique.
L’autorité naturelle et jugée plutôt bienveillante s’effaçant, la course à la succession s’accompagne d’un renouvellement de l’exécutif bien plus large. Parmi les quinze vice-présidences actuelles, sept allaient obligatoirement changer de titulaire pour cause de retraite politique ou de défaite électorale : Jacques Napieraj (projet de territoire), Léon Copin (finances), Bernard Blondel (assainissement, eau, inondations), Pierre Moreau (développement des entreprises), Gérard Delahaye (emploi), Daniel Delcroix (transports) et Marcel Coffre (valorisation des déchets) s’apprêtent à faire leurs valises.


Olivier Gacquerre défie Thierry Tassez
La continuité de la majorité sortante s’est dessinée autour de Thierry Tassez, 62 ans, maire de Verquin, vice-président depuis 2002, qui incarne avec Nadine Lefebvre et Serge Marcellak la garde rapprochée d’Alain Wacheux. Avec la bénédiction du président sortant, le voilà en lice avec la volonté de rassembler urbains et ruraux. Il capitalise sur le lien avec le groupe communiste et républicain, emmène des maires incarnant la ruralité, et une personnalité politique qu’on n’attendait pas là : l’expérimenté André Flajolet, connu pour son engagement à droite sur le plan national mais indifférent à l’étiquette localement.
Face aux « sortants », un groupe autour d’Olivier Gacquerre, 43 ans, maire de Béthune confortablement réinstallé dans son fauteuil. Lui aussi a ratissé large, au-delà des étiquettes politiques. Il avait déjà commencé à fédérer à l’agglo avec la création du CALREP et emmène quelques poids lourds comme Julien Dagbert (Barlin) ou Philibert Berrier (Auchel).
Deux personnalités, deux tempéraments et deux philosophies politiques opposés, pour deux projets qui livrent un tronc commun autour de l’articulation urbain-rural. Deux façons d’aborder le calcul qui leur attribuerait la majorité des voix des 154 conseillers communautaires nécessaires pour gouverner. Au rang des arbitres figurent cependant les élus communautaires de la majorité bruaysienne, qui siégeront grâce à la victoire de Ludovic Pajot (RN), et un groupe de maires ruraux piloté par Raymond Gaquère, maire de La Couture. À l’échelon du dessus, il s’agit de peser aux côtés des agglomérations de Lens-Liévin et Hénin-Carvin, dans un pôle métropolitain de 600 000 habitants.



3 Olivier Gacquerre
Olivier Gacquerre, 43 ans, est maire (UDI) de Béthune depuis 2014 et vice-président sortant en charge des territoires intelligents, du développement des usages numériques et de la transition énergétique.
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Gouvernance. Une commune = une voix. Rapport de gestion aux élus chaque trimestre. Rencontre deux fois par an avec le Département, la Région, l’État, les SIVOM…


Proximité. Division de l’agglo en quatre territoires chapeautés chacun par un vice-président chargé des services. Maison France services itinérante, travail sur l’accès aux soins et la mobilité sur tout le territoire.


Finances, fiscalité. Maîtrise des dépenses de fonctionnement. Audit des ressources humaines et des finances. Stabilité des taux d’imposition. Mutualisation des services, en lien avec les SIVOM.


Aménagement, équipements. Remise en question des équipements structurants : chiffrage précis et transparent des coûts de fonctionnement et consultation des élus sur leur maintien. Nomination d’un vice-président à l’agriculture et à la ruralité et d’un conseiller délégué à l’aménagement rural. Politique d’équipements de proximité.


Crise économique. Plan de relance économique et de soutien aux emplois locaux.


Projet de territoire. Axes forts : santé, développement économique, mobilité, solidarité, éducation populaire, services aux communes, service public de l’eau potable. Rédaction d’ici un an.


Soutiens. Une soixantaine de communes, dont Béthune (majorité), Auchel, Isbergues, Barlin, Divion, Calonne-Ricouart, Annezin, Violaines, Billy-Berclau, Lapugnoy, Labourse, Hinges…
Thierry Tassez


 4 Thierry Tassez, 62 ans, est maire (PS) de Verquin depuis 2001 et vice-président sortant en charge de l’aménagement, de l’attractivité du territoire et du sport.
 Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   B9723948616Z.1_20200707160057_000%2BG9AG9OI3P.2-0

Gouvernance. Consultation obligatoire de la conférence des maires sur le budget et les grandes décisions (une commune = une voix). Rien ne doit être fait dans une commune sans l’accord du maire. Revoir le fonctionnement des commissions. Information et formation des élus. Optimiser les relations avec la Région.


Proximité. Nomination d’un directeur responsable de la territorialisation. Installation d’antennes de l’agglo dans l’Auchellois et dans le SIVOM de l’Artois. Nomination de référents chargés du droit des sols, de l’économie, de l’assainissement et des projets communaux dans chaque antenne.


Finances, fiscalité. Communication plus large sur les subventions obtenues pour la réalisation des grands projets. Pacte fiscal et financier intégrant la question des attributions de compensation. Mutualisation des services, en lien avec les SIVOM.


Aménagement, équipements. Renforcement des centralités intermédiaires (Nœux, Auchel, Lillers, Isbergues). Poursuite de l’application du plan climat. Rédaction d’un schéma des services et audit sur leur fonctionnement. Développement des tiers lieux et commerces en centre-bourg. Questionner le fonctionnement des équipements culturels, sportifs et sanitaires.


Crise économique. Réorganisation des services pour une meilleure réactivité.


Projet de territoire. Rédigé en concertation avec les habitants, les forces vives et les partenaires. Réexamen des compétences facultatives et optionnelles. Questionner les politiques de l’agglo en termes d’indice de développement humain.


Soutiens. Plusieurs vice-présidents (Nadine Lefebvre, Serge Marcellak…) et conseillers délégués (René Hocq, Arnaud Picque, Jacques Flahaut…) sortants, issus de la majorité de gauche, André Flajolet (Saint-Venant, ancré à droite).


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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeDim 5 Juil - 6:55

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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeDim 5 Juil - 6:51

LA VOIX DU NORD 


Un groupe de maires ruraux  aux côtés de Thierry Tassez ?  


PAR BENOÎT FAUCONNIERbethune@lavoixdunord.fr


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Raymond Gaquère, maire de La Couture, est à la tête d’un groupe nommé Ruralité, solidarité et proximité.
 PHOTO ARCHIVES PASCAL BONNIèRE


Thierry Tassez, le maire de Verquin, a présenté sa candidature à la présidence de l’agglomération de Béthune-Bruay, et le projet dessiné par un collectif d’élus. Le partenariat avec un groupe d’élus ruraux ne semble pas aussi limpide qu’indiqué jeudi. 


BÉTHUNE-BRUAY.
Jeudi, la présentation de la candidature de l’équipe autour de Thierry Tassez, maire de Verquin et vice-président à l’agglo depuis 2002, a été chargée de symboles. Sur le lieu d’abord. C’est à la mairie de Lespesses que le rendez-vous a eu lieu. Façon de dire que l’enjeu de « des ruralités, avec un S » est pris en compte. Selon des critères démographiques, 65 des 100 communes qui composent l’agglomération de Béthune-Bruay peuvent être qualifiées de « rurales ». Les maires ruraux ont donc intérêt à faire entendre leur voix auprès du ou des prétendants avant de livrer leur adhésion.


Oui, il y a des collègues qui se sont rassemblés pour expliquer un peu leur façon de voir la ruralité.THIERRY TASSEZ, MAIRE DE VERQUIN 


Jeudi, Thierry Tassez indiquait, en réponse à une de nos questions, qu’un groupe de maires ruraux, emmené par Raymond Gaquère, maire de La Couture, était à ses côtés. « Oui, il y a des collègues qui se sont rassemblés pour expliquer un peu leur façon de voir la ruralité, et comment ils étaient insérés dans l’agglo. Raymond Gaquère s’est occupé de cette affaire. Je l’ai rencontré à plusieurs reprises. On les rencontre encore demain (vendredi 3). Le dialogue existe. » Thierry Tassez est allé plus loin : « Raymond fait partie du staff d’ici, à mes côtés. C’est très clair. Vous pouvez lui téléphoner. Vous pouvez l’appeler, il vous dira : oui pas de souci. »


UNE PRISE DE POSITION ATTENDUE DEMAIN


En fait, ce n’est pas vraiment le cas. « Toute affirmation d’un ralliement de ma part est nulle et non avenue. Ainsi que je l’ai annoncé à l’un et l’autre des candidats déclaré ou supposé, le positionnement du groupe « Ruralité, solidarité et proximité » que je représente sera défini de manière démocratique lors d’une réunion programmée demain », indique Raymond Gaquère, qui confirme également par téléphone ne pas avoir été candidat à la présidence.


« On a posé des principes, on a sorti un projet amendable. On voit comment les candidats prennent en compte notre projet », souligne le maire de La Couture, qui dit avoir environ 25 élus dans son sillage.
Un ou plusieurs projets doivent encore être évalués avant demain soir. Les discussions portent aussi sur d’autres aspects : « on souhaite participer à la gouvernance. On espère obtenir des vice-présidences, des conseillers délégués. » La prise de position (ou non) de ce groupe est donc attendue demain.
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeVen 3 Juil - 8:51

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Thierry Tassez se présente en « porte-parole »   d’un projet collectif 


PAR BENOÎT FAUCONNIERbethune@lavoixdunord.fr
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Thierry Tassez, maire socialiste de Verquin et vice-président
 à l’agglo depuis 2002, veut réunir au-delà des étiquettes. 


PHOTO MATTHIEU BOTTE


Maire de Verquin depuis 2001, vice-président de la communauté d’agglomération depuis sa création en 2002, Thierry Tassez est candidat à la présidence. Il a présenté une partie de l’équipe qui l’entoure et un projet constitué à partir des remontées des élus rencontrés lors de réunions. 

 

BÉTHUNOIS-BRUAYSIS.
Thierry Tassez briguera la succession d’Alain Wacheux, aux portes de la retraite politique. Ce dernier soutient la démarche de celui qui le suit sur le tandem communautaire depuis 2002. Autour de Thierry Tassez, un noyau dur a travaillé à un projet de territoire amendé lors de réunions à laquelle ont été invités les élus des cent communes qui composent l’agglomération. Un projet de mandature potassé par une trentaine d’élus selon André Flajolet, maire de Saint-Venant ancré à droite.
Je n’ai pas de projet. Nous avons collectivement écrit  le projet au fur et  à mesure des réunions THIERRY TASSEZ 
L’alliance est née d’une rencontre provoquée par Alain Wacheux. « On unit les compétences dans leur diversité, sans ostracisme et sans exclusive », explique André Flajolet, séduit par « la prise en compte de la diversité des territoires et des ruralités. » À leurs côtés : Arnaud Picque, maire de Lespesses, qui fut « potentiellement candidat », Nadine Lefebvre, maire PS de Beuvry, René Hocq, maire de Burbure et « animateur » du groupe communiste et républicain, qui a apporté son soutien à Thierry Tassez après avoir écouté plusieurs prétendants. Enfin, un groupe de maires ruraux, emmené par Raymond Gaquère, maire de La Couture, figure selon Thierry Tassez parmi ses partenaires.
Côté projet : « Je n’ai pas de projet. Nous avons collectivement écrit le projet au fur et à mesure des réunions », indique Thierry Tassez, qui parle, le concernant, d’une mission de « porte-parolat ». Des discussions parties d’interrogations : « on a fait le bilan. Qu’est-ce qui ne va pas ? Que voulez-vous changer ? Que voulez-vous améliorer ? Qu’est-ce qu’on fait ensemble ? Je n’ai pas écrit dans ma chambrette un projet pour aller le vendre. On a pu dégager un projet de mandat et onze priorités. » Le tout dans un contexte financier teinté d’incertitudes après le choc économique post-Covid attendu.
SEUL CANDIDAT EN LICE
« Nous avons adressé un message de bienvenue et de demande de contribution aux cent maires. Personne ne peut dire qu’il n’a pas été invité à nos travaux. Après, vient qui veut. Mais nous n’avons pas d’exclusive », note Thierry Tassez pour qui « cette intercommunalité, si elle veut exister, il faut qu’elle soit forte. Pour qu’elle soit forte, il faut une synergie des cent communes. Chacun après garde sa philosophie personnelle. »
À ce jour seul candidat en lice, Thierry Tassez est assez confiant, si une opposition se manifestait. Selon lui, la majorité à l’agglo semble maintenue après les élections municipales : « Normalement, a priori, aujourd’hui, nous sommes le fait majoritaire électoral, et nous sommes rejoints par beaucoup de maires. C’est au-delà de ce qui est nécessaire. » L’élection du président de l’agglomération par les conseillers communautaires a lieu mercredi 8 juillet à partir de 18 h.

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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeDim 24 Mai - 9:33

les factures  d'eau potable arrivent a Bethune 

Marc Laurent
Hier, à 08:05 · 

de mieux en mieux...
L'eau livrée par le SIVOM serait-elle pompée dans le Pactole ???
Consommation d'eau : 5m3 = 7,03 TTC...
Total facture : = 61,62 TTC...

Taxes, entretiens, abonnements... etc..
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeVen 20 Déc - 9:30

. Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Logo

PAR RUBEN MULLER
bethune@lavoixdunord.fr



Les années financières se suivent et se ressemblent à l’agglo. L’inflation spectaculaire du budget (282 M€ au lieu de 248 M€) est surtout due à l’intégration de la compétence eau potable. Recettes, dépenses et fiscalité évoluent peu. 




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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeVen 29 Nov - 8:02

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Pas de hausse des taux d’imposition intercommunaux à l’horizon 2020 


BENOÎT FAUCONNIERbethune@lavoixdunord.fr
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Avec Léon Copin, Alain Wacheux a présenté 
des orientations qui préfigurent un budget 2020
 qualifié de «serein».
 PHOTO ARCHIVES MATTHIEU BOTTE




Les élus de la communauté d’agglomération de Béthune-Bruay ont débattu mercredi soir du rapport d’orientations budgétaires. Lequel précède le vote du dernier budget du mandat, pour l’année 2020,  qui n’envisage pas d’augmentation des taux intercommunaux d’imposition. 



BÉTHUNOIS-BRUAYSIS.


1 le contexte avant le budget
« Le rapport d’orientations budgétaires, ce sont les éléments de contexte dans lequel on va écrire le budget et les perspectives que nous pouvons donner pour ce budget », a résumé Alain Wacheux, président de la communauté d’agglomération, suivant l’exposé des données financières par Léon Copin. Ce budget à venir sera voté avant les élections de mars. Alain Wacheux l’a souhaité pour préparer le terrain post-élections. « Il me semblait que nous pouvions proposer aux élus de demain d’avoir un socle connu pour l’action de 2020. »
Alain Wacheux, façon bon père de famille, pose ainsi un rempart : « En gros, on est un peu moins exposés aux turbulences et ça préserve un petit peu des formes de postures électoralistes qui sont le fait de la dernière ligne droite des dernières semaines avant les élections. »


2 dans la continuité
« C’est pas parce que c’est le dernier budget du mandat que c’est un budget d’attente », a résumé Alain Wacheux, précisant que « tout ce qui a été décidé sera mis en œuvre. C’est un vrai budget qui anticipe les évolutions à venir et qui permettra aux élus, qui vont siéger, de travailler assez sereinement sans avoir à voter un budget quelques jours après leur prise de fonction. » L’exercice de la prospective, qui court jusqu’à 2022, reste limité en raison du « bouleversement du panier fiscal », dont la suppression étalée de la taxe d’habitation qui serait compensée par l’État. Pas un bon signe pour le président de l’agglomération : « on avait déjà une suppression de la taxe professionnelle. Maintenant la suppression de la taxe d’habitation. C’est une part de l’autonomie des collectivités qui disparaît. Parce que l’autonomie suppose la liberté de fixer l’impôt pour fixer librement la capacité à agir sur le territoire. » L’agglomération n’a aucune prise sur une compensation fixée par l’État.


3 pas de hausses des taux d’imposition intercommunaux en 2020
Le montant des compensations de taxe d’habitation sera basé sur les taux votés en 2017. Cette année-là, une hausse importante des taux intercommunaux avait été adoptée.
Alain Wacheux a rappelé mercredi soir la justification du choix de l’époque. « Les projections que nous pouvions faire nous mettaient dans une situation sereine » jusqu’à la fin du mandat. C’est bien le cas, selon l’exécutif. Pour l’année 2020, le budget proposé sera dans ce sillage, bâti sans hausse des taux intercommunaux, et le tout en maintenant le taux de taxe d’enlèvement des ordures ménagères à 0 %.


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 LE DÉLIRE CONTINUE... 15 MILLIONS POUR RÉNOVER CETTE CITE POURRIE ET MAINTENANT 1,5 MILLION par AN POUR LE FONCTIONNEMENT


LES ELUS DECIDENT ET LES CONTRIBUABLES SE SERRENT LA CEINTURE 


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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeMer 6 Mar - 17:39

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Édition du 6 mars 2019


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Révision de la loi Notre : ce que demandent les maires
Lors de plusieurs réunions avec des maires, dans le cadre du grand débat, Emmanuel Macron s'est dit « prêt à rouvrir la loi Notre » pour « améliorer ce qui ne fonctionne pas ». « Prenons-le au mot », a lancé hier André Laignel, premier vice-président délégué de l’AMF, en ouvrant une rencontre des présidents d’intercommunalités, organisée par l’association à son siège pour débattre des modifications nécessaires à y apporter. Et de rappeler le rejet massif de la loi Notre par les maires : 75% en ont une image négative, selon le baromètre du Cevipof présenté lors du dernier congrès des maires. André Laignel a aussi réaffirmé « l’importance du principe de subsidiarité selon lequel nous devons uniquement mutualiser ce que les communes ne peuvent pas faire seules ».

Compétences, gouvernance et périmètres
Pour autant, il précise « ne pas vouloir abolir la loi Notre mais corriger les freins aux libertés communales qu’elle contient ». Selon lui, il y a juste « une douzaine de points à changer » dans trois domaines : les compétences, la gouvernance et les périmètres. Sans surprise, au chapitre des compétences, l’eau et l’assainissement restent dans le viseur des élus. Position unanimement partagée : la suppression de leur transfert obligatoire et de la date butoir de 2026. « Il faut arrêter de nous imposer des choses, s’est insurgé Antoine Homé, maire de Wittenheim (Haut-Rhin). Nous refusons la supracommunalité. »
La disparition de syndicats des eaux a été largement critiquée. « Ils doivent continuer d’exister car ils donnent satisfaction avec un coût de l’eau beaucoup moins élevé », estime ainsi Frédéric Cuillerier, président de l’association des maires du Loiret. Son homologue des Vosges, Dominique Peduzzi, abonde en jugeant « aberrant d’augmenter les coûts dans le contexte actuel de revendication de hausse du pouvoir d’achat ». Autre point irritant chez les élus : le transfert obligatoire du tourisme. Là aussi, ils souhaitent que cette compétence redevienne optionnelle.

Comment revenir en arrière ?
Les élus plaident pour réduire le nombre de compétences minimum et obligatoires des intercommunalités. Certains allant même jusqu’à demander qu’elles soient toutes optionnelles. Frédéric Cuillerier indique ainsi que « dans une étude faite auprès des maires du Loiret, il y a unanimité sur ce sujet. Mais comment fait-on pour revenir en arrière ? ». « Tout revoir pourrait causer beaucoup de dégâts, craint Robert Cabé, président de la communauté de communes d’Aire-sur-l’Adour (Landes). Il y aurait parfois une grande complexité à retransférer les compétences aux communes. » Autre revendication des élus : la sécabilité des compétences, dont la nécessité est plusieurs fois citée en matière de voirie.

Rendre obligatoires les assemblées des maires
« La gouvernance de l’intercommunalité constitue la clef de voûte car tout en découle », estime Stéphanie Giraud-Chaumeil, maire d’Albi (Tarn) et présidente de sa communauté d’agglomération. Sur ce sujet, les élus dénoncent l’absence fréquente d’une assemblée des maires, et demandent qu’elle soit obligatoire et dotée de pouvoirs. Certains élus vont très loin comme Louis Giscard d’Estaing, maire de Chamalières (Puy-de-Dôme), qui réclame « un droit de véto des maires sur certaines décisions de l’intercommunalité ».
Autre demande formulée : supprimer la révision automatique des schémas départementaux de coopération intercommunale (la prochaine est en 2022). Robert Cabé juge ainsi « impératif de retirer cette faculté au préfet. C’est un minimum ! ».

Des propositions de l’AMF avant le 15 mars
Ce recueil des demandes des élus se voulait un banc d’essai pour les propositions de l’AMF, qui seront présentées avant le 15 mars. Elles seront versées aux contributions du grand débat mais aussi remises au président de la République et au Premier ministre.
Philippe Pottiée-Sperry
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeSam 18 Aoû - 11:47

Des regroupements de communes impliquent des fusions de services et de structures par ricochet avec des doublons de postes , une mobilité supérieure demandée donc mettre aussi des personnes de plus en plus dans les transports dans un contexte de réseau routier déjà complétement saturé en npc.

Pour les toutes petites communes il y a déjà souvent 1 dgs et 1 secrétaire pour plusieurs communes avec 1 suivi beaucoup moins pratique pour les usagers et structures qui doivent travailler au quotidien avec ces communes.

Est ce que tous les paramètres sont appréhendés chez ceux qui militent pour des regroupements ? A t on un 1er bilan du passage npc à hauts de france ?
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeLun 13 Aoû - 8:13

SITE D'INFORMATION SUR L'ACTUALITÉ POLITIQUE, ÉCONOMIQUE ET SOCIALE

« L’ÉLARGISSEMENT DES INTERCOMMUNALITÉS REND NÉCESSAIRES LES COMMUNES NOUVELLES »

août 13, 2018






 Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Illustration-decentralisation-300x199
© BM

Des années durant, les « vieilles » institutions locales issues de la Révolution française – communes, départements – ont su résister au temps et aux critiques. La donne a changé, selon le sociologue Thomas Frinault. Enseignant-chercheur à l’université Rennes 2, il prédit une baisse considérable du nombre de communes dans les années à venir.








Avec ses 35 500 communes, la France fait-elle encore figure d’exception en Europe ?








Dès la première moitié du 20ème siècle, des pays comme la Suède et la Belgique ont envisagé de rationaliser leurs institutions locales en adaptant le territoire d’élection des assemblées politiques aux échelles fonctionnelles où les politiques publiques doivent être gérées. A partir des années 1960-70, un consensus pour réduire le nombre de communes s’est formé un peu partout en Europe. La loi Marcellin, en France, s’en inspire  directement, au moins dans le discours affiché. Dans les faits, ses ambitions restent modestes et les effets se révéleront bien en-deçà des objectifs affichés… De fait, la position de la France dans le paysage européen reste assez singulière. Elle n’est pas la seule, néanmoins, à avoir échoué à fusionner les communes, c’est également le cas de l’Italie.








Comment l’expliquez-vous ?








Il n’existe pas d’explications mono-causales. Il y a d’abord la configuration du territoire français – vaste, avec une grande dispersion d’habitants – qui diffère quelque peu des petits pays très densément peuplés du Bénélux. La structure du pouvoir explique aussi un certain nombre de choses : le pouvoir central français a, longtemps, été extrêmement poreux vis-à-vis des intérêts locaux. Avant de retourner sa veste et de promouvoir la création de « communes nouvelles » en 2015, l’influente Association des Maires de France a toujours joué les contempteurs.








Quels éléments ont poussé l’AMF à changer de position ?








 Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Thomas_Frinault-294x3001
Thomas Frinault, maître de conférences à Rennes 2, spécialiste des dynamiques intercommunales et de fusions de collectivités

Face au veto de l’AMF, les gouvernements successifs ont tenté de régler cette problématique de la dissociation entre territoire d’élection et échelle fonctionnelle, en encourageant tout simplement la coopération intercommunale. Ils ne pouvaient pas forcer les fusions sans l’assentiment des élus locaux. Le paradoxe, c’est que l’élargissement de ces intercommunalités rend aujourd’hui nécessaire les fusions et la création de communes nouvelles pour pouvoir continuer à peser politiquement. Continuer seul, c’est la promesse de ne plus exister dans les cénacles de l’intercommunalité pour de nombreux élus perplexes de petites communes. Etant donné la tension budgétaire inédite qu’elles connaissent, beaucoup ne peuvent pas privilégier le statu quo. Et ce d’autant plus que la perspective de regroupement offre différentes sources d’économies, à travers les bonifications financières comme la mutualisation des services.








Imaginez-vous qu’on puisse assister à une rationalisation aussi importante que dans le reste de l’Europe ?








Le nombre de communes ne diminuera pas autant qu’en Belgique (-75%) ou au Royaume-Uni, ne serait-ce parce que la densité n’est pas la même dans les régions montagneuses et les zones rurales. Mais, dès lors que l’AMF s’est réapproprié ces processus de fusion en 2015 et que des bonnes pratiques s’érigent en modèle, je fais le pari qu’il baissera considérablement dans les dix ans à venir. Attention, cependant, à ne pas rester obnubilé par le « bilan national » alors que les regroupements varient très fortement d’une région à l’autre :  les fusions sont généralement plus nombreuses dans les régions où les intercommunalités s’étaient développées plus tôt. Surtout que l’AMF a intérêt à survaloriser les effets notables de cette réforme qu’elle soutient, après 40 ans de statu quo.








par Hugo Soutra








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NDLR : Cela donne à réfléchir et surtout comprendre l’erreur historique de ceux qui ont contribué à la défusion de Béthune-Beuvry-Verquigneul (BBV). Pour des raisons purement politiciennes et qui aujourd’hui se plaignent des restrictions budgétaires de l’Etat.


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Il est evident qu 'une fusion de toutes ces petites communes est ineluctable . Mais il faut que la population en soit avertie est choisisse par vote avec qui elle fera une union ...c 'est le cas des communes de Beuvry et de Verquigneul dont la population fut mise a l 'écart des décisions qui engageaient son avenir et qui ne l 'accepta pas 
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeVen 15 Déc - 9:02

http://www.aimerbethune.com/2017/12/plus-de-ronrons-a-l-agglo-artois-lys-romane.html


AIMER BETHUNE




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14 DÉCEMBRE 2017



PLUS DE RONRONS À L'AGGLO ARTOIS-LYS-ROMANE ?





Le centre régional des arts martiaux coûte la sérénité à l’agglo

Création d’un nouveau groupe d’élus, rejet historique d’une délibération, suspension de séance… et dire que certains pensent que ça ronronne aux conseils d’agglomération. Retour sur deux points qui ont animé la soirée, mercredi.
 

1- Ça CRAM à l’agglo ?

Depuis la fusion avec Artois-Lys et Artois-Flandres, en début d’année, on l’attendait. CALREP (Club Artois-Lys-Romane échange et projets) est ce troisième groupe d’élus, né mercredi soir, porté par Roger Valet (Vaudricourt), Corinne Laversin (Hinges) et Arnaud Guislain (Vermelles). Le troisième puisqu’il vient après le groupe majoritaire (PS-PRG-MRC) et le groupe communiste. Ce nouvel ensemble n’a pas tardé à se faire entendre, par la voix de sa vice-présidente, Corinne Laversin. « Nous souhaitons le retrait du Centre régional des arts martiaux », déclarait la maire d’Hinges, alors les élus se penchèrent sur la 10e question, qui abordait la « construction, aménagement, entretien et gestion des équipements culturels et sportifs d’intérêt communautaire ».
Loin de faire l’unanimité, le projet du CRAM (centre régional des arts martiaux), prévu à Verquin, a cristallisé les questions et attaques. La majorité n’a pas souhaité répondre aux questions du groupe CALREP, qui voulait faire « un point d’étape sur le financement du CRAM ». Une stratégie de l’exécutif qui a fragilisé une délibération déjà exposée par le fait qu’elle devait être adoptée à la majorité qualifiée aux deux tiers ? Huit votes contre ou huit abstentions suffisaient à rejeter la délibération. Résultat : un rejet par... 22 voix contre (dont celles d’Olivier Gacquerre, vice-président, et Hervé Deroubaix, conseiller communautaire délégué, présents dans l’exécutif), et 4 abstentions. Quelques jours auparavant, le bureau avait émis un avis favorable à l’unanimité. Une première à l’agglo.
 
2- La piscine de Lillers communautaire ?
Le rejet de cette délibération a aussi pour conséquence de suspendre l’entrée dans le giron communautaire de la piscine de Lillers (elle n’avait déjà pas ce statut du temps de la Communauté Artois Lys). Si l’agglo a jusqu’au 31 décembre 2018 pour la déclarer d’intérêt communautaire, à Lillers, le temps peut presser. En juin 2017, le conseil municipal avait anticipé cette prise de compétence en votant une délibération assurant « une équité de territoire en termes de tarifs », précise Pascal Barois, maire de Lillers. Celle-ci permet d’harmoniser le prix d’entrée avec les autres piscines de l’agglo mais aussi de garantir la gratuité aux enfants scolarisés à Lillers mais résidant à l’extérieur de la commune. Une délibération valable jusqu’au 31 décembre 2017. À venir donc, un nouveau conseil communautaire ou une nouvelle délibération du conseil municipal de Lillers.
 
 

 
[size=30]Le CALREP, la troisième force de l’agglomération[/size]
CALREP, comprenez le Club Artois-Lys-Romane échange et projets. C’est le nom de ce groupe... pardon de ce club, avec comme devise « Responsabilité, proximité, solidarité ». «  Nous ne sommes pas un groupe d’opposition mais un club de propositions  », affirme Roget Valet, maire de Vaudricourt et président tout frais du CALREP. «  Nous souhaitons garantir le débat démocratique, en rassemblant au-delà de l’éxecutif et nous souhaitons plus de transparence  », explique-t-il.
Ce nouveau groupe est composé de Roget Valet (maire de Vaudricourt), Corinne Laversin (maire d’Hinges et vice-présidente du CALREP), Arnaud Guislain (1er adjoint à Vermelles et vice-président du CALREP), Hervé Deroubaix (maire de Robecq), Olivier Gacquerre (maire de Béthune), Pierre-Emmanuel Gibson (1er adjoint Béthune), Hakim Elazouzi (adjoint Béthune), Maryse Bertoux (adjointe Béthune) Béatrice Beroyer (adjoine Béthune), Alain Michaud (conseiller Béthune), Jacqueline Imbert (conseillère Béthune), René Martin (conseiller Béthune), Annie Masse Boury (conseillère béthune), Frédéric Daems (conseiller à Béthune), Gérard Ogiez (maire de Fouquereuil), Christophe Flajolet (conseiller d’opposition Lillers), Jean-Paul Seulin (maire de Fouquières), Marie-Claude Duhamel (Mont-Bernanchon), Guy Bouvart (Saint-Floris), Virginie Souillart (maire de Gosnay), Philippe Cauwet (maire de Saint-Hilaire-Cottes), Alain Ducrocq (maire de Witternesse), Hervé Delabre (maire de Quersnes), Franck Hannebicq (maire de Busnes).
( Sources: la Voix du Nord et Nord Éclair )

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Roger Valet, Maire de Vaudricourt



Suspension de séance à la communauté d’agglo : le nouveau groupe, présidé par Roger Valet, maire de Vaudricourt, rejette la délibération n°10, qui comporte le projet (Photo et légende: Voix du Nord )




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Dernière édition par PACA le Mer 6 Mar - 17:38, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeDim 26 Nov - 9:37

La réhabilitation   de la cité des Électriciens divise les élus 


PAR ANNE-CLAIRE GUILAINbruay@lavoixdunord.fr




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Les élus ne sont pas unanimes sur le projet.






Vendredi soir, Isabelle Mauchin, responsable du projet à l’Agglo, est venue parler de l’état d’avancement de la réhabilitation, mais aussi du contenu culturel de la cité des Électriciens au conseil municipal. Et le projet divise. 

 
 
 

BRUAY-LA-BUISSIÈRE.


Elle divise, cette nouvelle vie de la cité des Électriciens. Elle divise les habitants mais aussi les élus du conseil municipal bruaysien. Pour preuve : le débat qui a eu lieu ce vendredi soir au conseil municipal. Isabelle Mauchin était venue présenter le projet.


 Elle a évoqué la rénovation des bâtiments, le volet patrimoine, décrit les jardins bio, les dépendances réhabilitées (en poulailler, etc.) dont l’estaminet, les quatre gîtes, expliqué les visites guidées et événements qui y étaient proposés. Et rendu compte des questionnaires remplis par deux mille Bruaysiens.


 « Tous se montrent attachés à cette cité, mais deux profils contradictoires se dessinent : ceux qui veulent que ce soit un lieu de mémoire, de recueillement, et les plus jeunes qui parlent davantage d’animations. »

C’est un éloge au patronat qui a exploité les mineurs et tué mon père. 

Le premier à prendre la parole après cette présentation sera Serge Janquin. Plutôt séduit par ce projet, il rappelle que « c’est en restant fidèle à sa source que le fleuve trouve sa force pour aller jusqu’à la mer ». Il estime que « c’est un beau pari, mais un peu lourd, un peu foisonnant » et espère que ni les habitants, ni les touristes, ni la cité elle-même, ne se perdent dans ce projet.

Pascal Walotek, lui, n’ira pas par quatre chemins : « 
Au départ j’étais contre, je trouvais ça inutile. Eh bien, c’est inutile, c’est cher (15 M€) et ça sert à rien. On ne parle pas de la vie des mineurs, rien sur le syndicalisme. Y’aura personne. J’appelle pas ça une belle commémoration, c’est un éloge au patronat qui a exploité les mineurs et tué mon père », lance-t-il. 
Dans la salle, un homme applaudit pour le soutenir.

D’autres élus serrent les dents, ils ne diront rien mais on voit bien qu’ils n’en pensent pas moins. Ce n’est pas le cas de Marlène Zingiro, du groupe d’opposition EELV. 



« Moi, je suis fille de mineur et je trouve que c’est un beau projet. La ville se meurt et c’est un beau rayon de soleil chez nous. Chaque projet dans cette ville, qui parfois est si triste, est le bienvenu.»

« 
Contrairement à ce que vous dites, je ne pense pas que la ville se meurt», a rétorqué le maire, Olivier Switaj. Mais il la rejoint sur le fait que c’est un beau projet.
 « C’est plus qu’un devoir de mémoire, c’est un besoin de mémoire, sur nos origines, nos sources… Ce sera un des grands sites de la mémoire minière, complémentaire avec les autres du bassin, classé à l’UNESCO. »



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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeMer 26 Juil - 1:01



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Hakim Elazouzi
24 juillet, 19:24 · Bruay-la-Buissière · 

Passage cet après midi toujours à Bruay la Buissière pour une visite de la cité des électriciens. 
Un projet de développement culturel, artistique et touristique est porté sur ce site minier, plus ancien coron encore debout de France !

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Commentaires;




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Pierre Acarie A 15 millions d'euros

 

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Eric Deleval Financé à plus de 65% par les fonds Européens, l'état, la Région et le département.
Futur centre d'interprétation des paysages, de l'architecture et de l'urbanisme dans le bassin minier.
Gîtes urbains, résidences d'artistes et d'universitaires, jardins
 partagés en relation avec le Louvre Lens et le centre historique minier de Lewarde.
Classé au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Un des 5 grands sites de la mémoire du bassin minier dans les Hauts de France.




Gérer
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Philippe Massardier Un fleuron de la mémoire ouvrière dignement restauré et ouvert à tous.



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Pierre Acarie Philippe Massardier la mémoire .... beau prétexte pour ne pas investir pour l'avenir .. je me demande si ça n'est pas une forme de clientélisme en brossant dans le sens du poil les mineurs et leurs héritiers

Gérer
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Pierre Acarie Avec ces 15 millions d'euros nous aurions pu construire 100 maisons modernes et confortables pour que des familles vivent correctement avec des enfants qui étudient dans des conditions confortables .... ça c'est investir pour l' AVENIR , et pas se vautrer dans le passé


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Eric Deleval Nous ne nous vautrons pas monsieur. 
Nous sommes simplement en train de sauver une cité minière, monument historique classé au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Ce projet est tourné vers l'avenir, la connaissance et les technologies modernes. Il a entre 
autre, pour ambition d'accueillir les scolaires de la régions ou d'ailleurs afin qu'ils mesurent ce que fut l'époque minière et comprennent mieux le Monde qui les entoure aujourd'hui.
La collectivité n'a pas à se substituer aux bailleurs sociaux dont la vocation est la construction de logement, en revanche, le programme local de l'habitat veille à l'éradication des logements indignes en y consacrant de Lourds moyens financiers et humains.
Votre communauté d'agglomération prend également en charge les plans locaux d'urbanisme et soutient par là une évolution harmonieuse de nos Villes. Nous ne sommes, ni vous, ni moi, des pleureuses.
Nous avons pour ambition d'accompagner notre jeunesse vers le savoir par l'art, la Culture et l'histoire.
Je mesure l'importance financière du projet mais sachez qu'il correspond, au global, à la rénovation de 40 anciens logements.
Je n'ai pas l'ambition de vous convaincre mais vous m'obligeriez en acceptant de visiter les lieux quand le projet sera abouti.
Très cordialement



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Pierre Acarie Eric Deleval j'espère que l'entrée sera gratuite car j'ai déjà donné ma part en impôt . Si je tiens compte du coût à 15 millions d'euros avec les remblais des caves et autres aléas et de la rénovation de 40 maisons ....étroites ... ça nous fait du 375 000 l'unité . Plus chères au m2 qu'à Paris... c'est démentiel.



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Pierre Acarie Sachez que nos enfants connaissent le passé minier de leur parents et grands parents . Par contre ils veulent du travail et pas faire du tourisme historique . Pensez au fiasco du Louvre Lens en chute de fréquentation sans retombées financières sur la ville de Lens



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Eric Deleval Création d'un bâtiment neuf, (centre d'interprétation) voiries, assainissement et réseaux divers, paysagement, mobilier urbain, ameublement, scénographie comblement des galeries d'un carrière de Marne.
C'est tout un quartier qui est remis à neuf de fonds en combles.
Chaque lot de travaux a fait l'objet d'un appel d'offre retenant la proposition la meilleure par les entreprises.
Le coût en rénovation d'un monument historique est très au delà des montants habituels de la construction compte tenu de la spécificité des interventions.
Certains bâtiments étaient à la limite de l'effondrement.
Le développement touristique est aussi source d'activité même si je déplore avec vous que le Louvre n'aie pas eu davantage de retombées.
Sa mise en tourisme est incontestablement à réviser mais là nous sommes à une autre échelle.



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Pierre Acarie Eric Deleval bref vu l'état de délabrement et des bâtisses en ruines vous auriez mieux fait de démolir ce chancre d'urbanisme et de faire pour une fois table rase du passé . De plus cela va encore nous coûter en gardiennage entretien et résidences d'artistes dont on se demande pourquoi il faudrait les héberger .



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Eric Deleval Incontestablement nos visions divergent.
Je n'avais pour ambition que de vous préciser ce projet qui reste à mes yeux un élément de développement du territoire.
Je vous renouvelle mon invitation
Cordialement.



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Pierre Acarie Je viendrai .... avec des tracts . Des pancartes et des amis dénoncer ce gaspillage .... je plaisante .....quoique en réfléchissant



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Pierre Acarie Pour info j'ai déjà visité



Les musées...  Les commemorations des guerres passées ca suffit.... moi je sature   ! ! !

nous voulons des investissements structurants et des facilités pour amener des investisseurs dans notre territoire afin de reduire le chomage  ! ! !! 

CETTE JOURNALISTE DU MONDE A TOUT COMPRIS :

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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeLun 3 Juil - 8:22

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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeJeu 13 Avr - 10:07

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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeVen 24 Mar - 9:27

LA VOIX DU NORD


L’agglo doit activer la taxe d’ordures ménagères ou jouer sur la fiscalité 


PAR ELSA LAMBERT-LIGIERbethune@lavoixdunord.fr

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La transformation de l’ancienne usine Bosal à Annezin est l’un des investissements de l’agglo. PHOTO JOHAN BEN AZZOUZ


Pour maintenir sa capacité à rembourser la dette tout en assurant plus de services à plus d’habitants,  la nouvelle agglomération doit trouver des ressources. Seules possibilités : activer la taxe d’ordures ménagères aujourd’hui à 0 % ou augmenter la fiscalité des ménages. Les élus en ont débattu mercredi.  
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L’année dernière, pour Artois Comm.  on avait dit qu’on maintenait les taux. Mais on ne peut pas faire de miracles.  

UN CONTEXTE PARTICULIER

Le débat d’orientation budgétaire a lieu dans un contexte particulier, souligne Léon Copin, vice-président en charge du budget. D’une part avec la fusion d’Artois Lys, Artois Flandres et Artois Comm. D’autre part avec l’entrée en vigueur de la loi Notre, qui signifie de nouvelles compétences comme les zones d’activités économiques, les eaux pluviales et le PLU. Enfin, le budget 2017 doit intégrer aussi le transfert des piscines et celui, au 1 er septembre, des conservatoires de danse et de musique de Béthune-Bruay. Beaucoup de changements et d’impacts financiers.


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 PAS DE MIRACLE 
Le problème majeur dans les années à venir concerne l’évolution de l’épargne brute, soit la capacité à rembourser la dette. « Un redressement de cet indicateur est indispensable pour maintenir des capacités de fonctionnement et d’investissement compatibles avec l’activité quotidienne des services et la réalisation des projets », précise Léon Copin. Pour y arriver, trois possibilités : restreindre les dépenses de fonctionnement – mais des dépenses sont incompressibles –, augmenter les tarifs – mais les recettes tarifées ne pèsent que 1,7 % des recettes totales – et le levier fiscal. Soit en agissant sur la taxe d’ordures ménagères, qui est toujours à 0 % ou sur les taxes d’habitation, foncière… « Rien n’est fait, mais rien n’est exclu » , affirme le président Wacheux. «L’an dernier, pour Artois Comm. on avait dit qu’on maintenait les taux. Mais on ne peut pas faire de miracles ! » La décision sera connue lors du vote du budget le 12 avril.




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ET LES AUTRES ?


Un comparatif de la part intercommunale d’imposition des agglos de la région montre que la communauté d’agglomération de Béthune-Bruay Artois Lys romane est bien placée. Quand on additionne taxe d’habitation, foncier bâti et taxe d’enlèvement d’ordures ménagères, le total est de 395 € par ménage (pour une base locative moyenne de 2 500€) contre 625 pour la communauté urbaine d’Arras, 457 pour celles de Lens-Liévin et d’Hénin-Carvin, 524 pour le Douaisis et 514 pour la Métropole de Lille.


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LES INVESTISSEMENTS
On peut citer des bâtiments à vocation économique (Le Plat Rio à Annezin, le pôle artisanal à Beuvry, à Haisnes, le département électrique du CRITTm2A), l’aménagement de zones (Futura à Beuvry, porte des Flandres à Auchy, extension à Ruitz), la lutte contre les inondations, les services à la population avec la déchetterie à Houdain ou le refuge pour animaux…



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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeVen 17 Mar - 8:32

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Les patrons versent 2 500 € par salarié et par an   aux collectivités locales 


PAR YANNICK BOUCHER  economie@lavoixdunord.fr




Cela fait réagir le MEDEF régional, qui en appelle à une réduction des dépenses publiques locales. Trop de taxes tuent la compétitivité et l’emploi. Des taxes qui augmentent alors que les collectivités investissent moins… 


 
 
 
Frédéric Motte, président régional du MEDEF a le sens de l’introduction. Autant prévenir : «Ce document n’est pas lancé pour polémiquer mais c’est un outil au service des collectivités locales » . En tout cas un message très clair qu’entendront peut-être les candidats à la présidentielle : «Nos entrepreneurs n’en peuvent plus d’être taxés localement avant de déclarer le premier sou de chiffre d’affaires ».




D’après le MEDEF, les collectivités locales font payer le prix trop fort en fiscalité aux entreprises de la région. 

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Le baromètre dévoilé hier à la Cité marquoise des Échanges lève donc le voile. Les collectivités locales (mairies, agglomérations, communautés urbaines, Région, Départements…) ont prélevé 3,5milliards d’euros de fiscalité sur les entreprises régionales en 2015. 


Un prélèvement significatif puisque pour un chef d’entreprise, cela représente 2154 € par salarié privé et par an, 2501 € en incluant le versement transport. C’est l’équivalent d’un mois de salaire brut et à 1,5 mois de salaire dans les secteurs comme l’intérim ou le bâtiment qui emploient une proportion importante de salariés. « Le problème n’est pas de payer des impôts locaux, il est normal de contribuer à la dépense publique, explique Frédéric Motte, le souci est plutôt dans l’augmentation de la fiscalité des entreprises alors que les collectivités investissent moins ». 


En clair, l’État donne moins d’argent aux collectivités qui doivent donc freiner leurs investissements et leurs dépenses publiques. Et d’après le MEDEF, font payer le prix trop fort aux entrepreneurs avec une augmentation de 13,3 % en 5 ans de la fiscalité locale des entreprises alors que l’inflation n’a progressé que de 3,4 % et la richesse régionale de 2,7 %.


 « On veut bien faire des efforts de productivité mais les collectivités doivent de leur côté essayer de se réorganiser pour dépenser moins, notamment dans leur fonctionnement », estime le patron des patrons. Qui propose le gel des dépenses publiques locales pendant cinq ans pour soulager les acteurs économiques. Et de transformer l’impôt actuel de production (« on est taxé dès la création de l’entreprise, avant même les premiers résultats ») en impôt de bénéfice (« laissez-nous travailler et taxez-nous après »). Abysse à débats.
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeVen 13 Jan - 9:23

LA VOIX DU NORD BETHUNE


BÉTHUNOIS, BRUAYSIS

Artois-Lys romane : Alain Wacheux élu président au bout du suspense

Premier conseil communautaire ce mercredi pour la nouvelle agglo, issue des fusions d’Artois Comm. et des communautés de communes Artois-Lys et Artois-Flandres. Les 154 délégués ont élu leur président et leurs vice-présidents. Alain Wacheux, seul candidat à la présidence, a été logiquement élu dès le premier tour de scrutin.

Par S. BI et RU. MU. – Photo Pascal Bonnière | Publié le 12/01/20

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Alain Wacheux, seul candidat à la présidence, a été logiquement élu dès le premier tour de scrutin. PHOTO PASCAL BONNIERE

Sont élus : Bernard Delelis (95 voix contre 1 à Bernard Delelis) ; Pierre Moreau (124) ; Serge Marcellak (127) ; Olivier Gacquerre (130) ; Raymond Gaquère (119) ; Marcel Coffre (127) ; Isabelle Levent (68 voix contre 53 à Corinne Laversin) ; Daniel Delcroix (124) ; Gérard Delahaye (118) ; et Philippe Miloczyk (119).

23 h 15


Jacques Napieraj est élu à la 5e vice-présidence avec 108 voix contre 2 à André Flajolet.

Un élu d’Ourton demande l’élection des dix derniers vice-présidents en une fois. «  Depuis tout à l’heure, aucun candidat battu ne s’est représenté à une autre vice-présidence. Vu le temps, la plaisanterie a peut-être assez duré.  »

«  On ne peut pas qualifier le strict respect du fonctionnement démocratique de plaisanterie, s’offusque Alain Wacheux. Mais on peut redemander si cette situation a des chances de se produire.  » Pas d’objection : les dix derniers vice-présidents seront élus d’un seul coup.

Sont candidats : Bernard Delelis et Frank Gluszak (6e vice-présidence) ; Pierre Moreau (7e) ; Serge Marcellak (8e) ; Olivier Gacquerre (9e) ; Raymond Gaquère (10e) ; Marcel Coffre (11e) ; Isabelle Levent et Corinne Laversin (12e) ; Daniel Delcroix (13e) ; Gérard Delahaye (14e) ; Philippe Miloczyk (15e).

23 h


Bernard Blondel est élu 4e  vice-président, avec 93 voix contre 43 à René Flinois et une à André Flajolet – sûrement celle de Pierre-Emmanuel Gibson...

22 h 30


Léon Copin est élu 2e  vice-président par 100 voix contre 125 à Frank Gluszak. Thierry Tassez est lui élu 3e  vice-président avec 112 voix contre 1 à Bernard Delelis – qui n’était pas candidat.

21 h 55


Nadine Lefebvre est élue 1re  vice-présidente. Léon Copin et Frank Gluszak sont candidats à la 2e  vice-présidence. Même si, rappelle Alain Wacheux, «  un candidat qui battrait Léon Copin n’hériterait pas forcément de sa délégation  », les finances.

21 h 30


La nouvelle agglo compte quinze vice-présidents, comme du temps d’Artois Comm. Mais avec 100 communes, Alain Wacheux propose de confier des délégations à des élus du bureau communautaire pour constituer un «  exécutif élargi  », histoire que les petites communes y aient accès.

Alain Wacheux propose de les élire en une fois mais plusieurs élus refusent. C’est parti pour quinze scrutins. La démocratie, c’est parfois long. Comme une traversée de l’Atlantique ?

20 h


Après avoir déclaré la nouvelle agglo installée, il laisse la place à la doyenne Jacqueline Imbert (Béthune) pour lancer l’élection du président. Sans surprise, Alain Wacheux, président sortant de feu Artois Comm., est le seul candidat. Un tour suffit à son élection, par 132 voix sur 149 votants.

« Je souhaite que ce bateau dans lequel nous embarquons ce soir vogue longtemps. »

Remerciant ses électeurs, en particulier «  ceux qui ne me connaissent pas encore  », il souhaite que «  ce bateau dans lequel nous embarquons ce soir, que Jacques Napieraj aime appeler paquebot (quand ce n’est pas Titanic), vogue longtemps. Ça ne pourra se faire que dans le respect de chacun  ».

19 h


Jacques Napieraj officie comme maître de cérémonie, au privilège de l’âge. L’ancien président d’Artois-Flandres rappelle son opposition à la fusion : «  Je ne crois pas que big is beautiful, il faut trouver l’échelle adaptée et ce n’est pas forcément la même partout.  »

Mais en «  profond démocrate  », il s’incline face à cette « décision d’État  » qui a «  bouleversé le mandat des délégués  » des trois intercommunalités disparues. Il appelle ses collègues à «  bâtir l’agglomération le mieux possible avant de songer à une communauté urbaine qui irait non pas de Dunkerque à Tamanrasset mais d’Hénin-Beaumont à Blessy  ».
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Béthune a partagé la photo de Agglo Béthune-Bruay.
1 h · 




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Agglo Béthune-Bruay
5 h · 
Hier soir lors du 1er conseil de la Communauté d'Agglomération de Béthune-Bruay, Artois Lys Romane les 154 délégués communautaires ont voté pour élire le Président et les 15 vice-présidents.
Alain Wacheux a été élu Président, ses vice-présidents sont :
1ère Vice-Présidente : Madame Nadine LEFEBVRE 
2ème Vice-Président : Monsieur Léon COPIN 
3ème Vice-Président : Monsieur Thierry TASSEZ 
4ème Vice-Président : Monsieur Bernard BLONDEL 
5ème Vice-Président : Monsieur Jacques NAPIERAJ
6ème Vice-Président : Monsieur Bernard DELELIS
7ème Vice-Président : Monsieur Pierre MOREAU 
8ème Vice-Président : Monsieur Serge MARCELLAK 
9ème Vice-Président : Monsieur Olivier GACQUERRE
10ème Vice-Président : Monsieur Raymond GAQUERE 
11ème Vice-Président : Monsieur Marcel COFFRE
12ème Vice-Présidente : Madame Isabelle LEVENT 
13ème Vice-Président : Monsieur Daniel DELCROIX 
14ème Vice-Président : Monsieur Gérard DELAHAYE 
15ème Vice-Président : Monsieur Philippe MILOSZYK
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeJeu 5 Jan - 9:28

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COMBIEN NOUS COUTERA CE CHANGEMENT DE LOGO ??????????????????
REPONSE : 400 000 euros environ ....REPONSE : 400 000 euros environ ....REPONSE : 400 000 euros environ....REPONSE : 400 000 euros environ  


Dernière édition par Admin le Ven 13 Jan - 9:29, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)     Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   Icon_minitimeLun 27 Juin - 16:33

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Hersin-Coupigny : Fusion des intercommunalités, pour les élus, c’est «niet»

PUBLIÉ LE 26/06/2016
PAR RUBEN MULLER


Jeudi, les conseillers municipaux d’Hersin-Coupigny étaient les premiers à se prononcer sur la fusion entre Artois Comm. et les communautés de communes Artois-Lys et Artois-Flandres voulue par la préfète. Heureusement pour elle, cet avis n’est que consultatif : les élus ont voté contre comme un seul homme.


Le maire Jean-Marie Caramiaux rappelle le contexte de cette délibération : « Burbure et Lillers ont obtenu l’autorisation de rejoindre Artois Comm., ce qui a posé la question du maintien de la communauté de communes Artois-Lys, dont Lillers est la ville-centre. La préfète a alors proposé la création d’une agglo à l’échelle de l’arrondissement. » Agglo la CABBALR (BETHUNE-BRUAY-ARTOIS-LYS-ROMANE)   1915291398_B979053963Z.1_20160626180027_000_GSD73FOM4.3-0

Le 3 juin, la commission départementale de coopération intercommunale a approuvé cette fusion, qui créerait au 1er janvier 2017 une communauté d’agglomération de cent communes et 280 000 habitants.
L’ensemble des collectivités concernées (communes et intercommunalités), doivent rendre leur avis sur la fusion. Pas facile, commence l’adjoint aux sports Patrick Skrzypczak. « On sait ce qu’on perd, pas ce qu’on gagne. Dans la mesure où aucune commune n’est lésée à Artois Comm., je ne vois pas pourquoi on fusionnerait. »
« On peut comprendre l’intérêt à élargir les intercommunalités dans des régions plus grandes, estime Frédéric Desplanque (Mieux vivre Hersin). J’y suis plutôt favorable si ça facilite la mutualisation des moyens. Mais c’est difficile de rendre un avis sans connaître les avantages et les inconvénients. Par exemple, comment évoluera la fiscalité ? On ne sait pas.»
« Les fusions de collectivités sont censées nous faire gagner de l’argent, rappelle Nicolas Descamps, adjoint à l’environnement. Mais dans les nouvelles grandes régions, on a autant d’élus, autant de techniciens mais moins de dotations… »


« C’est démesuré »





Le caractère rural de la plupart des 35 communes qui rejoindraient Artois Comm. inquiète aussi les élus. Sur cent communes dans la grande agglo, 62 comptent moins de 1 000 habitants. « Artois Comm. est déjà une grosse machine qui ne fonctionne pas à plein rendement, lâche Jean-Marie Caramiaux. Rien que pour l’assainissement, on a déjà du mal à 65 car ce sont des budgets monumentaux. Imaginez qu’on doive financer celui de Lespesses ou Ham-en-Artois, à 50 km de la station d’épuration ! À long terme, je crains que les taxes explosent. »
« La fusion avec la CCNE était logique, là, c’est démesuré, juge le premier adjoint Jean-Pierre Bève. Artois-Lys et Artois-Flandres sont plutôt tournées vers Saint-Omer, elles n’ont pas la mentalité Artois Comm. On risque de déséquilibrer l’agglo en faveur du rural. »
« Ça modifierait aussi l’équilibre politique alors qu’Artois Comm. a une majorité cohérente, ajoute Jean-Marie Caramiaux. Alain Wacheux a été clair : On n’est pas demandeur. ». Les élus hersinois non plus : ils rejettent la fusion à l’unanimité.
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